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« Les bons élèves aussi ont besoin de soutien » affirme Le Parisien du 7 mars. Selon le psychiatre Patrice Huerre, 10% des très bons élèves craquent. Pour P. Meirieu, « la pression est énorme. Si l’élève est bon il est poussé toujours plus pour donner le meilleur. Certains s’effondrent ».
Article du Parisien