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« Le nouveau programme, je le tasse et je reviens à un enseignement systématique des connaissances ». « Je n’expérimente plus la réforme, parce que je me suis aperçu que les élèves de 12 ou 13 ans ne peuvent pas prendre une aussi grande responsabilité dans leur apprentissage ». Un vent de résistance souffle chez les enseignants québécois soutenus par la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ). Ils demandent le report de la réforme, le rétablissement du redoublement au primaire, celui des filières particulières au secondaire, la suppression des évaluations de compétences transversales. Dans ce jeu d’échec, peut-être pourrait-on roquer les ministres québécois et français ?
Article du Devoir
Article de La Presse
L’esprit de la réforme : Vie pédagogique