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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Les jeunes Français aiment trop peu l’Ecole

ÉDITORIAL

Le rythme des corps?

LE SYSTEME

Fillon promet « l’allègement scolaire » l Prime de début de carrière : le Snuipp demande une revalorisation générale l Van Zanten : l’assouplissement de la carte scolaire profite aux classes moyennes l Bataille de sondages sur la politique Darcos l Le Se-Unsa prépare la journée du 11 septembre l Le Sgen pour d’autres rythmes scolaires au primaire l L’alphabétisation dans Le Courrier de l »Unesco.

L’ÉLÈVE

Le nouveau rythme scolaire condamné par F Testu

LA CLASSE

l Stages d’anglais : et si on pensait au temps scolaire… l

LA RECHERCHE

La mixité en débat

CITOYENNETE

Les données personnelles insuffisamment protégées

LES DISCIPLINES

EPS : Des collègiens à Pékin l Bentolila pour l’obligation scolaire à 3 ans l ST2S : Conservation des notes au bac l ST2S : L’épreuve de L.V. 1 modifiée

Le fait du jour

Les jeunes Français aiment trop peu l’Ecole

« Les tendances observées parmi les élèves de France ne se démarquent pas dans leurs orientations de celles relevées lors de l’enquête HBSC 2002, ni de celles de la plupart des autres pays de l’enquête HBSC. Toutefois, l’ampleur de l’altération du goût pour l’école est à souligner : la France se situe parmi les dix pays dans lesquels cette dégradation est la plus nette (avec un rapport supérieur à deux entre les réponses des 11 et des 13 ans). Pour ce qui concerne l’appréciation des performances scolaires, notre pays, pour les trois groupes d’âges considérés, se situe parmi les cinq où cette auto-appréciation est la plus mauvaise ».

Selon une enquête de l’OMS sur « la santé des élèves de 11 à 15 ans », les jeunes Français se caractérisent par leur rejet de l’Ecole. A 11 ans 41% des filles et 29% des garçons aiment l’école. A 13 ans ils ne sont plus que 19 et 10%, à 15 ans ils sont 13 et 11%.

L’enquête

Sur le Café, le pessimisme français

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Le rythme des corps

Nous sommes prévenus mais pas encore habitués : le rythme des réformes concernant le système scolaire sera cette année aussi intensif que celui de l’année dernière. Les organismes vont-ils suivre ? Il est courant de penser d’abord aux corps constitués : le corps enseignant avec ses multiples galaxies, syndicales, disciplinaires, pédagogiques, amicales et générationnelles ; les corps d’encadrement avec leurs responsabilités multiples et, finalement, les collectivités locales depuis peu investies du service minimum d’accueil, bientôt sollicitées pour construire des bureaux pour les enseignants des collèges et lycées. Sont là mis en jeu aussi bien des moyens humains et matériels que des identités professionnelles et des représentations héritées. S’agissant des réformes, le rythme joue un rôle pédagogique non négligeable. Les pédagogues savent ainsi qu’il est parfois nécessaire de déstabiliser ceux qui apprennent, de provoquer la réflexion, en s’appuyant même sur les interactions fécondes entre les groupes de pairs. Mais juste après, il est utile de laisser du temps pour que les réaménagements collectifs et individuels aient lieu : de nouvelles représentations s’installent qui transforment les représentations anciennes sans les supprimer. Après le coup de pied, la fourmilière a besoin de se réorganiser.

Il est sain à l’aube de cette deuxième année de réformes de s’intéresser aux corps concrets, physiques, sensibles, que l’on a tendance à occulter dans l’effervescence de la rentrée. Qui veut voyager loin ménage sa monture. Commençons par celui de l’enseignant, tant chargé de projections symboliques : unifier le groupe-classe autour du savoir, incarner la transmission, et même assurer l’ordre. Et en même temps répondre aux commandes nouvelles payées en heures supplémentaires, envisager de suivre un nombre grandissant d’élèves, tailler la route pour rejoindre le second établissement. C’est au début de l’année que les décisions se prennent : jusqu’où charger la barque ?

Continuons par celui de l’élève, tant chargé d’attentes sociales : répondre aux attentes des mondes adultes, se trouver un projet. Et en même temps grandir parce qu’on est un enfant, trouver ses marques parce qu’on est un adolescent. C’est au cours de l’année que ces pulsions, ces désirs s’expriment et doivent trouver à se sublimer. Il n’est pas sûr que réduire la pause méridienne ou celle des vacances soit, surtout pour les plus jeunes ou les plus fragiles, le meilleur moyen de permettre une maturation personnelle ou une résolution des tensions internes.

Pour l’année scolaire qui vient, souhaitons qu’elle permette de prendre en compte les corps concrets, et que, par exemple, les enseignants s’autorisent à sortir de leur classe, de leur école. D’abord pour leurs élèves : vérifier des hypothèses faites en classe, s’ouvrir à un nouvel environnement, expérimenter la vie collective ou simplement l’éloignement du cercle familial. Ensuite pour leurs parents : montrer que des perspectives sont possibles, que l’on n’a pas renoncé et que leurs enfants ne sont ni des oies que l’on gave, ni des esprits que l’on formate, ni des jauges que l’on mesure. Enfin pour le corps enseignant et pour le corps de l’élève, qui trouveront, même fugitivement, à s’accorder au même rythme.

Olivier Masson

chargé de mission au secteur éducation de la Ligue de l’enseignement

Retrouvez chaque mercredi la tribune de la Ligue de l’enseignement

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Fillon promet « l’allègement scolaire »

« Le lycée français est le plus coûteux des pays de l’OCDE, sans être le plus performant… Une réforme s’impose, une réforme qui passe par la personnalisation de l’enseignement et par l’allégement scolaire ». Selon AP, en visite à Saint-Valery en Caux le 2 septembre, le premier ministre a promis « une Education nationale qui sache répondre devant la nation du bon usage des ressources immenses qui lui sont consacrées ».

Communiqué

Prime de début de carrière : le Snuipp demande une revalorisation générale

« Les exigences professionnelles d’aujourd’hui (maîtrise et emploi des nouvelles technologies, ouvrages didactiques, abonnement à des revues pédagogiques, achat de matériel informatique, abonnement internet…) impliquent des dépenses importantes qui pèsent sur la rémunération de tous les enseignants des écoles ». Prenant acte du versement de la prime de début de carrière (1500 euros versés en novembre et mars aux stagiaires), le Snuipp demande « que l’étude de la généralisation d’une prime d’installation et d’équipement à l’ensemble des enseignants des écoles soit engagée ».

Lors de la conférence de presse de rentrée, X. Darcos a présenté les mesures de revalorisation composées de mesures catégorielles et, pour l’essentiel, de la rémunération des heures supplémentaires.

Communiqué Snuipp

Sur le Café, la revalorisation

Van Zanten : l’assouplissement de la carte scolaire profite aux classes moyennes

« L’assouplissement, tel qu’il est réalisé, n’est pas un gage de mixité sociale » affirme Agnès Van Zanten dans Le Figaro. « Car pour que cela soit le cas, il faudrait que les classes modestes demandent elles aussi massivement des dérogations, ce qu’elles ne font pas, peut-être par manque d’informations. Parallèlement, la question financière est aussi un obstacle. Changer de collège, c’est aller dans un établissement plus éloigné, ce qui entraîne un coût de transport supplémentaire, mais aussi des frais de cantines, puisque l’élève ne peut plus rentrer chez lui le midi. Enfin, des facteurs psychologiques peuvent intervenir. Certaines familles, notamment immigrées, considèrent que la proximité de leurs enfants est un élément important pour contrôler leur éducation. Les laisser dans un établissement plus éloigné leur donne l’impression de perdre cette maîtrise ». On se rappelle que le rapport Obin – Peyroux avait récemment indiqué les risques de ghettoïsation liés à la disparition de la carte scolaire.

Spécialiste de l’éducation, A. Van Zanten indique aux lecteurs du quotidien des initiatives réussies de mixité sociale. « A l’étranger, il y a des exemples intéressants. Londres mène ainsi une politique de quotas : dans chaque établissement, il est prévu de scolariser 1/3 de bons élèves, 1/3 de moyens, 1/3 de mauvais. L’exemple belge est aussi intéressant, les chefs d’établissement d’une même région se mettent d’accord entre eux pour qu’aucun établissement ne soit lésé. Ce qui est sûr, c’est que la France ne doit surtout pas éliminer tout contrôle de la carte scolaire ».

Dans le Figaro

Sur le Café, carte scolaire a qui profite la déreglementation

Sur le Café, la carte scolaire en débat

Bataille de sondages sur la politique Darcos

Le CSA peut-il contredire le CSA ? Oui puisque, dans un sondage, chaque mot des questions compte. Le Snuipp avait commandé en août une enquête sur l’enseignement primaire. Elle montrait une certaine réserve des Français sur le plan Darcos. Autant de Français étaient satisfaits et jugeaient sévèrement son action. Une majorité de Français condamnait la politique de lutte contre l’échec scolaire. 68% des sondés estimaient que les suppressions de postes sont mauvaises pour l’Ecole.

Mais voilà que le ministère exhibe habilement un autre sondage CSA. Selon lui, 88% des Français approuvent les stages gratuits; 80% la suppression des cours le samedi matin. Certaines questions sont taillées sur mesure : « Au cours des deux dernières années le nombre d’enseignants a augmenté dans les écoles maternelles et élémentaires. Selon vous cette augmentation a t-elle permis d’enrayer l’échec scolaire ? » par exemple.

Le Se-Unsa prépare la journée du 11 septembre

« Alors que le budget 2009 se prépare avec l’annonce de 13 500 suppressions d’emplois, nous pensons que tous les personnels, les parents, l’ensemble de la communauté éducative doit se mobiliser pour que l’Éducation retrouve la place qui permette la réussite scolaire de tous les jeunes qui nous sont confiés. » Le Se-Unsa présente dans tableau « le hold up » sur les postes.

Communiqué

Le Sgen pour d’autres rythmes scolaires au primaire

« Chacun sait que les journées de 6 h sont trop longues pour les élèves, que la répartition de périodes sur l’année est déséquilibrée et que les vacances d’été pourraient être plus courtes ». Le Sgen Cfdt fait campagne pour d’autres rythmes scolaires. Il met en cause également l’organisation des 2 heures d’aide instituées au primaire.

« Le Sgen-CFDT a obtenu seul la possibilité de faire les heures d’aide personnalisée pendant les 24 h d’enseignement, au moyen des horaires décalés. Il s’agit pour nous de ne pas stigmatiser les élèves concernés, de leur apporter, non pas un plus quantitatif, mais un mieux qualitatif. Il s’agit aussi d’un début de concrétisation de la revendication « plus de maîtres que de classes ». Nous avons également revendiqué et obtenu la possibilité d’organiser la semaine scolaire en 8 ou 9 demi journées. Il ne suffit pas de constater que la journée est trop longue, il faut obtenir le moyen de la réduire. Horaires décalés, semaines de 8 ou 9 demi-journées constituent aussi et surtout des ouvertures pour donner aux équipes une plus grande latitude de choix pour l’organisation de leur travail. « 

Communiqué

L’alphabétisation dans Le Courrier de l »Unesco

« Des millions d’enfants sont obligés d’entrer dans la vie sans savoir lire et écrire. En leur refusant l’accès à ces outils élémentaires, nous rendons tous ces enfants incapables de se défendre contre les menaces du SIDA » remarque l’écrivain Henning Mankell dans Le Courrier.

Le même numéro donne à voir des campagnes d’alphabétisation réussies comme le projet Alphabétisation et santé, au Brésil.

Article du Courrier

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Le nouveau rythme scolaire condamné par F Testu

« On n’a tenu aucun compte des travaux des scientifiques. Vous ne trouverez pas une seule recherche démontrant le bien-fondé de la semaine des quatre jours. Alors que les enfants ont besoin d’avoir des rythmes, elle crée des ruptures, avec le mercredi et le week-end. Et il a été démontré que les enfants ne se couchent pas plus tôt les soirs où ils travaillent le lendemain ». Dans Libération, François Testu , chronobiologiste, condamne les nouveaux rythmes scolaires. Pour lui, « Cela va creuser le fossé ».

Article de Libération

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La classe

Stages d’anglais : et si on pensait au temps scolaire…

« C’est bien dans le temps scolaire qu’il faut réussir à faire progresser tous les élèves. Renvoyer à l’accompagnement éducatif en collège ou aux stages de remise à niveau au lycée aboutira peut-être à quelques bénéfices individuels. Cela ne permettra pas le saut qualitatif dont notre pays a besoin pour que ses jeunes maîtrisent mieux les langues étrangères ». Le Se-Unsa ironise sur la multiplication des stages hors temps scolaire, le dernier étant un stage d’anglais annoncé par le ministre le 2 septembre. Le Snes évoque « le ministre du hors-temps scolaire »…

Communiqué

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La recherche

Genre et éducation

« Pendant de nombreuses années, la mise en avant des valeurs d’une école laïque, publique et républicaine a fait obstacle à une vraie reconnaissance des inégalités concrètes dans le système scolaire. La mixité qui s’est progressivement généralisée à partir de l’année 1960 n’a pas immédiatement signifié égalité. La recherche a beaucoup attendu avant de s’intéresser aux inégalités sexuées. Mais désormais, on essaie de comprendre comment et pourquoi les garçons et les filles sont traités différemment. Et de nombreuses recherches scientifiques font état de l’impact du genre en éducation et revisitent l’éducation sous l’angle du genre ». Dans le cadre de la Veille scientifique de l’INRP, Hélène Marguerite propose un dossier très intéressant sur « genre et éducation ».

Il aborde les questions de la remise en cause de la mixité et de la didactique selon les genres. Une mise au point remarquable. En conclusion, H Marguerite estime que  » les parcours de formation restent encore fortement différenciés pour les garçons et les filles… Implicitement ou non, la société utilise l’école comme vecteur des représentations et discours dominants. Elle y attribue les places et les espaces de chacun dans le cadre de la formation, esquissant chez les jeunes générations une « ligne de genre » qui risque bien de se perpétuer à l’âge adulte ».

Dossier INRP

Sur le Café article de JL Auduc

Sur le Café, un dossier parité

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Citoyenneté

Les données personnelles insuffisamment protégées

Un énorme traffic de données en Allemagne, les revenus des Italiens publiés sur l’internet, l’absence de sécurité sur la protection de Base Elèves : autant d’exemples qui mettent nos libertés en danger. La Ligue des droits de l’Homme de Toulon propose une page d’informations sur ce sujet précieuse pour les cours d’ECJS.

LDH Toulon

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Les disciplines

EPS : Des collègiens à Pékin

« Cette aventure est belle parce qu’elle est l’aboutissement d’un projet improbable, mais aussi parce qu’humainement elle est d’une richesse incroyable ». Dix collégiens du collège Vallon de Toulouse de Marseille ont interviewé des athlètes pour se payer l’avion jusqu’à Pékin. Ils ont réussi leur pari et oon peut suivre sur la toile cette aventure.

Le blog du séjour à Pékin

Le projet pédagogique

Bentolila pour l’obligation scolaire à 3 ans

« Nous voulons que la maternelle soit une école à part entière, avec des objectifs, des missions et des fonctions parfaitement identifiés, avec des programmes clairement affichés, une formation exigeante et appropriée, et un encadrement spécifique. » Alain Bentolila revient sur son rapport sur la maternelle « enterré » par X. Darcos.,. « ‘Pour mieux encore assurer son identité et sa pérennité, nous demandons de l’inscrire dans le cadre de l’obligation scolaire, marquant ainsi une double obligation : celle des parents à scolariser leurs enfants dès trois ans révolus, celle également de la République de préparer au mieux la réussite scolaire des élèves qui lui sont confiés ».

Tribune du MOnde

Sur le Café le dossier spécial

ST2S : Conservation des notes au bac

Le Journal Officiel publie un arrêté sur la conservation des notes pour certains candidats au bac.  » Les candidats à l’examen du baccalauréat en série « sciences et technologie de la santé et du social (ST2S) », qui sont autorisés à conserver des notes dans les conditions fixées par les articles D. 336-13 et D. 336-14 du code de l’éducation, et qui se présentent après avoir échoué à l’examen du baccalauréat en « série sciences médico-sociales » (SMS), conservent les notes, à leur demande, épreuve par épreuve, comme suit :

― les notes obtenues aux épreuves obligatoires de la série SMS en éducation physique et sportive, français, histoire-géographie, langue vivante 1, mathématiques, philosophie peuvent être conservées au titre des épreuves portant sur les mêmes disciplines en série ST2S ;

― les notes obtenues aux épreuves obligatoires de biologie humaine et physio-pathologie, communication en santé et action sociale, sciences sanitaires et sociales – économie, sciences physiques, de la série SMS peuvent être respectivement conservées au titre des épreuves de biologie et physio-pathologie humaines, sciences et techniques sanitaires et sociales : épreuve pratique, sciences et techniques sanitaires et sociales : épreuve écrite, sciences physiques et chimiques, de la série ST2S ;

― les notes obtenues aux épreuves facultatives de langue vivante étrangère ou régionale et d’éducation physique et sportive peuvent être conservées. Les notes obtenues aux épreuves facultatives d’arts et de bureautique ne peuvent pas être conservées ;

― la note obtenue en éducation physique et sportive de complément est conservée, cette disposition concernant uniquement les candidats scolaires. » Application dès le bac 2009.

Au J.O.

ST2S : L’épreuve de L.V. 1 modifiée

UN arrêté publié au J.O. du 2 septembre modofoe sensiblement l’épreuve de LV1 au bac dès 2009. L’écrit ne sera plus en contrôle en cours de formation.

Au J.O.

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le Cafe

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