« Par rapport aux années 1960, la permissivité des moeurs (sexuelles, par exemple) a continué de progresser. Par contre, il y a un renversement de tendance concernant la critique des institutions et de l’ordre…(La précarité) les concerne tous, diplômés et non-diplômés. Mais l’écart entre ces deux jeunesses ne fait que s’accroître. Pour un non-diplômé, la précarité est plus durable, débouche souvent sur de l’exclusion et du chômage longue durée ». Dans Ouest-France, le sociologue Oliver Galland dresse le portrait d’une jeunesse qui doit faire face à la précarité.