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Vente de
sujets, substitution de copies, notes de complaisance : le SYNTER,un des
syndicats d’enseignants burkinabé, décrit tous les chemins de la fraude. Ce
bilan intervient après que de nouvelles fuites (« le pétrole ») aient entaché
le Bepc et le bac. Le synter dénonce l’impunité dont bénéficient les
fraudeurs. Une autre organisation, le SNEA-B, s’inquiète du manque de
formation des enseignants du primaire : « les enseignants peu qualifiés
sont les plus nombreux (58,65%)… A l’allure où nous allons aujourd’hui avec
les 6 mois de formation, si dans 10 ans ceux que nous considérons comme
qualifiés vont à la retraite, les choses vont empirer ».

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