Tout est
parti d’un incident banal : un élève surpris en délit de plagiat au Collège
de Candolle (Genève). L’établissement a annulé son travail de maturité ce
qui l’obligeait à redoubler. Soutenu par ses camarades, l’élève a embauché
un avocat qui a obtenu l’annulation d’une sanction reconnue comme illégale
par la justice. Est-il juste que le plagiat ne soit pas puni ? Mais un
établissement est-il au-dessus des lois ? Pour l’avocat,interrogé par La
Tribune de Genève, » l’Ecole ne saurait être une enclave au sein de
laquelle les élèves ou collégiens seraient privés de l’assistance d’un homme
de loi en cas de violation d’un texte légal. Accepter cela constituerait une
régression de l’Etat de droit et signifierait la porte ouverte à tous les
abus ».
Article Tribune de
Genève
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