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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Le bac a 200 ans

ÉDITORIAL

A-t-on le droit de parler du bac ?

LE SYSTEME

Début de mobilisation en Ile-de-France l La Fcpe demande la circulaire de rentrée l Un projet de loi va-t-il remettre en cause la garantie d’emploi des fonctionnaires ? l Cumul d’emploi l Darcos battu à Périgueux.

L’ÉLÈVE

Paris : La fin du marché aux élèves ? l Les Apprentiscènes l La Lettre des élèves à besoins éducatifs particuliers l 300 000 ouvrages pour les aveugles l Tchad : Les enfants et l’Ecole victimes du conflit

LA CLASSE

19ème Semaine de la presse et des médias

LA RECHERCHE

Spirale n°41

LES DISCIPLINES

Français : Manif poétique à L’Iroise l Géographie : 3ème Journée Géomatique

LES TICE

4ème appel Schène

Le fait du jour

Le bac a 200 ans

Le 17 mars 1808, Napoléon Ier créait le baccalauréat et c’est sans doute l’occasion de revenir sur ce pilier du système éducatif français. La première session, en 1809, alignait 31 candidats qui ne présentaient que des épreuves orales portant sur les auteurs classiques, la rhétorique, l’histoire, la géographie et la philosophie. C’est en 1830 qu’apparaît la première épreuve écrite et en 1853 une épreuve de langue vivante. En 2007, ils étaient 621 532 pour les épreuves de terminale seulement, soit dix fois plus qu’en 1960, produisant plus de 4 millions de copies. Entre temps sont apparues les bacs technologiques (1968) et professionnels (1985) ainsi que les séries actuelles du bac général (1993). La proportion de bacheliers dans une génération est passée de 1% en 1900 à 20% en 1970, 40% en 1989 et 64% en 2007.

Le bac est-il donné à tout le monde ? On observe une tendance forte depuis dix ans : en France le taux d’accès au bac stagne depuis 1995. 62,7 des jeunes ont eu le bac en 1995, 62,5% en 2005, 63,6% en 2007. Cette stabilité n’est due qu’à l’expansion lente des bacs professionnels 8% en 1995 contre 12% en 2006). Car le bac général régresse : il touchait 37% d’une génération en 1995 contre 35% en 2006. On observe également de forts écarts entre groupes sociaux : le taux de réussite au bac est de 87% pour les élèves dont les parents sont cadres, 76% pour des parents ouvriers. On observe également un fort écart entre sexes.

Y a-t-il trop de diplômés ? Deux thèses s’affrontent. Pour certains la pression vers l’acquisition de diplômes de plus en plus élevés, ce que Marie Duru-Bellat appelle »l’inflation scolaire », ne se justifie pas par des nécessités économiques et renforce les inégalités sociales. Dans cette course, les enfants des familles favorisées creusent davantage l’écart et les enfants des milieux populaires sortent frustrés de leurs efforts. Pour d’autres, le déploiement de l’économie de l’information nécessite une main d’œuvre de mieux en mieux formée. La montée des diplômés correspond à une nécessité économique et participe de l’enrichissement de tous.

La France a-t-elle davantage de bacheliers que ses voisins ? Dans tous les pays de l’Union européenne, un document certifie la fin de l’enseignement secondaire Selon les statistiques de l’Unesco, le taux brut de diplômés de fin du secondaire s’établit à 51% en France contre 92% en Finlande, 73% aux Etats-Unis, 74% en Italie. Le taux brut de diplômés du supérieur est à 38% en France contre 62% aux Etats-Unis, 74% en Finlande, 55% en Italie.

Que deviennent les bacheliers ? Selon une étude ministérielle, près de 90% des bacheliers poursuivent leurs études. Mais tous ne rencontrent pas les mêmes difficultés. Si 3% seulement des étudiants en STS se réorientent au bout d’un an, c’est le cas de la moitié des élèves des prépas littéraires ou de 16% des étudiants en université. Comment expliquer ces décalages ? Le type de bac joue fortement : ainsi en université 83% des bacheliers généraux ne changent pas d’orientation à la fin de la première année, contre la moitié des bacheliers technologiques ou professionnels. Comment l’expliquent-ils ? Plus d’un étudiant en université a du mal à s’organiser dans son travail et un sur trois manque d’intérêt pour les matières étudiées. Mais l’encadrement est aussi en cause. Ainsi seulement un étudiant en université sur cinq trouve du soutien pédagogique dans l’établissement.

Que devient-on sans le bac ? Sans le bac, rien n’est perdu ! Outre le redoublement et la préparation à distance, il est possible de préparer un bac professionnel, de choisir l’alternance, ou d’entrer en fac sans bac avec une capacité en droit ou en gestion ou encore en passant le diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU).

Pour une rétrospective du bac

Les résultats de 2007

Inflation scolaire

Le devenir des bacheliers

Que faire sans le bac ?

Les statistiques Unesco

Sur le Café, le Guide Bac – Brevet 2007

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

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A-t-on le droit de parler du bac ?

Le débat à rebondissement qui a surgi après la publication de l’étude de Bruno Suchaut sur la notation au baccalauréat prend une tournure de plus en plus âpre. Dans un communiqué, un IPR et deux enseignants de SES dénoncent « un chercheur malhonnête » et qui « manipule » les informations. Qu’a bien pu faire ce chercheur pour essuyer une telle avanie ?

Dans une étude publiée par l’Iredu, B. Suchaut montre que trois copies du bac soumises à une trentaine de correcteurs différents obtiennent des notes très différentes (l’écart peut aller jusqu’à environ 10 points sur 20) d’un correcteur à l’autre. Ce qui l’amène à souligner le caractère aléatoire du bac.

Ses adversaires l’accusent de malhonnêteté parce que les copies ont été corrigées en dehors de l’examen. Ils estiment que les commissions d’harmonisation du bac corrigeraient d’éventuels écarts. Disons-le, cette argumentation est faible. D’abord parce que l’étude de B. Suchaut arrive aux mêmes conclusions que les études antérieures. La démonstration des errements des évaluations au bac a déjà été faite par exemple par Pieron, Reuchlin et Bacher qui, en 1962, ont démontré que pour obtenir une note « juste » aux épreuves du bac de mathématiques il faudrait faire la moyenne des notes de 13 correcteurs en maths, 78 en français et 127 en philo… Comme les commissions interviennent pour des correcteurs dont la moyenne des notes est anormale et qu’il n’y a pas non plus de cohérence dans les notes d’un même correcteur, il n’est vraiment pas évident que l’harmonisation joue pleinement un rôle régulateur.

C’est peut-être pour cela que les adversaires de B. Suchaut avancent deux autres arguments. Ils lui reprochent de « jeter le discrédit » sur une discipline et de ne pas avoir demandé leur autorisation avant de publier. Ces deux arguments sont particulièrement graves car ils limiteraient la liberté du chercheur à l’intérêt de telle ou telle catégorie et réserveraient la publication aux travaux ayant reçu un imprimatur.

Par contre ils éclairent l’importance du contexte de publication. B. Suchaut a choisi une discipline, les SES, qui est sous une pression médiatique et politique très forte. Il publie alors qu’il est question de revoir l’architecture des filières du lycée peut-être au détriment des ES. Il le fait au moment où une commission sénatoriale réfléchit sur le baccalauréat et où sa réforme, crainte depuis longtemps, n’est plus impossible. Mais ces craintes doivent-elles nous amener à ignorer la réalité ?

Sachons reconnaître le droit qu’ont les chercheurs à interpeller la société. Acceptons qu’ils soient l’aiguillon qui vienne soulever les tabous forcément au pire moment.

Sur l’étude de B. Suchaut

L’étude

La mise en cause

Eps et bac

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Début de mobilisation en Ile-de-France

A la veille de la grève du 18 mars, la mobilisation ne faiblit pas dans une dizaine d’établissements franciliens. Dans le 77, 3 lycées étaient bloqués samedi et devraient le rester aujourd’hui (à Noisiel, Mée, Champagne sur Seine). Dans le 94 c’est le cas de 2 lycées (Champigny et Vitry) et un collège (Maisons-Alfort). A Paris un collège du 18ème est bloqué depuis mardi. Partout les enseignants, rejoints souvent par des parents, demandent le maintien de postes supprimés.

Rappelons que 6 syndicats du second degré (SNEP-Fsu, SNES-Fsu, SNUEP-Fsu, SNFOLC, SUD-EDUCATION, UNSEN-Cgt) appellent à une journée de grève le 18 mars. Ils protestent contre la politique salariale, mais aussi contre le fait « qu’aucune réponse n’a été apportée à leur exigence de discussions sur la revalorisation du métier enseignant (rapport Pochard) ». Ils considèrent que « ce rapport ne peut en aucun cas être une base de discussion ».

L’appel

Sur le Café, le rapport Pochard

La Fcpe demande la circulaire de rentrée

« Toujours pas de circulaire de rentrée » déplore la FCPE. L’association de parents estime que « il est temps que le sérieux prenne le dessus sur les élucubrations », formule par laquelle elle désigne les nouveaux programmes du primaire. La Fcpe demande aussi le maintien des postes supprimés.

La Fcpe

Un projet de loi va-t-il remettre en cause la garantie d’emploi des fonctionnaires ?

S’agit-il d’un projet définitif ou d’un simple texte d’étude ? Le Café l’ignore. L’hebdomadaire Marianne publie un document qui serait en consultation auprès des syndicats. Intitulé « projet de loi relatif à la mobilité et aux parcours professionnel dans la fonction publique », le projet «  vise à lever les freins à la mobilité contenus dans les statuts particuliers lorsque ceux-ci prévoient des restrictions au détachement et à l’intégration qui ne paraissent pas justifiées ou ne comportent pas de dispositions expresses permettant leur mise en œuvre effective ». Il donne « le droit à tout fonctionnaire accueilli dans un organisme public ou privé de le rejoindre sous réserve du respect d’un délai de préavis de trois mois ».

Marianne attire l’attention sur les articles 7 et 9. L’article 7 crée la « réorientation professionnelle… situation dans laquelle un fonctionnaire privé d’affectation par suite d’une suppression ou d’une modification substantielle de son emploi bénéficie d’actions d’accompagnement organisées par son administration dans le cadre d’une convention ». Or au terme des deux années, « à condition que l’administration ait accompli toute diligence utile pour favoriser la réorientation professionnelle du fonctionnaire, celui-ci peut être placé d’office en disponibilité ».

Article de Marianne

Sur le Café, la rubrique seconde carrière

Cumul d’emploi

Une nouvelle circulaire (n°2157 du 11 mars 2008) présente le nouveau régime des cumuls d’emploi pour les fonctionnaires et agents non titulaires de droit public. Le nouveau texte assouplit les règles de cumul et rappelle les libertés des fonctionnaires : libre gestion du patrimoine familial et personnel, libre création des œuvres de l’esprit, liberté d’exercice d’une profession libérale découlant de la nature des fonctions.

La circulaire (pdf)

Darcos battu à Périgueux

Selon l’AFP, au terme d’un vote serré, Xavier Darcos a perdu la mairie de Périgueux avec 49,48% des voix.

Dépêche AFP

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Paris : La fin du marché aux élèves ?

La FCPE Paris se déclare favorable à la nouvelle procédure d’affectation automatisée des élèves en seconde, y voyant « la fin du marché aux élèves » et de « l’opacité » des procédures qui, il faut bien le dire, pouvaient permettre à certains proviseurs une large capacité de choix. Mais cela suffira-t-il à garantir la mixité sociale ? Rien n’est moins sûr…

Sur le Café, le reportage de F. Solliec

Les Apprentiscènes

A l’initiative de la Région Ile-de-France, du 1er au 10 avril, 650 jeunes des CFA (Centres de Formation des Apprentis) de la Région Ile-de-France, issus de toutes les filières et de tous les niveaux – du CAP à Bac + 5 – vont relever un défi majeur : monter sur scène face au grand public. Au programme de ce spectacle : 120 sketchs ayant pour thème, leurs métiers, leurs formations et leurs préoccupations.

En finançant les ApprentiScènes, la Région Ile-de-France encourage la mobilisation des jeunes apprentis autour d’un projet commun qui s’inscrit dans le mois de l’apprentissage.

Le programme

La Lettre des élèves à besoins éducatifs particuliers

Réalisée par le CRDP de Besançon, cette Lettre électronique signale des ressources pour les enseignants et les parents d’élèves « à besoins particuliers » : malades, handicapés ou non francophones. Dans le numéro 10 : scolariser un enfant voyageur ou non francophone, scolariser un enfant handicapé ou malade, accompagner la famille etc.

La Lettre

300 000 ouvrages pour les aveugles

La médiathèque Marguerite Yourcenar de Paris donne accès gratuitement à plus de 300 000 ouvrages numérisés accessibles avec agrandisseur d’écran ou lecture audio ou encore lecture tactile en braille. On peut même emprunter l’ouvrage à domicile via une clé usb ou un CD. Ce service est le fruit d’un partenariat de la Ville de Paris avec l’association Sesame.

Sésame

Tchad : Les enfants et l’Ecole victimes du conflit

« Assis sur une natte en plastique, dans une salle de classe en plein air d’un camp pour personnes déplacées par les violences, situé à la périphérie de la ville de Goz Beida, dans le sud-est du Tchad, Ibrahim Abdoulaye Moussa a toutes les raisons d’être attentif pendant les cours. « Je vais à l’école pour sauver mon pays », dit le jeune garçon, qui fait partie des quelque 180 000 Tchadiens déplacés, disséminés à travers la vaste région semi-désertique de l’est du Tchad. « Je rêve d’être président » ». Ibrahim fait partie des rares enfants scolarisés dans ce camp. Il a 14 ans et est en Ce1.

Dans un article de l’IRIN, l‘Unicef explique que la demande d’éducation est très faible dans une population analphabète à 90%. L’insécurité, la modestie des salaires (67 dollars) n’incite guère à embrasser la carrière d’instituteur. Les maîtres présents dans le camp ont reçu une formation de 10 jours.

Article IRIN

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La classe

19ème Semaine de la presse et des médias

Elle débute aujourd’hui. La 19ème édition de la Semaine de la presse et des médias dans l’école se déroule du lundi 17 au samedi 22 mars 2008 et a pour thème « une info, des médias ». Les établissements inscrits ont accès à un service de presse en ligne spécifique qui propose des documents chaque jour pour travailler l’information avec les élèves.

En 2007, la 18e édition a réuni 4 334 488 élèves de la maternelle à l’université et 392 579 enseignants issus de 13 040 établissements. Ils ont travaillé avec les professionnels de 1 463 médias dont 572 publications qui ont offert 1 190 577 exemplaires (11% de plus qu’en 2006) et 891 autres médias audiovisuels, agences de presse et sites Internet.

Sur le site du Clemi

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La recherche

Spirale n°41

Où en est l’orientation ? La revue Spirale (n°41) tente de le déterminer en multipliant les angles de vue. Une première partie regroupe des articles sur l’orientation comme institution. Elle en retrace l’histoire et en analyse les mécanismes. Ainsi A.F. Dequiré interroge les critères des conseils de classe dans la construction des conseils. Dans quelle mesure sont-ils influencés par les critères sociaux ? La seconde partie s’intéresse à l’orientation aux différents âges de la vie. JF Miennée , par exemple, passe le processus sous le regard de l’anthropologue.

Spirale 41, Lille, 2008, 222 pages.

La revue

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Les disciplines

Français : Manif poétique à L’Iroise

« La manifestation a été un grand succès. 24 000 manifestants selon Victor Hugo, qui a toujours tendance à exagérer, 1 manifestant selon Stéphane Mallarmé, comme d’habitude fasciné par l’absence… » Les lycéens de L de L’Iroise à Brest ont manifesté le 14 mars dans les rues de Brest.

« Ils ont décidé d’aller proclamer au coeur de la cité leur attachement à la poésie. Depuis quelque temps, sur leur blog, ils mettaient en ligne des « slogans-poèmes » : des phrases poétiques et fulgurantes, qu’ils allaient chercher dans des recueils, ou qu’ils écrivaient à partir de poèmes lus, ou encore qu’ils inventaient. Profitant du Printemps des Poètes, ils ont osé aller les crier et les chanter sur la place publique. Un exemple à suivre, pour faire vivre la poésie ? » nous dit Jean-Michel Le Baut, leur professeur.

Sur le blog du lycée e L’Iroise

Géographie : 3ème Journée Géomatique

L’INRP organise le 7 mai la 3ème Journée d’étude sur les usages de la géomatique dans l’enseignement d’histoire-géographie et SVT. Cette troisième journée d’études « vise à permettre des échanges entre les professeurs qui utilisent ou souhaitent utiliser la géomatique avec leurs élèves ou étudiants. Elle doit permettre également de conduire une réflexion commune sur les apports de ces technologies pour l’apprentissage. »

Le programme

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les tice

4ème appel Schène

Lancé par le ministère, le programme Schène tend à faire produire des outils multimédia adaptés aux besoins des enseignants. Pour la première fois il définit des besoins du premier degré. Pour le second degré , il s’intéresse aux arts plastiques, biotechnologies, documentation, économie et gestion, éducation musicale, lettres, philosophie, SES, physique-chimie, SVT.

Le programme

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le Cafe

Le Café perturbé…

Depuis jeudi, le site du Café connaît par moment de forts ralentissements. Nous avons travaillé ce week-end sur le serveur pour améliorer cette situation. Merci de votre patience.

Les anciens Expresso ?

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