LE FAIT DU JOUR
Les présidentielles, dossier spécial du Café
ÉDITORIAL
Mai 68 a 39 ans, l’âge de l’insolence
LE SYSTÈME
Bac 2006 : année record ou stagnation record ? | Création de la commission d’évaluation de la formation des maîtres | Les rencontres parents professeurs | Premières auditions du pôle de compétitivité CapDigital | Les Etats-Unis investissent dans l’enseignement des maths et des sciences | Robien se lache
L’ÉLÈVE
Former les délégués élèves | Jeunes Journalistes | Des assiettes contre la faim
LA RECHERCHE
Aide individualisée : Chronique d’une recherche sur fond de croise de l’Ecole
CITOYENNETE
Des cartes pour une élection
LES DISCIPLINES
Primaire : Les belles chaises 2007 | Français : l’orthographe rectifiée reconnue | Français : la linguistique responsable dela crise du français ? | Histoire – Géo : La Durance et le programme STG | Physique – Chimie :Images d’un enseignement
TICE
Des failles dans Quick Time et Winamp
Les présidentielles : Un Dossier spécial du Café
Doublement difficile d’aborder l’élection présidentielle en classe avec les élèves. Disons d’abord qu’il est presque impossible de ne pas le faire : les élèves participent eux aussi à la mobilisation populaire qui accompagne cette élection.
L’enseignant se heurte à deux difficultés : trouver un angle original pour un travail en classe et disposer des outils d’analyse qui lui permettent de prendre un recul d’autant plus nécessaire que les esprits sont échauffés. C’est pour répondre à ces besoins que le Café pédagogique vous propose ce nouveau Dossier spécial « Présidentielles 2007 ». Vous y trouverez des informations, des documents, y compris en anglais, et aussi des exemples de séquences pédagogiques.
Il n’oublie pas non plus le prof – citoyen. Une partie du dossier est dédiée au débat sur l’Ecole durant la campagne électorale ainsi qu’aux réalisations des candidats en matière éducative. En Poitou-Charentes, la démocratie participative en marche. Dans les Hauts-de-Seine, le pouvoir local s’impose dans les collèges…
Dossier spécial Présidentielles 2007
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/02052007_Presidentielles2007.aspx
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Mai 68 a 39 ans, l’âge de l’insolence
La condamnation sans appel de Mai 68 dans la bouche de Nicolas Sarkozy et des ses affidés a pu surprendre par sa violence et son décalage avec le programme de son adversaire dont on voit bien qu’elle n’appartient pas au camp révolutionnaire qui a fait vaciller de Gaulle. Quel sens et quelle utilité pour ces propos répétés ? Dans quelle mesure concernent–ils l’Ecole ?
Il faut d’abord rappeler la violence des propos de N. Sarkozy. « Mai-68 a imposé le relativisme intellectuel et moral, a liquidé l’école de Jules Ferry, a introduit le cynisme dans la société, a abaissé le niveau moral et politique… (Ses héritiers) avaient imposé l’idée que tout se valait, qu’il n’y avait donc désormais aucune différence entre le bien et le mal, aucune différence entre le vrai et le faux, entre le beau et le laid. Ils avaient cherché à faire croire que l’élève valait le maître… Ils trouvent des excuses aux voyous, ont renoncé au mérite et à l’effort, ont affaibli l’autorité de l’Etat et l’idée de citoyenneté, cultivent la repentance, font l’apologie du communautarisme, dénigrent l’identité nationale ». Le candidat UMP a appelé à « liquider » l’héritage de mai 68.
Des propos qui ne sont pas nouveaux. En février le ministre de l’intérieur avait dénoncé l’Ecole de mai 68 en ces termes. » L’école n’a plus mission de tirer tout le monde vers le haut au nom d’une certaine idée de ce que doit être un homme mais de brader les diplômes pour remplir l’objectif d’amener 80% d’une classe d’âge au baccalauréat… Il s’est effondré d’autant plus que l’idéologie de 68 a imposé partout le relativisme intellectuel et moral… C’est le principe d’autorité qui déserte l’école puisque ce que dit l’enfant devient aussi important que ce que le maître a à dire ».
Est-il utile de démontrer que ces propos ne reflètent pas la réalité ? En 1968, moins d’un jeune sur cinq avait accès à un lycée qui était exceptionnellement mixte. Le niveau culturel des jeunes Français était inférieur au niveau actuel. Pour un historien comme Jean-François Sirinelli, Mai 68 a été le révélateur de changements profonds dans la société française qui remontent au milieu des années 60. Dans une France jeune et prospère, alors que la République s’affermit, le modèle de valeurs républicaines hérité de la République des Jules est pris dans une « période tourbillonnaire » où il apparaît comme profondément décalé par rapport aux réalités sociales et aux pratiques culturelles. Non seulement les contrôles sociaux se relâchent mais Mai 68 arbore le droit à la différence et l’égalité entre hommes et femmes.
En apparence, le discours de Nicolas Sarkozy est passéiste. Il tend à ramener le corpus de valeurs qui s’est effondré dans les années 60 et que légitimait une histoire officielle à laquelle le candidat fait sans cesse allusion. Peut-être ce discours a-t-il de l’intérêt pour la partie la plus âgée de son électorat, une catégorie sociale où il faut un très bon score.
Mais il marque surtout une rupture sociale. On savait le candidat UMP apte à dresser une partie de la population contre les autres, par exemple opposer les « immigrés » aux « vrais Français », les fonctionnaires aux salariés du privé, les jeunes aux adultes etc. En dénonçant Mai 68, N. Sarkozy offre à une jeunesse en crise un remarquable bouc émissaire. Les responsables de tous vos malheurs ce sont vos grands parents. On ne saurait marquer plus nettement une volonté de rompre et de changement qui correspond à une attente de l’électorat. Il faut sans doute toute la fascination de la haine pour que toutes ces oppositions aboutissent à une addition électorale plutôt qu’à une division.
Car la rupture est bien là dans le programme. Restons dans le domaine d l’Ecole. Le programme annoncé peut sembler séduisant : liberté pédagogique, autonomie par exemple. En fait il traduit plutôt un désengagement de l’Etat dans les moyens accordés à l’enseignement et le pilotage du système. Que vaut la liberté pédagogique d’équipes laissées à elles-mêmes pour diagnostiquer leurs difficultés et y faire face ? Que vaut l’autonomie quand elle se limite à gérer la pénurie mise en place par un gouvernement qui annonce qu’il réduira le nombre de fonctionnaires. Comment croire que le décret Robien par exemple sera annulé alors qu’on affirme vouloir pousser les salariés à travailler plus ?
De Mai 68 N. Sarkozy nous dit. « Après mai 68… l’école n’a plus mission de tirer tout le monde vers le haut au nom d’une certaine idée de ce que doit être un homme mais de brader les diplômes pour remplir l’objectif d’amener 80% d’une classe d’âge au baccalauréat ». Ce discours annonce l’abandon des 80% au bac, c’est dire qu’il enterre la démocratisation de l’Ecole. Cette politique vise en premier lieu les plus démunis des Français. Mais dans une économie compétitive et mondiale, en réduisant son effort éducatif alors que les autres Etats développés l’augmentent, la France pourrait bien enterrer son avenir.
Article du Monde
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-903643,0.html
Article de Libération
http://www.liberation.fr/actualite/evenement/evenement1/250822.FR.php
Article de JF Sirinelli
http://www.persee.fr/showPage.do?urn=xxs_0294-1759_1994_num_44_1_3120
Bac 2006 : Année record ou stagnation record ?
« Avec 639 000 candidats et 524 000 lauréats, le taux de réussite à la session 2006 du baccalauréat atteint 82,1 %. Ce taux est supérieur à ceux de toutes les sessions précédentes ». Les résultats définitifs du bac 2006 publiés par la Depp (ministère) montrent une année exceptionnelle. « La réussite dans la filière générale atteint 86,6%(+ 2,5 points par rapport à la session 2005). C’est aussi le cas au baccalauréat professionnel (+ 7 300 bacheliers depuis 2005), la réussite s’y élève à 77,3%; taux également atteint au baccalauréat technologique, où, bien que le nombre de candidats recule (- 2 800 par rapport à 2005), celui de lauréats est stable.… La proportion de bacheliers dans une génération est en hausse. En 2006, 64,2%des jeunes d’une génération obtiennent le baccalauréat : 34,6%dans une série générale, 17,2%dans une série technologique, 12,3%dans une série professionnelle ».
Mais tout est affaire de perspective. La proportion de bacheliers dans une génération avait déjà atteint 63% en 1995. Elle a donc gagné 1 point en 11 ans… En 1995, il y avait 492 000 bacheliers dont 287 000 au bac général contre 283 000 en 2006. Par contre, de 1990 à 1995 la proportion de bacheliers dan une génération était passée de 43% à 63%.
L’année exceptionnelle est donc peut-être seulement la 11ème année de stagnation. Encore faut-il souligner le maintien des inégalités entre académies et séries. 9 candidats sur 10 ont obtenu leur bac en série S. Grenoble, Rennes, Nantes et Strasbourg flirtent avec 87% à 88% de reçus quand Créteil et les Dom en comptent 74 à 75%. Depuis 2002, l’inégalité devant l’accès au bac n’a pas diminué…
Etude Bac 2006
http://www.education.gouv.fr/cid4966/resultats-definitifs-de-la-session-2006-du-baccalaureat.html
Création de la Commission d’évaluation de la formation des maîtres
« La Commission nationale d’évaluation de la formation des maîtres expertise les plans de formation élaborés par les établissements dans le cadre de la politique contractuelle. A cette fin elle apprécie la qualité et la cohérence de la proposition au regard des dispositions définies par le cahier des charges de la formation des maîtres, par les instructions nationales de mise en oeuvre et par les orientations de la politique éducative menée au sein de l’académie ; elle évalue la qualité des partenariats conduits tant avec les autres établissements universitaires qu’avec les autorités académiques ». UN décret publié au Journal officiel du 2 mai crée une commission de 20 membres nommés pour 3 ans.
Au J.O.
http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MENS0751804D
Les rencontres parents professeurs
Comment organiser ces rencontres ? Quel doit en être le contenu ? Sur quels textes s’appuient-elles ? L’Esen met à jour sa fiche pratique et propose une boîte à outils pratique.
La fiche
http://www.esen.education.fr/upload/fiches_film/fiche_film_19.pdf
Premières auditions du pôle de compétitivité Cap Digital sur l’éducation
Regroupant entreprises (plus de 300), centres de formation et laboratoires de recherche publics, le pôle de compétitivité « Cap Digital » a vocation à intervenir dans les champs de l’ingénierie des connaissances, du patrimoine numérique, de l’image et de l’interactivité, du jeu vidéo, de l’éducation numérique et des services. Quelques chiffres illustrent l’enjeu économique : la filière TIC – image compte 160 000 emplois en Ile-de-France.
Cap Digital est le seul pôle de compétitivité à prendre en compte l’éducation numérique, un secteur stratégique mais en difficulté. Il souhaite relancer des projets industriels mais aussi le débat public sur ces questions et pour cela la commission éducation de Cap Digital organise une série d’auditions.
Les premières auditions auront lieu le 16 mai sur le numérique éducatif à l’international.
Le programme
Les Etats-Unis investissent dans l’enseignement des maths et des sciences
« On ne peut réussir dans l’économie mondialisée que si on est compétitif et innovant. On ne peut innover sans investir dans l’éducation, la science et la technologie ». Nanci Pelosi, la présidente démocrate de l’assemblée américaine a fait voter le 24 avril des crédits spéciaux pour l’enseignement des maths et des sciences.
La nouvelle loi prévoit de recruter 10 000 professeurs supplémentaires pour enseigner les maths et les sciences. Ils devront doubler le nombre d’élèves choisissant des filières scientifiques. Pour y réussir le gouvernement financera 10 000 bourses supplémentaires qui seront attribuées à ces futurs professeurs.
Cette décision intervient après que plusieurs études aient invité le pays à renforcer son effort éducatif pour garder son avance technologique.
Article d’Education Week
http://www.edweek.org/ew/articles/2007/05/02/35compete.h26.html
Robien se lache…
En fin de course politique, le ministre de l’éducation nationale récite son credo conservateur et fait allégeance au Chef (même si celui-ci ne l’a pas ménagé). « Le pédagogisme, cette façon de faire, ne permet pas aux enfants d’apprendre. Le pédagogisme emploie ces vocabulaires incompréhensibles pour les enfants, les maîtres et les parents, le pédagogisme on le traîne depuis 68 », a déclaré Robien à l’AFP.
Le ministre a ensuite menacé Philippe Meirieu qui avait osé critiquer Sarkozy. « Il (M. Meirieu) devrait avoir honte parler de Pétain… C’est une honte surtout venant d’un ancien enseignant et ancien directeur d’IUFM, je me demande s’il n’y a pas diffamation et lieu de le faire condamner par des juges ». Des menaces qui viennent trop tard ou trop tôt ?
Dépêche AFP
Former les délégués élèves
Comment former des délégués pleinement capables de jouer leur rôle ? L’Esen propose une fiche avec des pistes concrètes. Ainsi elle présente des documents pratiques (exemple de cahier de délégué, guide à l’intention des délégués etc.), ainsi que des exemples concrets accessibles sur le net.
Fiche Esen
http://www.esen.education.fr/upload/fiches_film/fiche_film_23.pdf
Jeunes Journalistes
Dédié aux 12-20 ans, ce site belge veut aider les jeunes à apprendre les règles de la profession de journaliste et à s’exprimer.
http://www.jeunes-journalistes.net/site/index.php?EsId=7
Des assiettes contre la faim
Pour sensibiliser les élèves au problème de la faim, Action contre la faim invite les enseignants et les écoliers à participer à une opération simple, amusante et pédagogique : décorer des assiettes de porcelaine pour récolter des fonds au profit de la lutte contre la faim. 400c lasses participent déjà au projet.
Action contre la faim
http://www.actioncontrelafaim.org/
La recherche
Aide individualisée : Chronique d’une recherche sur fond de crise de l’Ecole
« L’aide aux élèves agit comme un révélateur photographique : les représentations latentes des élèves et de l’éducation, les désaccords ou les accords tacites concernant les pratiques pédagogiques prennent forme dès qu’il est question de l’aide ». Avec ce nouveau Cahier, Education & Devenir rend compte d’une recherche peu commune.
D’abord parce qu’il s’agit d’une recherche action qui a associé étroitement un chercheur, Françoise Clerc, et des enseignants du lycée F Mauriac Forez d’Andrézieux – Bouthéon, ce qui n’est pas une forme banale de formation. D’autre part parce que F. Clerc analyse l’aide individualisée comme un élément d’une crise plus grave de l’Ecole. « À l’évidence,… il n’existe pas d’accord sur les critères de réussite ni sur les représentations de l’apprentissage. Il n’existe pas non plus d’accord suffisant sur les priorités de l’éducation et des finalités des politiques publiques dans ce domaine pour fédérer le personnel d’un établissement. Si l’on ajoute que les sous-cultures disciplinaires ont un effet largement centrifuge, l’équilibre d’une politique d’établissement est nécessairement précaire ».
L’aide individualisée remet en question le fonctionnement pédagogique traditionnel (par exemple le statut de l’erreur). Mais elle expose aussi les contradictions de l’Ecole. « Faute d’une véritable gestion des parcours professionnels, faute d’une véritable politique des compétences qui permettraient aux personnels de l’éducation de d’occuper des fonctions éducatives variées au cours de leur carrière, c’est par un investissement personnel dans la relation avec les élèves, que se « sauvent » de nombreux professeurs. Lorsque cette relation devient impossible, il existe peu d’issues favorables. La pratique des différentes formes d’aide contribue à la restauration ou au maintien d’une identité professionnelle positive. C’est pourquoi il n’est pas possible d’évaluer l’impact de l’aide aux élèves sous le seul critère de l’efficacité des apprentissages mesurée par les évaluations traditionnelles ».
L’aide individualisée, Education & Devenir, Les Cahiers d’Éducation & Devenir (1er nouveau cahier au format pdf).
Etude
http://education.devenir.free.fr/cahier_pdf1.htm
Citoyennete
Des cartes pour une élection
Michel Bussi, Céline Colange et Jean-Paul Gosset (Université de Rouen, UMR CNRS IDEES-MTG 6228) proposent, sur le site national Géoconfluences, cartes à l’appui une excellente analyse des évolutions électorales : Sarkozy progresse à l’est aux dépens du F.N., Royal à l’ouest et Bayrou s’installe en zone urbaine. Une analyse de l’évolution 2002-2007 par canton.
Le dossier
http://geoconfluences.ens-lsh.fr/doc/breves/2007/1.htm
Primaire : Les Belles chaises 2007
« Avec les enfants laissons parler la chaise ». A Nantes, « Les belles chaises » est une manifestation originale et populaire (15 000 visiteurs en 2005, 18 000 en 2006). Dans la rue, le 12 mai, chacun peut exposer son talent qui doit utiliser un support unique : la chaise. Les classes de maternelle et du primaire sont invitées à participer à la manifestation et à exposer chacune sa chaise.
Les belles chaises
http://www.ia44.ac-nantes.fr/1172650381859/0/fiche___actualite/&RH=espe
Français : L’orthographe rectifiée reconnue
Pour la 1ère fois, les programmes de l’école primaire, cycle des approfondissements, reconnaissent l’orthographe rectifiée. « On s’inscrira dans le cadre de l’Orthographe rectifiée. Les rectifications définies par l’Académie Française ont été publiées au Journal Officiel de la République française le 6 décembre 1990, édition des Documents Administratifs. Elles se situent tout à fait dans la continuité du travail entrepris par l’Académie Française depuis le XVIIème siècle, dans les huit éditions précédentes de son dictionnaire. »
L’Afef, association française des professeurs de français, s’en félicite. « Même s’il ne s’agit pas d’une injonction forte, réjouissons-nous de cette première reconnaissance et empressons-nous de la faire appliquer autour de nous ! ».
Communiqué
http://www.afef.org/blog/index.php?2007/05/02/102-l-orthographe-rectifiee-reconnue
Le B.O.
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2007/hs5/hs5_vol1b.pdf
Français : La linguistique responsable de la crise du français ?
La linguistique et la didactique sont-elles responsables de la crise de l’enseignement du français ? A l’invitation de l’AFEF, association française des enseignants de français, Jean-Louis Chiss animera une rencontre débat le 5 mai à 14 heures à l’INHA (2 rue Vivienne, Paris 2ème).
Contact : bureau@afef.org
Histoire – Géo : La Durance et le programme de STG
La revue de l’académie d’Aix-Marseille consacre son numéro 80 au nouveau programme de STG. Il propose 4 séquences pédagogiques. Alain Sidot montre comment traiter « la construction de la République ». José-Christine Langlois et Véronique Etienne proposent deux études de cas pour travailler sur « peuplement, réseaux et mobilité ». Patrick Parodi nous fait réfléchir aux « grands procès de la seconde guerre mondiale ».
La Durance 80
http://histgeo.ac-aix-marseille.fr/durance/new_dur/num_080.htm
D’autres séquences
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/r2006_hist.aspx
Physique – Chimie : Images d’un enseignement
« Les pratiques d’enseignement de la physique-chimie en lycée sont fondées sur la démarche expérimentale ; elles sont plus axées sur les savoirs théoriques en lycée d’enseignement général et technologique (L.E.G.T.) et sur les aspects pratiques et expérimentaux en lycée professionnel (LP). Les programmes, aux dires des enseignants, sont globalement adaptés à la construction des compétences scientifiques des élèves, notamment en L.P., mais un enseignant sur deux seulement estime que l’enseignement qu’il dispense donne une image exacte de ces sciences. Qu’ils soient ou non directement concernés par la physique-chimie, enseignants et élèves en ont une image positive : elle est utile, concrète, intéressante ». Le ministère publie une synthèse du rapport Alluin sur « l’image des sciences physiques et chimiques au lycée » dont L’Expresso a rendu compte le 28 mars.
La synthèse
http://www.education.gouv.fr/cid4965/l-image-des-sciences-physiques-et-chimiques-au-lycee.html
Sur le rapport Alluin
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/28032007Accueil.aspx
tice
Des failles dans Quick Time et Winamp
Secuser signale de nouvelles failles trouvées dans les logiciels Quick time et Winamp. Toutes deux permettent l’exécution d’un virus. Pour Quick Time il convient de télécharger une nouvelle version. Par contre Winamp ne dispose pas encore d’un correctif.
Communiqué
http://www.secuser.com/vulnerabilite/2007/070502_quicktime.htm
Communiqué
http://www.secuser.com/vulnerabilite/2007/070501_winamp.htm
Le Café à la carte
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