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« La
formation à distance des étudiants africains par des experts installés dans
certains pays occidentaux comme la France, la Belgique ou encore les
Etats-Unis coûte moins cher que le recrutement dans une université africaine
d’un coopérant européen… En clair, les TIC peuvent se substituer à
des techniques coûteuses jusque-là utilisées dans la plupart des universités
africaines. Celles-ci vont donc consommer moins de crédits. Les Etats
pourront alors réallouer cet argent vers les établissements
d’enseignement secondaire et primaire ».
Deux articles parus dans
Le Soleil de Dakar font le point sur le développement des TICE en Afrique.

Article du Soleil
Article du Soleil