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« Je ne suis pas derrière SOS Education, je ne veux pas me mêler des messages qu’elle compte défendre » a déclaré Gilles de Robien à l’AFP. Le ministre a apporté un « démenti flagrant » aux propos syndicaux, les estimant « caricaturaux ». Il a également minimisé les critiques portées par le récent rapport de l’Inspection générale.

Du côté syndical, on veut toujours croire à l’apaisement. « L’autoritarisme, les expressions provocatrices, les inspections sur ordre, les menaces de sanctions du ministre de l’Éducation nationale ont créé un climat détestable en cette rentrée » estiment dans un communiqué unitaire 14 syndicats d’enseignants (Sgen-Cfdt, Se-Unsa, Unsa-Education, Si.En-Unsa, Snpden, Sup-Recherche, Fsu, Snuipp, Snes, Snep, Snpien, Snesup, Ferc-Cgt, Unsen-Cgt). « En ce début novembre, (les organisations syndicales) constatent les signes d’un changement positif dans l’expression du ministère sur les questions liées à la lecture. Elles y voient la conséquence de la mobilisation des personnels enseignants, enseignants-chercheurs et des corps d’encadrement. Ces signaux d’apaisement doivent être confirmés par l’abandon des menaces de sanction ».
Dépêche AFP
Rappel : L’Expresso du 8/11
Communiqué intersyndical