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C’est « un
niveau historique ». L’enseignement supérieur français a accueilli 2%
d’étudiants supplémentaires en 2002, un chiffre inattendu après des années
de stagnation. Cette hausse ne résulte pas d’une classe d’âge plus nombreuse
ou d’une arrivée massive de bacheliers. Elle s’est faite en second et
troisième cycle, le premier cycle poursuivant son déclin. Elle résulte de
l’augmentation des places en IUFM (+5.000), aux concours de la Santé
(+9.000) et au développement des CPGE. « Le principal moteur de cette
croissance est le meilleur accueil des étudiants étrangers ».
Note d’information 03.55 (format PDF)
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