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Dans
Libération du 8 septembre, Emmanuel Davidenkoff décrypte le budget de
l’éducation nationale. En 2004, le nombre de postes d’enseignants devrait
rester stable entre des créations dans le primaire (+1500) et un nombre
équivalent de suppressions dans le secondaire. La hausse de 2,8% du budget
correspond à la hausse automatique des salaires. Cette stabilité n’est que
comptable. E. Davidenkoff montre la difficulté simplement à avoir un prof
dans chaque classe pour une administration énorme, empêtrée dans ses
règlements. Le strict maintien du nombre de postes pourrait se traduire par
un manque réel de quelques milliers d’enseignants.
Article de Libération