Selon
l’AFP, les proviseurs en ont “ras-le-bol”. Le SNDPEN publie un Livre blanc
qui attire l’attention du public sur les difficultés du métier et les
revendications de la profession. “Nous pensons que pour bien faire notre
métier, nous avons besoin de dégager du temps parce que diriger nécessite de
pouvoir réfléchir, de prendre de la hauteur” affirme le SNDPEN qui
réunit les deux tiers des chefs d’établissement.
Dépêche AFP