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« Toutes choses égales par ailleurs, le pourcentage d’élèves
d’origine sociale favorisée influence positivement les résultats de fin
d’année »
. Dans une étude réalisée pour le Commissariat général du Plan
et le ministère de l’éducation nationale, Marie Duru-Bellat, Magali Danner,
Séverine Le Bastard-Landrier et Céline Piquée étudient l’impact de la
composition scolaire et sociale du public d’élèves sur leur réussite. Leur
étude en montre les effets et, surtout, s’attache à décrire les processus
variés, psychologiques , pédagogiques etc.) qui les explique. Mieux encore
elle pose la question des politiques éducatives. Faut-il à tout prix
défendre la mixité sociale ? Les effets de la composition sociale sont
limités et il y a un réel risque politique à s’opposer aux stratégies de
choix d’établissement des familles. Pourtant « la mixité sociale peut être
défendue comme un principe.. De même que les effets pervers de la mixité
garçons / filles n’amènent pas pour autant à la remettre en cause, on peut
estimer que les mixités doivent s’accompagner d’un travail éducatif, qui est
partie intégrante de la vocation de l’école »
.
Résumé de l’étude (format PDF)
L’étude complète (format PDF)
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