Ils avaient eu la « mauvaise » idée de témoigner, cotes d’archives à l’appui, de la réalité des « ratonnades » du 17 octobre 1961 dans le procès que Maurice Papon avait intenté contre Jean-Luc Einaudi. Brigitte Lainé et Philippe Grand sont encore aujourd’hui dans un placard des archives de la ville de Paris. Une pétition demande leur entière réintégration.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=59514