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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

1er Forum des enseignants innovants : date limite 22 février

ÉDITORIAL

Le plan banlieue sonne-t-il le glas des zep ?

LE SYSTEME

Le plan banlieue ignore le social l Le rapport Pochard divise les syndicats l Code de la paix : le Se-Unsa dubitatif.

L’ÉLÈVE

Orientation : L’Artimobile revient

LA CLASSE

Classe de mer sans souci avec « Passeport pour la Mer »

CITOYENNETE

L’appel laïque l La France ratifie le traité de Lisbonne l Souad et Isabelle en L.P.

LES DISCIPLINES

Primaire : Les maires bretons veulent garder leur maternelle dès 2 ans l Français : Les contes du Morey 2 l EDD : OGM : La loi adoptée l EDD : Taxes carbone et industries l SES : Les manuels passés au peigne fin l SES : Le bilan de Davos l SES : Statistique Publique

LES TICE

Nouvelle faille dans Firefox

Le fait du jour

1er Forum des enseignants innovants : date limite 22 février

Vous êtes prof ou personnel d’éducation ? Vous avez monté un projet pédagogique avec vos élèves ? Vous en êtes satisfait ? Vous pensez que cette expérience peut être utile aux autres ? Le Café vous invite à participer au concours du 1er Forum des enseignants innovants lancé par une douzaine d’associations d’enseignants. Mais attention : « les candidats doivent s’inscrire avant le 22 février 2008 » annonce le règlement.

La procédure d’inscription ne prend que quelques minutes et est gratuite. Par contre il ne fat pas traîner…

Pour s’inscrire au 1er Forum et faire partie des 100 profs innovants

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

Le plan banlieue sonne-t-il le glas des zep ?

« Dans les quartiers où s’accumulent tous les problèmes de l’exclusion et du chômage, je propose de créer des classes de quinze élèves dans les collèges et les lycées…. » Il aura fallu moins d’un an pour que le président trahisse les propos du candidat et inverse sa politique. Car le Plan banlieue présenté le 8 février ne prétend plus à un renforcement des moyens dans les zep ou à une politique sociale. Au nom du « aide toi l’Etat t’aidera », il ne vise plus que la débrouille individuelle, le soutien d’éventuelles élites émergées des cités qui justifieront à rebours l’échec des autres. C’est l’ouest qui impose sa morale à l’est.

Ce plan se nourrit des insuffisances politiques antérieures. Les moyens injectés dans les cités ont parfois été, dans le passé, mal ciblés. En matière scolaire ils ont été consacrés à la remédiation, aux PPRE, à l’accompagnement scolaire sans qu’on se soit réellement penché sur ce qui se passe dans la classe et sur les moyens pour améliorer son efficacité. Trop rares sont les équipes qui ont réellement pu voir le jour alors que pour l’OZP c’était là une dimension essentielle. Les renforts humains annoncés, des professeurs référents aux assistants d’éducation ont été en dessous des attentes : les premiers ont souvent été institués selon des logiques administratives, les seconds sont difficiles à trouver tant la paye est sans rapport avec l’investissement demandé. Au bout du compte il se passe pour les zep la même logique que pour la carte scolaire : ses manques conduisent à sa suppression sans égard aux résultats obtenus.

Faut-il pour autant abandonner toute politique territoriale d’aide ? Deux études ont pu montrer que les investissements peuvent être rentables en zep. D’abord celle de Thomas Piketty, un conseiller de S. Royal. Il établit que « la légère politique de ciblage des moyens actuellement en vigueur en ZEP (taille moyenne des classes de 21,9 en zep contre 23,3 hors zep) permet de réduire d’environ 10% l’écart de réussite. Cet écart pourrait être réduit de 40% si l’on mettait en place un ciblage fort avec une taille de classe moyenne de 18 en Zep et 24,2 hors zep ». Une autre étude, Urban Schools, a démontré l’efficacité du programme anglais Excellence in the Cities. Ce programme, qui concerne un millier d’établisssements, affecte des fonds supplémentaires pour rémunérer des tuteurs et du soutien scolaire. Selon cette étude, l’investissement est rentable. Le programme EiC améliore l’assiduité scolaire et relève le niveau en maths.

Uniquement tourné vers le soutien aux jeunes « méritants », le plan banlieue perd de vue les réalités de terrain. Il faut peut-être les rappeler pour mesurer l’urgence. A Clichy-sous-bois, selon le rapport Zus 2005, où la quasi totalité des écoles et collèges sont en Zep et Zus, 11% des élèves entrent en 6ème avec au moins deux ans de retard. Ils sont 26% en 3ème. Sur le plan médical, 13% des enfants souffrent d’obésité, 2% sont dénutris, un enfant sur huit est anémié. Ces chiffres situent la nature de ce qui se passe dans les classes de ces ghettos urbains. Ces enfants sont-ils responsables de leurs difficultés ? En quoi le plan banlieue peut-il les prémunir contre l’échec ?

Un dossier du Café sur l’éducation prioritaire

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Le plan banlieue ignore le social

« Voilà, les choses sont claires : ceux qui sont prêts à faire quelque chose pour eux-mêmes, l’Etat les aidera. Ceux qui ne veulent rien faire, l’Etat ne fera rien pour eux ». Alors que les commentateurs évoquent le plan banlieue, présenté le 8 février par le président, comme un exercice manquant de souffle et d’originalité, force est de dire qu’il innove : ce plan censé aider les quartiers « où l’on a moins de droits, de chances que les autres » refuse d’être un plan social. Cet esprit se retrouve dans les mesures concernant l’éducation, dont aucune ne fait l’objet d’un chiffrage précis.

Le président a promis de « casser les ghettos scolaires en fermant les collèges les plus dégradés » et en créant 30 « sites d’excellence« . « Ils auront des classes d’élite rassemblant les meilleurs élèves et bénéficiant d’un enseignement d’excellence » a indiqué le chef de l’Etat. Ils seront jumelés avec des établissements d’enseignement supérieur de renom ou avec des entreprises.

Toujours pour les « bons » élèves, N. Sarkozy a annoncé le renforcement des internats. « Je veux que dès le plus jeune âge les enfants des milieux défavorisés qui montrent de bonnes aptitudes scolaires, qui ne peuvent pas étudier chez eux dans de bonnes conditions et qui risquent d’être happés très vite par un environnement qui les détourne de l’étude, puissent se voir proposer un hébergement dans des internats ». Il reprend là une mesure expérimentée dans le 92 et déjà élargie par Robien avec 28 internats et près de 700 élèves. Le président souhaite créer 4000 places. Ce qui suppose que les collectivités locales en fassent la dépense…

« Mais je veux aller plus loin, en appliquant ce qui a tant réussi dans quelques écoles primaires pionnières, comme celle de la Saulaie à Oullins : les élèves de classes entières sont scolarisés dans d’autres écoles de la même ville pour y découvrir un autre environnement, d’autres camarades, d’autres enseignants » a déclaré N. Sarkozy. Cette politique de « busing » sera expérimentée au primaire dans certaines communes avec une aide spécifique.

Enfin le président entend relancer les « écoles de la seconde chance » qui accueillent de jeunes adultes sans qualification en vue d’une formation professionnelle. De 4 000, le nombre de places offertes passerait à 20 000.

Un seul point du discours présidentiel serait plus structurel s’il était plus précis. « Si aujourd’hui les postes de fonctionnaires restent vacants dans les quartiers, je veux qu’à l’avenir, les agents les plus expérimentés et les plus motivés se portent candidats. Et je demande au ministre chargé de la Fonction Publique de me proposer rapidement des solutions innovantes pour les y inciter ». Une affaire à suivre…

Dans le monde éducatif, les réactions au plan banlieue ont été sévères. Ainsi, selon l’afp, Gérard Aschieri (FSU) a déploré « l’absence de toute mesure pour lutter contre l’échec et contre les inégalités au sein de l’Ecole… On nous propose des palliatifs, comme les écoles de la 2e chance mais rien pour prévenir l’échec ». « La philosophie générale, ce n’est pas comment on vient en aide aux quartiers, mais comment on aide à sortir des quartiers » a déclaré Luc Bérille pour le Se-Unsa.

Discours du président

Dossier de presse

Dépêche AFP

Le rapport Pochard divise les syndicats

« Bivalence, temps de service flexible pour les enseignants, horaires–élèves définis en partie localement, renforcement du poids d’un chef d’établissement autocrate chargé de distribuer blâmes et récompenses au gré de l’évaluation au mérite… tout y est. Tout, sauf la revalorisation des enseignants » estime le Snes qui voit dans le rapport Pochard « une vraie provocation ». Cette position est partagée par le Snuep, le Snep, l’Unsen Cgt, le SnFOlc, le Snetaa, Sud-Education ainsi que par le Snalc et le Sncl, classés à droite. Ces syndicats ont signé le 8 février déclaration estimant que la rapport « ne peut servir de base à une négociation ».

Ce n’est pas l’avis du Sgen Cfdt qui partage « l’idée de la commission Pochard de la nécessité pour une plus grande réussite des élèves de faire autrement et de faire évoluer le métier. Mais ces évolutions pour être acceptées par les personnels doivent s’accompagner de contre-parties et de garanties pour une part inscrites dans un statut rénové ». La Fep Cfdt, premier syndicat du privé, apporte des précisions. Elle « est prête à discuter des mesures permettant d’amener de la souplesse et une meilleure adaptation de l’enseignement aux besoins des élèves » mais relève deux points précis du rapport. « Si l’autonomie des établissements peut être source de progrès et de dynamisme pédagogique, ce ne saurait être la panacée. Le fonctionnement des établissements privés sous contrat, basé sur une certaine autonomie, ne donne pas pour autant la certitude que c’est la condition de la réussite des élèves ». Enfin la Fep est satisfaite que la commission ait repris une de ses demandes en vue d’autoriser les profs du privé sous contrat à enseigner dans un établissement public.

Communiqué Snes

Communiqué Sgen

Communiqué Fep

Sur le Café : affronter ou adopter ?

Code de la paix : le Se-Unsa dubitatif

« Le plus gênant dans ces annonces, c’est qu’elles sont présentées comme une panacée aux résultats indéniables. Et ceci alors qu’au même moment le ministère pratique des coupes sombres au sein des équipes éducatives en retirant des personnels de surveillance. La réponse aux problèmes de violence ou d’incivilité ne peut se contenter de textes. Il lui faut aussi des relais humains en nombre suffisant ». Dans L’enseignant, la revue du Se-Unsa, M.Martinet exprime son doute face à l’efficacité du « code de la paix » annoncé par X. Darcos pour lutter contre la violence scolaire.

L’enseignants

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Orientation : L’Artimobile revient

Du 17 mars au 11 avril, l’Artimobile parcourra 26 collèges franciliens. L’Artimobile est un véhicule équipé de logiciels qui permettent la découverte des métiers de l’artisanat. L’opération est réalisée par le FNPCA, un organisme professionnel.

L’artimobile

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La classe

Classe de mer sans souci avec « Passeport pour la Mer »

« Pour que la mer reste un espace de joie et de liberté, il suffit de respecter quelques règles simples et d’apprendre à connaître ce milieu particulier ». Fort de cette constatation, la SNSM et la Maif proposent un manuel pratique pour l’enseignant qui préparent une classe de mer ainsi qu’un livret destiné aux enfants. Présenté sous forme de bande dessinée, il permet de découvrir des règles de sécurité enjouant et de tester ses connaissances.

Les versions électroniques sont proposées en téléchargement. Les versions papier sont à demander à la Maif.

Passeport pour la mer

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Citoyenneté

L’appel laïque

« Les organisations et personnalités signataires rappellent solennellement que, selon l’article 1er de la Constitution, la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Ces quatre termes indissociables définissent des principes qui s’imposent à tous, au premier rang desquels le Président de la République. Or, les déclarations récentes de Monsieur Sarkozy, mêlant ses convictions personnelles et sa fonction présidentielle, portent atteinte à la laïcité de la République ». L’appel soutenu par de nombreuses organisations a déjà recueilli plus de 30 000 signatures.

« C’est pourquoi, les organisations et personnalités signataires s’opposeront à toute tentative qui mettrait, de fait, en cause la laïcité par une modification du contenu de la loi de 1905. A l’heure où nos concitoyens éprouvent des difficultés et des inquiétudes croissantes, elles les appellent à promouvoir la laïcité comme une exigence partagée avec la ferme volonté de bâtir ensemble une société où la justice sociale assurera, quotidiennement, pour toutes et pour tous, la liberté, l’égalité et la fraternité. « 

Signer l’appel

La France ratifie le traité de Lisbonne

Députés et sénateurs ont adopté le 7 février la loi ratifiant le traité de Lisbonne sur le Traité de l’Union européenne. A l’Assemblée, ont voté pour 206 UMP, 121 PS, 2 GDR, 6 Centre et contre 5 UMP, 25 PS et 18 GDR. Ce texte reprend les grandes lignes du projet de constitution européenne.

Dossier législatif

Sur le Café, dossier sur le projet de constitution européenne

Souad et Isabelle en L.P.

Le Monde rend un bel hommage à Souad Belhaddad et Isabelle WeksteinSteg. Toutes deux interviennent en L.P.pour faire réfléchir les élèves sur leurs préjugés raciaux. Une pratique difficile, risquée mais qui mérite d’être connue.

Article du Monde

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Les disciplines

Primaire : Les maires bretons veulent garder leur maternelle dès 2 ans

Selon Le Télégramme de Brest, 261 maires de Basse Bretagne ont signé un appel demandant le respect du droit à l’école pour les enfants de moins de 3 ans. Alors que 65% des enfants de moins de deux ans sont scolarisés, le rectorat souhaite ramener ce taux à 15% à la rentrée…

Article Télégramme

Français : Les contes du Morey 2

« Comment faire écrire des contes à des élèves en butte avec la langue et la culture ? Tâche non aisée, mais à mon avis, possible. Mais comment ? Faut-il nécessairement « faire du français » avant de rédiger des contes ? Ou bien peut-on malgré tout lancer ces élèves dans une telle aventure alors que certains ne parviennent même pas à construire une phrase simple grammaticalement correcte du type sujet/verbe/complément ? Ce balancement est source de débats entre collègues de la matière, mais pour ma part, c’est pour la seconde option que je penche même si parfois il m’arrive de douter ». S. Clerc nous invite à suivre, avec ses collègues, le travail des élèves de BEP et de Cippa et leurs rapports avec les anglophones.

Ecrire des contes, les raconter face à des publics différents et les enregistrer sur CD audio, les illustrer en vue de créer des livres, fabriquer des lutrins métalliques. Tel est le Projet Artistique et Culturel (PAC) mené au sein du Lycée Professionnel Thomas Dumorey (Chalon-sur-Saône) avec une classe de 2nde BEP Structures Métalliques et une classe de CIPPA.

Sur le Café,le deuxième épisode

EDD : OGM : La loi adoptée

Un arrêté publié au Journal Officiel du 8 février interdit le maïs OGM Monsanto 80 en France « jusqu’à ce qu’il ait été statué sur la demande de renouvellement de l’autorisation de mise sur le marché de cet organisme ». Le 8 février le Sénat adoptait la loi sur les OGM. Elle crée une Haute Autorité et un régime d’indemnité.

L’arrêté du 8/2/2008

Loi OGM

EDD : Taxes carbone et industries

Les taxes carbone payées par les industries du nord-est des Etats-Unis peuvent servir à équilibrer les comptes de certains agriculteurs américains. Ils doivent alors laisser leur champs en friche.

Article BE Etats-UNis

SES : Les manuels passés au peigne fin

En réaction aux attaques sur les manuels, l’Apses a entrepris une double analyse sur la place de l’entreprise dans les manuels et la nature des sources dans les manuels. De loin les universitaires et les sources officielles l’emportent sur les textes polémiques.

Article suite Apses

Article site Apses

Sur le Café : une discipline sous pression

SES : Le bilan de Davos

« Nous entrons dans une nouvelle ère de l’Histoire : la fin de la domination de l’Occident. Lors de la Révolution industrielle on a connu une forte croissance du niveau de vie de 50% dans une vie. En Asie aujourd’hui vous verrez une hausse de 10 000% ». Cette citation de Kishore Mahbubani, université de Singapour, fait partie des réflexions menées au World Economic Forum de Davos. Le congrès s’est aussi penché sur la croissance et le développement durable,estimant que coordonner la croissance asiatique avec le respect de l’environnement serait le grand défi du 21ème siècle. Il s’est aussi intéressé à la crise financière mondiale.

Le World Economic Forum

SES : Statistique Publique

Le portail public de la statistique recense les informations publiées sur les sites officiels (31 sites).

Statistqiue publique

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les tice

Nouvelle faille dans Firefox

Selon Secuser, des défauts de sécurité ont été détectés dans Firefox, comme dans Thunderboird et Seamonkey. Un correctif est disponible et doit être installé.

http://www.secuser.com

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le Cafe

Les anciens Expresso ?

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