Serge Pouts-Lajus tente une réponse à cette question. Après avoir rappellé les arguments des opposants (dont la célèbre Alliance For Childhood) qui demandent un moratoire de l’informatique à l’école, il donne la parole aux défenseurs des TICE. Au bout du compte le citoyen ordinaire reste perplexe devant des bilans contradictoires. C’est que les TICE ont sur l’apprentissage un effet ambiguë ” positif sur le plan de la motivation du sujet mais souvent accompagné d’effets secondaires négatifs dus à la surcharge cognitive qu’entraîne la manipulation de fonctions techniques complexes “. Dans son récent rapport annuel, cité dans EPI.Net 39, le Conseil supérieur de l’éducation du Québec voyait à l’introduction des TICE un intérêt fondamental : la transformation dans les façons de faire des enseignants et des élèves, davantage de collaboration (page 45).
http://home.worldnet.fr/~ote/impossible.htm
http://www.cse.gouv.qc.ca/f/pub/rappann/ra00-com.html