Attentats : Inquiétude chez les élèves
L'AFP interroge Annick Grégoire, psychologue de la cellule d'urgence de l'Académie de Paris. " Il n'y a pas de traumatisme direct, pour le moment je n'ai pas vu d'enfant qui dise avoir vu des cadavres", explique-t-elle. "Mais l'émotion est très forte pour certains, qui ont craint pour un parent dehors à ce moment-là. Ce qui émerge le plus, c'est le sentiment d'insécurité, certains disent ne pas avoir eu envie de sortir le week-end".
Par fjarraud , le mercredi 18 novembre 2015.