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« Les syndicats aujourd’hui sont d’accord pour l’union du non mais ils ne sont pas d’accord pour une union du oui. Ils ont une negative attitude, ils n’ont pas une positive proposition » a affirmé, dans un style « jeune », le premier ministre sur France Inter. Le SE-Unsa rétorque : « Le Premier ministre gagnerait à s’interroger sur les raisons pour lesquelles le projet de loi d’orientation ne déclenche que scepticisme ou rejet dans une communauté éducative dont les composantes sont pourtant, d’habitude, riches de leurs diversités d’approches. La « sourdingue attitude » du gouvernement peut confiner au mépris ».
Dépêche AFP
Communiqué