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« Les actes de violences ne sont pas plus nombreux depuis cette rentrée, mais ils sont plus forts. On a franchi un degré dans le niveau de violence, tant en direction des personnels de l’Education nationale qu’entre les élèves eux-mêmes » a affirmé à l’AFP le recteur de Créteil, Bernard Saint-Girons. Il invite les enseignants à  » expliquer (aux élèves) ce qu’est la non-assistance à personne en danger ».
Dépêche AFP