Les chefs d'établissement sont au centre de ces tensions justement, parce qu'une partie d'entre elles ne sont plus du tout régulées d'en haut par la hiérarchie. Elles viennent aussi largement des configurations locales, de la capacité d'action et de pression des familles, ou d'un état de concurrence larvaire entre établissements créé d'ailleurs en large partie par la diffusion des indicateurs chiffrés. Moderniser, manager au mieux son établissement, cela peut être alors protéger certaines parties du public et non d'autres, ou accepter des élèves en dérogation qui manqueront au collège voisin plus en difficulté...
Lisez l'article... (archives)