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« Pouvons nous accepter que dans le premier degré, les postes mis
aux concours soient inférieurs de 4.000 aux départs en retraite prévus et
que les maternelles pour les tout petits soient remises en cause? Pouvons
nous accepter que dans le second degré, les postes aux concours baissent de
30% ? »
Réuni en congrès, le sgen-cfdt justifie la grève du 25 mai. Pour
son secrétaire général, selon une dépêche AFP,« il y va du fonctionnement
de l’Ecole et donc de l’avenir des jeunes ».

Dépêche AFP