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Le B.O.
publie le décret du 20 février 2004 (voir L’Expresso du 23 février). Il
stipule que « Le fait, pour l’un ou l’autre parent d’un enfant soumis à
l’obligation scolaire.., après avertissement donné par l’inspecteur
d’académie.., de ne pas imposer à l’enfant l’obligation d’assiduité scolaire
sans faire connaître de motif légitime ou d’excuse valable ou en donnant des
motifs d’absence inexacts est puni de l’amende prévue pour les
contraventions de la 4e classe »
. Ce texte précise aussi que « Le
contrôle de l’assiduité scolaire s’appuie sur un dialogue suivi entre les
personnes responsables de l’enfant et celles qui sont chargées de ce
contrôle ».
. Une note adressée aux recteurs clarifie le rôle de
l’établissement face au jeune et ses parents.  » En toute hypothèse,
l’accent doit être mis auprès des parents sur l’importance de la
fréquentation de chaque heure de cours pour assurer la régularité des
apprentissages et contribuer à la réussite scolaire… Dès le repérage de
l’absence, les familles sont informées le plus rapidement possible par tout
moyen (appel téléphonique, message écrit sur portable…..) et invitées à
faire connaître au plus vite le motif de l’absence. Une relation de
confiance, fondée sur le dialogue et l’échange, doit être engagée ».
Elle
demande également un véritable suivi pédagogique de l’absentéisme classe par
classe.  » Dans chaque école et établissement, les taux d’absences sont
suivis classe par classe… Dans le second degré, ce suivi et les analyses
effectuées figurent au rapport annuel sur le fonctionnement pédagogique de
l’établissement qui est présenté au conseil d’administration… Dans le
premier degré, le sujet pourra être abordé en conseil d’école ».

Au B.O.
Au B.O.