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La majorité des directeurs signalent plus de réussite mais un moindre respect des programmes sous l’influence de la loi No Child Left Behind ». Selon une étude du Center on Education Policy, une association civique, la loi No Child Left Behind aurait des effets pédagogiques néfastes. Contraintes d’assurer un « rendement » minimum aux tests de lecture et de maths pour bénéficier des subventions fédérales, les écoles délaisseraient les disciplines non évaluées. Un tiers des écoles aurait réduit l’horaire d’histoire pour faire des maths ou de la lecture, 29% les cours de sciences et 22% ceux de musique et d’art.
L’étude