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« Nous sommes dans une société avec des familles plus éparpillées et plus désemparées. Nous recevons des parents qui ont une extrême difficulté à contenir leurs ados, voire qui en ont peur. Or, à cet âge-là, les jeunes n’ont pas tous les critères pour choisir, il faut que les familles et la société puissent les guider, c’est-à-dire témoigner d’une aspiration ou d’un désir pour eux. Car, si aujourd’hui l’ado est plus libre de se construire, il est aussi plus libre de se détruire s’il va mal ». Maurice Corcos, pédopsychiatre, évoque dans Libération les automutilations que s’infligent les adolescents.
Article de Libération