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 » Pour Nathalie, enseigner à Yaoundé après sa formation, lui éviterait la mésaventure d’un ancien normalien qui a  » failli mourir d’une diarrhée à son premier poste d’affectation dans le Nord où il avait bu une eau non potable « . Où était-ce ? La jeune femme ne le sait pas bien. Mais ce Nord redouté se trouve partout « où il n’y a pas d’eau courante, à manger, de l’électricité, des routes carrossables et… la couverture des réseaux de téléphone mobile « . Le Quotidien Mutations donne la parole aux jeunes diplômés de l’Ecole normale supérieure de Yaoundé. Tous souhaitent un premier poste en ville et fuient les campagnes éloignées. Du coup celles-ci manquent d’enseignants.
Article Quotidien Mutations