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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

PIRLS : Des résultats décevants

ÉDITORIAL

L’Ecole, les syndicats et le changement

LE SYSTEME

Bac pro en 3 ans : le ministre s’explique l Combien de lycées bloqués aujourd’hui ? l Incident violent à Nantes l Carte scolaire : les discrètes consignes de Darcos.

L’ÉLÈVE

« Conte-moi » : le patrimoine populaire francophone en ligne l 1000 ambassadrices pour les sciences l Examens : Le rabbinat saisit la Halde l Envieux et heureux c’est naturel…

LA RECHERCHE

Un colloque qui URL !

CITOYENNETE

Villiers-le-Bel : l’histoire d ‘un élève

LES DISCIPLINES

Documentation : Eduquer aux médias, ça s’apprend ? l Lettres : Le blog de L’Iroise l EPS : Le sport à l’école primaire l EDD : Ca chauffe en antarctique

LES TICE

Itica 2007

Le fait du jour

PIRLS : Des résultats décevants

« Nous avons perdu des places… Aujourd’hui, sur 40 pays, nous sommes dans les six derniers. Même la Bulgarie est devant nous ». S’exprimant fin octobre sur RTL, X. Darcos avait annoncé de mauvais résultats pour la France dans l’enquête internationale PIRLS. Effectuée dans 40 pays, tous les 5 ans, l’enquête PIRLS évalue les capacités de lecture des écoliers de CM1. Le ministre n’avait pas tort mais exagérait. La Bulgarie a toujours été bien classée dans cette enquête. Et les résultats français sont plus décevants qu’exécrables. Mais cela doit interroger les enseignants.

Avec 522 points, la France se place au-dessus de la moyenne (500). Elle a perdu 4 points, un écart jugé non significatif par les enquêteurs. Elle a à peu près gardé son rang depuis la précédente enquête de 2001 : elle est 19ème (18ème en 2001) sur 35 pays. Pas de quoi pavoiser puisque ses résultats sont inférieurs à ceux de la Russie, du Canada, des Etats-Unis, de l’Italie, l’Allemagne ou l’Angleterre. En Europe ils sont supérieurs à ceux de l’Espagne, la Pologne ou la Roumanie.

Interrogé par le Café sur ces résultats, Bruno Suchaut (Iredu) estime que « les résultats de l’enquête PIRLS 2006 confirment des résultats peu encourageants sur le plan des acquisitions scolaires des élèves français au niveau de l’école primaire. De 1990 à 2001, le classement de la France s’est dégradé puisque l’enquête  » Reading Literacy  » plaçait notre pays en 4ème position sur 24 pays en 1990 et en 18ème position sur 35 pays dans l’enquête PIRLS de 2001. Entre 2001 et 2006, les performances moyennes des élèves français n’ont pas diminué en termes de score et le classement de la France reste stable…Mais, aux deux années considérées, il n’y a que deux pays comparables en termes de niveau de développement économique qui présentent des classements plus défavorables que la France (l’Islande et la Norvège) alors que des pays comme la Bulgarie, la Lettonie ou la Lituanie ont des résultats meilleurs.

Cette stagnation des résultats de la France doit aussi s’apprécier en fonction de l’évolution des coûts associés à l’enseignement primaire. A ce titre, et toujours dans une perspective comparative, au cours de ces trente dernières années, les conditions d’enseignement se sont pourtant améliorées avec une sensible augmentation des coûts par élève. L’école primaire n’a donc pas su transformer efficacement les ressources en résultats visibles sur le niveau scolaire des élèves. Les causes de cet échec sont peut-être à rechercher du côté des mécanismes de gestion pédagogique, de pilotage et d’évaluation du système éducatif qui ont eux-mêmes peu évolué au cours des années et qui ne sont sans doute plus adaptés à l’évolution de l’école ».

La difficulté est donc dans l’explication de ce piétinement français. Traditionnellement,PIRLS avance 5 grands facteurs qui jouent sur les résultats : l’influence des parents, le poids du rapport à la lecture, l’importance de la maternelle, les conditions d’enseignement, les facteurs sociaux.

Or sur bien des points, la France a des avantages qui devraient la propulser à un meilleur rang. Les ménages français ont plus de livres que la moyenne. Les jeunes français ont plus le goût de la lecture que la moyenne. Ils disposent d’un nombre d’heures de lecture à l’école qui est un des plus élevés de tous les pays de l’enquête. Enfin, ils bénéficient d’un taux d’accès très élevé en pré-élémentaire. Enfin le nombre d’élèves par classe en France est exactement dans la moyenne.

Mais l’enquête laisse apparaître des facteurs pédagogiques négatifs. Si les enseignants français consacrent énormément d’heures à la lecture, ils utilisent davantage que les autres des textes littéraires longs. Ils disposent de peu d’aide pour cet apprentissage :la moitié d’entre eux ne peuvent faire appel à un spécialiste (41% en moyenne). Ils font nettement moins appel aux tice que d’autres pays : 3% utilisent des logiciels contre 32% en Angleterre, 36% à Hong-Kong.

Mais,davantage que ces critères, c’est le climat scolaire qui semble souffrir en France. D’une part, depuis 2001, l’absentéisme a énormément augmenté : les deux tiers des écoles étaient « sans problème » en 2001, contre 49% en 2006. Enfin on retrouve dans PIRLS un trait déjà mis en évidence dans Pisa. Les jeunes français sont beaucoup moins sûrs d’eux que leurs camarades. Seulement un tiers des élèves (36%) juge qu’ils lisent bien contre 49% ailleurs.

Restent les critères sociaux. Les résultats publiés restent muets sur ce terrain. Nous savons seulement que le système français est plus égalitaire que les autres : 96% des élèves français atteignent le niveau bas (94% en moyenne). Il y a quelques jours, Bruno Suchaut déclarait au Café. « La recherche des causes de ces moindres performances n’est pas aisée, car elle demande à bien séparer ce qui tient au contexte économique et social du pays (et donc des caractéristiques socio-économiques de la population) de ce qui tient au fonctionnement de l’école. La mise à disposition des données de PIRLS 2006 permettront d’examiner plus en détail la part de chacun de ces facteurs. Ce que l’on sait en revanche, c’est que le pilotage de l’école primaire n’est pas efficace actuellement, d’autant plus que des réformes se succèdent sans qu’elle ne puissent véritablement être appliquées. Mais de là à penser que c’est la seule raison des baisses de performances…. »

Seul un décryptage précis des résultats permettra de mesurer la part de l’Ecole dans ces résultats. Dans l’immédiat, c’est à tort que le discours sur les fondamentaux sera proféré : l’école française consacre déjà beaucoup de temps à la lecture. L’organisation de l’école, les modèles d’enseignement, la rareté d’une pédagogie de la réussite, la dégradation de l’état social du pays, sont autant de pistes d’explication.

L’étude PIRLS (pdf)

Pirls 2006 dans le Café

Dans le Café : la lecture à l’école Garcia Llorca…

Pirls en Angleterre

Pirls aux Etats-Unis

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

L’Ecole, les syndicats et le changement

L’Ecole est-elle condamnée à l’immobilisme ? Les défenseurs de ses valeurs bloquent-ils toute évolution ? Ces questions étaient posées lors d’une table ronde qui réunissait au Salon de l’éducation un responsable syndical, Luc Bérille du Se-Unsa, et des militants des mouvements pédagogiques : JF Boulagnon (Fespi), JC Guérin (collèges Cohn-Bendit), Philippe Goémé (lycée intégral de Paris).

C’est qu’en effet, pour les innovateurs, la défense des acquis c’est le maintien d’un système périmé. Ainsi JC Guérin a beau jeu de montrer que défendre le statut du professeur revient à prolonger un système scolaire qu’il qualifie de « jésuito-napoléono-fordiste », système où l’enseignant vient déverser sur les élèves un savoir émietté au rythme d’une heure par discipline. Si l’on veut que les enseignants prennent en charge vraiment l’éducation des élèves, il faut faire évoluer le statut pour intégrer dans le service des enseignants du temps d’accompagnement éducatif. Philippe Goémé cite un autre exemple : le fonctionnement des équipes suppose une autre procédure de mouvement que celle qui est contrôlée par les syndicats.

Défendre l’esprit des statuts plutôt que la lettre : c’est en résumé ce que Luc Bérille a pu proposer. Partout où les statuts sont dépassés ,il faudra en garder l’esprit en acceptant les évolutions. Ainsi le service des enseignants doit s’adapter aux nouveaux publics scolaires. Une remarque quia tout son poids au moment où travaille la commission Pochard.

Alors la droite est-elle en train de réussir la grande innovation inaccessible jusque là ? C’est oublier les ambiguités du changement proposé par le gouvernement. Ainsi l’autonomie des établissement, imposée sous contrôle d’en haut, s’oppose à celle des équipes pédagogiques. Elle est liée en fait au renforcement de la mission du chef d’établissement. L’autonomie est également associée à la mise en concurrence des établissements, un système qui est à l’opposé des valeurs d’entraide des innovateurs. L’école, les syndicats et le changement : oui,mais pas n’importe quel changement…

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Bac pro en 3 ans : le ministre s’explique

« Alors que la Nation s’est fixé comme objectif d’amener 80 % d’une génération au bac et que les attentes en termes de qualification professionnelle sont de plus en plus fortes, ce cursus d’une durée de quatre ans limite aujourd’hui le nombre d’élèves de la filière professionnelle susceptible d’atteindre le niveau du baccalauréat ». Alors qu’un nombre croissant de lycéens contestent la suppression du bac pro en 4 ans (2 années de Bep puis 2 années de bac pro) et son remplacement parle bac en 3 ans, Xavier Darcos s’explique sur cette décision.

« Cette évolution de l’offre de formation induira une meilleure cohérence des filières professionnelles en créant des passerelles supplémentaires entre les deux grandes formations de l’enseignement professionnel que sont le C.A.P. et le Bac Pro. Ainsi pour les titulaires de C.A.P., la possibilité de rejoindre le baccalauréat professionnel en cours de cursus sera créé… De même les élèves de seconde professionnelle (1ère année du baccalauréat professionnel 3 ans) qui ne souhaiteraient pas aller jusqu’au Bac Pro pourront rejoindre la seconde année de C.A.P. Le B.E.P. sera… délivré à l’issue de la classe de première professionnelle (2nd année de Bac Pro en trois ans) ».

Le ministre entend répondre ainsi aux critiques qui soulignaient la disparition des passerelles entre le BEP et le lycée technologique. Reste un point souligné par l’Inspection générale en 2005 : tous les élèves de 2de professionnelle n’ont pas le niveau scolaire suffisant pour atteindre le niveau bac en 3 ans. Faut-il pour autant les condamner au cap ?

Communiqué

Combien de lycées bloqués aujourd’hui ?

A la veille de la journée d’action lycéenne du 29 novembre, vous êtes quelques uns à écrire au Café pour signaler que tel ou tel lycée est bloqué ou touché par le mouvement de grève des lycéens. C’est le cas à Montreuil (93) ou à Nîmes. Vous nous aidez à faire le point sur un mouvement dont les médias parlent peu. Impossible sans votre aide de savoir combien d’établissements seront touchés aujourd’hui.

Ecrivez-nous : redaction (at) cafepedagogique.net

Incident violent à Nantes

Selon l’AFP, un jeune lycéen de 16 ans a été blessé à l’œil le 27 novembre lors d’une manifestation. Il aurait été tiré au flashball par un policier après son interpellation.

Dépêche AFP

Carte scolaire : les discrètes consignes de Darcos

C’est le SNPI-fsu, syndicat des inspecteurs IEN de la FSU, qui vend la mèche. Selon lui,  » le ministère a transmis des consignes orales aux IA-DSDEN, via les recteurs d’académie, pour que les opérations de gestion d’ouvertures et fermetures de postes dans les écoles du premier degré n’aient pas lieu avant la fin des élections municipales. La plus grande discrétion leur a été prescrite sur ce dossier, notamment envers les maires qui sont leurs premiers partenaires en matière de carte scolaire. Or, d’ordinaire, la procédure commence en décembre et s’achève en février ». Résultat :pour le Snpi-Fsu il y a triche démocratique. Et la consigne risque de perturber le mouvement des enseignants.

Article Snpi Fsu

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« Conte-moi » : le patrimoine populaire francophone en ligne

«  Un jour, Bouc, séduit par la religion musulmane se convertit à l’islam. Il décida de se rendre à la Mecque, en pèlerinage. Il partit, il marcha, il marcha, et il tomba Ratch ! sur Hyène ». Ainsi commence « Les trois vérités de Bouc », un conte sénégalais illustré et mis enligne sur le site conte-moi.

« Conte – moi » propose des contes collectés dans différents pays francophones, enregistrés en français et en langue locale, accompagnés chacun d’une fiche pédagogique. Chaque semaine, un conte est mis en avant. Le site vise à collecter, sauvegarder, et valoriser les patrimoines oraux francophones et locaux pour enfants et à l’utiliser pour l’apprentissage du français.

Ainsi une cinquantaine de contes sénégalais, haïtiens, mauritaniens, maliens sont déjà récoltés et accessibles. Un régal !

Conte moi

1000 ambassadrices pour les sciences

Parce que les sciences c’est aussi l’affaire des filles, du 3 au 8 décembre, des jeunes femmes recrutées dans les universités,les grands écoles ou les entreprises,iront rencontrer les lycéennes parisiennes pour leur donner envie de poursuivre leurs études dans la voie scientifique.

Les jeunes filles sont minoritaires dans les terminales scientifiques et ne représentent plus q’un étudiant sur 4 en université scientifique. L’opération bénéficie du soutien de la Mairie de Paris et du rectorat.

Le programme

Examens : Le rabbinat saisit la Halde

«  C’est la grandeur de la France que de ne placer personne dans une situation où il doit choisir entre son engagement religieux et son engagement citoyen ». Selon l’AFP, le Consistoire a saisi la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations) sur la question des examens universitaires organisés le samedi.

Selon le rabbinat français, le nombre de fêtes juives reconnus par l’éducation nationale a fortement diminué ce qui gêne les étudiants pratiquants.

Dépêche AFP

Envieux et heureux c’est naturel…

Selon le BE Allemagne, des neurologues de l’université de Bonn ont démontré que l’organisme réagit positivement chez la personne qui reçoit un plus gros salaire que son voisin. Et cela même pour une petite somme…

BE Allemagne

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La recherche

Un colloque qui URL !

Retenez ces deux dates : 9 et 10 janvier. Ce sont celles du colloque de l’Apop (association pour les applications pédagogiques de l’ordinateur au postsecondaire), une association québécoise qui milite pour l’intégration pédagogique des TIC.

Mais rien de plus facile que de participer à l’événement :le colloque est totalement virtuel et vous n’avez pas besoin de franchir l’atlantique.

Le programme est extrêmement riche. Des exemples ? l’enseignement de la philosophie sur Internet, le plagiat sur internet, utilisation des tic et amélioration de la qualité de la langue chez les élèves, les tic et la réussite scolaire etc.

Le programme

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Citoyenneté

Villiers-le-Bel : l’histoire d ‘un élève

« Jamais comme à Villiers je n’ai plus croisé d’élèves si attachants, capables à la fois des plus grandes maladresses et des plus beaux témoignages de solidarité. Je rentre chez moi avec cette impression bizarre qu’on ressent en revenant sur des lieux aimés transformés par la douleur. » Dans Le parisien, Mathieu Lours-Giorgini, professeur d’histoire-géographie, se souvient d’un de ses élèves,mort à Villiers-le –Bel.

« Je suis pessimiste. Pas parce que les émeutes vont continuer. Mais parce que pour Larami et Moushin, il n’y a toujours que quelques pauvres fleurs ».

Article du Parisien

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Les disciplines

Documentation : Eduquer aux médias, ça s’apprend ?

Le socle commun de connaissances et de compétences mentionne explicitement l’éducation aux médias comme l’une des compétences à acquérir par tout élève à l’issue de sa scolarité obligatoire. Celle-ci constitue un véritable enjeu éducatif au niveau européen, notamment à travers les travaux menés par la Direction des médias et de l’information.

Quelle place doit-on lui faire au sein de la formation initiale des enseignants pour que ceux-ci soient aptes à répondre à cette demande de l’institution dans leurs pratiques de classe, quel que soit leur niveau d’enseignement et leur discipline ? Quelles pratiques de formation faut-il mettre en œuvre pour y parvenir ? Avec quels partenariats ?

Le Clemi et la Conférence des directeurs d’IUFM organisent les 6 et 7 décembre, à Chamalières, un colloque national destiné aux formateurs. Au programme des tables rondes sur l’éducation aux médias, des ateliers.

Le programme

Lettres : Le blog de L’Iroise

«  Et le poète dit qu’aux rayons des étoiles

Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis,

Et qu’il a vu sur l’eau, couchée en ses longs voiles,

La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.

Mon poème en vers préféré de Rimbaud est Ophélie, car je trouve l’histoire d' »Ophélia » triste, on se demande dailleurs si elle est une pure fiction ou l’inspiration d’une vraie femme que Rimbaud aurait connu. Mais elle est racontée avec des mots merveilleux et que j’apprécie beaucoup. On retrouve ici encore la liberté, ainsi de même que l’amour, la tristesse, la beauté, la mort et l’espoir à mon sens. C’est un poème riche en champ lexicaux, registres mais surtout émotions, vraiment magnifique, c’est pourquoi j’ai choisi de la faire paraître ici… » Sur le blog de la classe, les lycéens de 1ère L du lycée de l’Iroise à Brest échangent poèmes et coups de cœur.

Pour leur professeur, Jean-Michel Le Baut, «  ce blog veut développer chez les élèves des compétences en écriture, d’argumentation, de commentaire et surtout d’invention : le blog est une sorte d’atelier d’écriture permanent, qui favorise la créativité, le travail sur l’intertextualité, le goût de jouer avec les mots; des compétences dans la maîtrise de la langue aussi : parce que le blog donne à l’écriture un destinataire autre que le « traditionnel » professeur et un enjeu autre que « platement » scolaire… Des compétences en lecture enfin : le pari est ici lancé de donner à lire et à aimer un genre littéraire souvent jugé ancien, voire mort (la poésie), et même des textes considérés par beaucoup comme hermétiques ».

Le blog

EPS : Le sport à l’école primaire

À l’occasion du salon de l’Education, l’USEP proposait un débat intitulé « Le sport scolaire des 3 – 11 ans : de l’élève au sportif. ». Peu de choses furent dites sur la réalité de l’enseignement de l’EPS à l’école primaire. En effet, le débat fut largement imprégné par les annonces sur l’accueil des « orphelins de 16h ». C’est ainsi que le président de la République a affirmé la volonté que chaque jour, des activités sportives, culturelles, artistiques (et du soutien scolaire) soient proposées à tous. ».

Lire la suite de l’article

EDD : Ca chauffe en antarctique

L’image parle d’elle-même : selon la Nasa, l’Antarctique s’est réellement réchauffé depuis 20 ans.

Article Nasa

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les tice

Itica 2007

Des ateliers sur les pratiques des TIC dans l’apprentissage des langues, sur les usages du podcast, sur les mesures, observations et analyses en sciences, sur l’utilisation de la vidéo au service d’un projet de classe : Apple et les CRDP de Créteil, Paris et Versailles organisent comme cette année encore ITICA, un événement gratuit organisé au CIEP de Sèvres les 1er et 2 décembre 2007.

Itica

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le Cafe

Les anciens Expresso ?

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