Ma plus belle erreur : croire que je gagnerais plus en ouvrant plus de magasins
Offrir des fleurs, c’est faire plaisir et, pour qu’un client fasse plaisir, François de Maublanc ne lésine pas sur la qualité. « Confectionner des bouquets demande des compétences pointues. Or on ne peut pas laisser à des franchisés le soin de fabriquer un produit complexe que l’on ne peut contrôler soi-même. » Fort de ce constat, le cofondateur du fleuriste Aquarelle choisit en 1990 de développer sa marque en créant des succursales. En cinq ans, une vingtaine de magasins sont implantés sur le territoire français. « Nous avions une bonne image, une bonne presse. C’était pas mal, mais on ne gagnait pas d’argent », reconnaît-il. En 1995, il se retrouve « embêté » avec ces succursales. Elles sont peu rentables (10 millions de francs de chiffre d’affaires pour un effectif d’environ 150 salariés), car, si François de Maublanc a privilégié la qualité, il a sous-estimé trois facteurs.
http://www.lentreprise.com/1/5/article/12195.html
Pourquoi Badoit perd du terrain face à San Pellegrino ?
Inexistante en France il y a encore vingt ans, San Pellegrino (Nestlé Waters) a patiemment grappillé des parts de marché au géant du secteur des eaux gazeuses, Badoit (Danone). L’hégémonie de la marque française sur les marchés alimentaire et de la restauration est menacée, alors que San Pellegrino a tout d’un challenger coriace. Badoit organise sa riposte avec de nouveaux produits et de nouveaux formats. Marchés, cibles marketing, communication, découvrez les dessous du combat sans merci auquel se livrent San Pellegrino et Badoit.
http://www.journaldunet.com/economie/face-a-face/badoit-san-pellegrino/index.shtml
Qui se cache derrière les marques de distributeur
Les marques de distributeurs (MDD) ont envahi les rayons des grandes surfaces. Fromage, pâtes, produits laitiers… difficile de trouver un produit alimentaire que la grande distribution ne vend pas sous sa propre marque. Mais qui fabrique ces aliments ? Parfois, ce sont les marques nationales, comme Lustucru ou Aoste. Voici dix exemples.
http://www.journaldunet.com/economie/enquete/qui-produit-les-marques-de-distributeur/index.shtml
Robert et Larousse : des dicos qui pèsent lourd
Deux monuments de la langue française, le Petit Larousse et le Petit Robert se partagent le marché du dictionnaire. En France et dans les pays francophones, leurs noms sont même devenus des synonymes de dictionnaire. Pourtant, le Larousse et le Robert ne s’adressent pas au même public et leur concurrence reste indirecte.
http://www.journaldunet.com/economie/face-a-face/larousse-robert/index.shtml
La RFID, menace pour les caissières ?
Un Podcast avec Gérard Gallo, chargé de mission sur les nouvelles technologies auprès de Philippe Lemoine et ancien directeur général de l’Echangeur, sur la technologie RFID.
http://www.lsa.fr/article/Page_article.cfm?dtc=1847528%405F6D15C3BDFAE9543CFA810415777E04&idoc=103629&navartrech=1
Les rasoirs masculins montent en gamme
À défaut de développer massivement les ventes en volume de rasoirs masculins, systèmes ou jetables, les marques nationales misent sur des produits de plus en plus sophistiqués, qui affichent des prix plus élevés.
http://www.lsa.fr/GlobalDocs/EDITORIAL/LSA/pdf/040_042_1997.pdf (2 pages – 1,3 Mo)
Vers le tout numérique
L’année 2006 a été particulièrement faste pour l’électronique grand public. En tête des ventes : écrans plats, GPS et baladeurs numériques. Mais, en 2007, les fabricants vont devoir faire face à un ralentissement significatif de la croissance.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=18475
Le marketing participatif
Le marketing collaboratif ou participatif a pour principe de faire participer les consommateurs à l’élaboration de la politique produit ou de la politique de communication. On peut par exemple demander aux consommateurs de voter pour un nouveau parfum de produit alimentaire, pour une nouvelle couleur de produit ou de proposer un slogan, un logo voire un nom pour un nouveau produit.
http://www.abc-netmarketing.com/article.php3?id_article=2521
E-CRM et Renault
Renault décline en ligne son programme de CRM papier faisant de son espace client MyRenault un portail dynamique personnalisé. Le directeur marketing France du constructeur revient sur ce projet et détaille les grandes lignes de sa stratégie de relation client sur le Net.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/interview/070510-renault-josselin-crm.shtml
Quatre astuces pour séduire votre client
L’année 2006 a été celle de tous les records pour Bruno Schauenberg. Ce commercial de 37 ans, vendeur de produits Xerox, a réalisé un million d’euros de chiffre d’affaires, soit 30 % de plus que les objectifs qui lui avaient été fixés. Son secret ? Du talent, du culot, de l’opiniâtreté ? Sans aucun doute, mais aussi du travail, des techniques de vente irréprochables, une excellente connaissance du client et… des petits trucs « perso », saupoudrés ici et là, qui permettent à ce super-vendeur de transformer un prospect en client et une petite vente en affaire du mois.
http://www.lentreprise.com/3/3/1/article/12202.html