Licencié
par un groupe pharmaceutique, un salarié n’avait rien trouvé de mieux que de
bombarder les salariés et les partenaires du groupe de messages
diffamatoires présentés comme s’ils étaient envoyés par les dirigeants de
l’entreprise. Selon ZD Net, au total 700.000 messages seront envoyés,
mettant en péril les messageries des destinataires. Le T.G.I. du Mans vient
de condamner le salarié indélicat à 10 mois de prison avec sursis et 34.000
euros de dommages et intérêt. Pour l’avocat du groupe pharmaceutique, cette
condamnation démontre que le dispositif anti-spam de la future loi sur
l’économie numérique est inutile.
Article de ZD Net