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A la rentrée 2004, les établissements du second degré accueillent 41.000 élèves de moins (-0,7%) qu’en 2003. Cette évolution résulte principalement d’une baisse démographique que ne compense pas l’attrait des formations professionnelles (+1%) et la hausse des redoublements en terminale. Mais cette baisse est très inégale d’une académie à l’autre. Ainsi Strasbourg, Toulouse et Paris connaissent une évolution positive, ce qui pourrait reposer la question des moyens.
Etude (en pdf)