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« Il
est question pour (les parents) de s’arrimer à la mondialisation et leurs
enfants ne le feront qu’en maîtrisant certes le français mais l’anglais
davantage encore »
. Ce directeur d’école privée d’Akwa Nord, un quartier
favorisé de Douala, s’en félicite : son établissement bilingue ne désemplit
pas. A Douala, les écoles maternelles et primaires bilingues privées
accueillent chaque jour des milliers d’élèves dont les parents tiennent à ce
qu’ils maîtrisent l’anglais et le français dès leur plus jeune âge.
Sur
All Africa