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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Désobéisseurs : Le ministère recule, les syndicats s’avancent

ÉDITORIAL

Laissez les enfants prendre leurs vacances !

LE SYSTEME

Des résultats prometteurs pour le bac général, en baisse pour le bac technologique l Martin Hirsch publie son Livre vert l Que veut dire désobéir dans l’éducation nationale ? l Formation des enseignants : Chatel retarde la publication des décrets

L’ÉLÈVE

Mon enfant entre au collège l Des milliers d’élèves sans affectation en lycée

LA CLASSE

Evaluations de CE1 : Les syndicats demandent de nouveaux dispositifs l Etablissements, devenez partenaires du Café !

LA RECHERCHE

Rencontres de pédagogie institutionnelle

LES DISCIPLINES

Aristophane sur Youtube l La Porte aux étoiles

Le fait du jour

Désobéisseurs : Le ministère recule, les syndicats s’avancent

A RefaloErwann Redon était convoqué le 7 juillet devant une commission disciplinaire pour « insuffisance professionnelle », un fait sanctionné par le licenciement. Au bout de trois heures de discussions, la commission a été annulée pour vice de forme, l’inspection académique déclarant s’être trompé sur le motif de la convocation : il s’agit de « faute professionnelle » et non « d’insuffisance professionnelle » ! La faute professionnelle est sanctionnable par un éventail de sanctions qui vont de l’avertissement au licenciement. Erwann Redon sera convoqué à la rentrée à nouveau devant une commission.

Il s’agit donc bien d’une reculade du ministère. Il faut dire que les mises en garde se sont succédées dans la journée. Dans une lettre adressée à l’inspecteur d’académie de Toulouse, qui doit entendre dans une procédure similaire Alain Refalo le 9 juillet, Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU conteste le chef de manquement au devoir de réserve. Pour lui, « sanctionner (A Refalo) pour délit d’opinion serait inadmissible et créerait un précédent grave pour le doit syndical et les droits et libertés des fonctionnaires ». Le Snuipp demande publiquement que « le ministre prenne la mesure du trouble existant dans les écoles et construise des relations apaisées et respectueuses du droit syndical… Cela nécessite de retirer ces procédures disciplinaires ».

Le Sgen Cfdt invite le ministre « à ne pas rater son premier rendez-vous avec la profession ». « Outre que les procédures en cours sont disproportionnées avec les actes de ces collègues, la responsabilité du ministère est bien engagée dans cette situation. L’absence de dialogue social, le mépris ressenti par les enseignants, en particulier sur la question des nouveaux programmes de l’école, définis sans aucune concertation et désapprouvés par l’ensemble des professionnels, sont à l’origine de ces actes » estime le syndicat.

Communiqué Sgen

Snuipp

Le site d’Erwann Redon

y-a-t-il une affaire Redon ?

Finissons en avec les procès en sorcellerie pédagogique

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Laissez les enfants prendre leurs vacances !

C’est toujours saisissant de nous voir contredire les principes mêmes qui nous fondent. Saisissant et inquiétant. Un exemple ? En pleine actualité de cette année scolaire qui vient de se terminer, avec le sentiment pour toutes et tous de vacances bien méritées ! Pour tous ? Hélas, comme le révélait la semaine dernière l’observatoire des inégalités, plus d’un quart des enfants ne partira pas vraiment en vacances, une situation qu’aggrave encore la crise économique et sociale… Ne partira pas une semaine pour découvrir une autre région, d’autres paysages, d’autres images, vivre avec sa famille dans un autre cadre ou avec d’autres enfants une expérience de vie collective… Pourtant, à l’heure de la mondialisation, de la mobilité et la curiosité affichées comme des qualités indispensables à l’insertion sociale et professionnelle, comment ne pas s’étonner d’une telle injustice ?

Mais il y a plus perfide encore dans les contradictions silencieuses… avec la convention internationale des droits de l’enfant par exemple. Celle qui fait l’objet de nombreuses citations en cette année du vingtième anniversaire de sa déclaration. Celle qui dit dans son article 31 : « Les Etats reconnaissent à l’enfant le droit au repos et aux loisirs, de se livrer au jeu et à des activités récréatives propres à son âge et de participer librement à la vie culturelle et artistique ».

Comment les enfants peuvent-ils apporter du crédit à la force des engagements et du droit si la paresse et la bonne conscience des adultes amputent leur droit aux vacances et aux loisirs au motif de la réussite scolaire ? C’est bien de cela dont il s’agit avec la multiplication des initiatives de « colos de soutien scolaire » ou de « coaching scolaire » ou même de ces stages proposés par l‘institution scolaire elle-même. C’est le marché de l’angoisse scolaire qui grignote le temps des enfants, qui dévore ce temps qu’ils pourraient consacrer à d’autres découvertes, d’autres pratiques, d’autres éveils, d’autres savoirs et à leur repos évidemment, leurs rêves et leur imagination, les relations paisibles avec leurs proches, la camaraderie et les amitiés naissantes… toutes choses qui concourent à leur épanouissement, à la découverte de leurs trésors cachés, de leur estime d’eux-mêmes et des autres.

Les bonnes consciences intéressées nous diront qu’il faut les soustraire à la paresse des écrans, aux familles absentes et les préparer à une année scolaire à venir… Les mouvements d’éducation populaire qui accueilleront cet été avec le concours des collectivités, des CAF et plus rarement de l’Etat, des centaines de milliers d’enfants et de jeunes dans leurs centres de loisirs, de vacances, dans leurs ateliers sportifs et culturels leur répondent par avance que le temps des vacances est aussi un temps pour apprendre à vivre. Et que l’Ecole qui a déjà bien à faire durant l’année scolaire devrait aussi prendre des vacances.

Eric Favey, secrétaire général adjoint de la Ligue de l’enseignement

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Des résultats prometteurs pour le bac général, en baisse pour le bac technologique

Résultats exceptionnels pour les bacs généraux. Le ministère a publié le 7 juillet les résultats du 1er groupe d’épreuves des bacs technologiques et généraux. Le taux de réussite de ces derniers est de 78,4%, soit 2,9% de plus qu’en 2008. Le taux serait supérieur de 4,1% en ES avec 76,7% de reçus, 3,1% en L avec 74,3% et 2% en S avec 80,7%. Les résultats de 2008 avaient été les meilleurs de l’histoire du bac. On verra dans quelques jours si le record est battu.

C’est nettement moins bien pour les bacs technologiques avec 62,9% de reçus au premier groupe, soit – 1,5%. Le secteur industriel atteint 68,1% et le tertiaire 60,8%. En 2008 le taux de réussite en série technologique avait été aussi exceptionnel.

La reculade. Comme d’habitude ces taux déchaîneront l’ironie des mêmes plumitifs. Rappelons qu’ils cachent une réalité : la diminution de la part des bacheliers dans le pays. Alors que ce taux stagne globalement depuis 1995 (62,7% d’une génération en 1995, 63,8% en 2008), ce qui est déjà problématique pour un pays développé, depuis 3 ans, fait unique dans les pays développés, on voit ce pourcentage reculer : 64,3% en 2006. Reculera-t-il encore en 2009 ?

Le bac un vaisseau échoué

Résultats 2008

Martin Hirsch publie son Livre vert

La Commission sur la politique de jeunesse a rendu le 7 juillet son Livre vert. De nombreuses propositions concernent l’Ecole. Ainsi elle demande la prolongation de la scolarité obligatoire à 18 ans.

Partant du principe assez révolutionnaire que « le rôle de l’institution scolaire doit être double : enseigner, mais aussi donner confiance », le Livre demande que l’Ecole valorise leurs points forts, « que ceux-ci s’expriment à l’école ou dans un contexte péri-scolaire. » C’est-à-dire que chaque élève disposerait d’un « livret de compétences » couvrant la scolarité de l’école à l’université. Celui-ci prendrait en compte les capacités des élèves dans les réseaux associatifs et les mouvements de jeunesse. « Ce livret ne doit pas être un instrument dans l’évaluation scolaire des élèves, mais doit les accompagner dans la définition de leur projet personnel et professionnel ». « En pratique, cela veut dire qu’un élève pourra valoriser un investissement fort dans une association sportive, la bonne connaissance d’une langue maternelle autre que le Français, une implication au service de l’intérêt général dans le cadre de l’école, de l’éducation populaire, d’un apprentissage de la musique, du théâtre ou la pratique d’un sport. Cette orientation implique un effort important pour que les jeunes les plus en difficulté accèdent à ces apprentissages et pratiques culturelles sur le territoire sur lequel ils vivent ».

Le Livre vert envisage aussi une refonte de l’orientation. «  Un service public de l’orientation, connecté à l’école mais pas dépendant de l’éducation nationale doit être créé. Ce service public, associant la région, l’Etat et les partenaires sociaux, au niveau des territoires, doit être garant de droits pour les jeunes. Il doit contribuer au décloisonnement des filières, à la possibilité de réorientations, à la revalorisation de filières professionnelles et techniques ».

Le Livre vert

Que veut dire désobéir dans l’éducation nationale ?

« On ne compte plus les réformes qui ont été dévoyées silencieusement, et dans l’indifférence générale, par une partie des enseignants » note Philippe Meirieu dans une tribune de soutien à Alain Refalo. « Les cycles, imposés par la loi d’orientation de 1989 ont été abandonnés sans bruit ; le soutien individualisé en seconde n’est plus guère utilisé comme tel ; les heures de vie de classe ou d’ECJS sont, très souvent, employés à d’autres fins… et tout cela sans que personne ne s’en inquiète ».

« Mieux encore », ajoute-il, « Quand des professeurs, et même des associations de professeurs ayant pignon sur rue et table ouverte au ministère, ont appelé au boycott des Travaux personnels encadrés, on n’a vu nulle part apparaître de conseils de disciplines pour refus d’obéissance et incitation à la désobéissance collective. Faut-il donc comprendre qu’un enseignant ne doit être sanctionné que quand il ose nommer ce qu’il fait ? Faut-il donc comprendre qu’on peut désobéir dans la clandestinité ? Ou quand on bénéficie de complicités haut placées ? Qu’on se souvienne, enfin, de ceux et celles qui ont invité clairement à désobéir aux programmes de 2002 en publiant des pamphlets au vitriol : alors que ces programmes étaient encore en vigueur, on leur a attribué des décharges pour expérimenter et diffuser leurs idées ! Alain Refalo n’en demande pas tant ! »

La tribune

Formation des enseignants : Chatel retarde la publication des décrets

Le ministre cherche-t-il une véritable concertation sur la formation des enseignants ? Luc Chatel et Valérie Pécresse ont reçu le 7 juillet les syndicats sur la formation des enseignants. Selon un communiqué de la FSU, « les deux ministres ont annoncé un nouveau calendrier et des nouvelles procédures de concertation : la commission Marois-Filâtre devrait rendre ses conclusions vers la mi juillet et précéder la publications des décrets; puis s’engagerait à la rentrée une période de discussions associant des groupes de travail techniques internes à l’administration organisés par niveau d’enseignement et des discussions bilatérales avec les organisations syndicales ». La publication des décrets, qui était imminente, est donc légèrement repoussée de façon à permettre à la commission Marois-Filâtre, symbole de la concertation, de réapparaître.

« Les ministres ont proposé que les discussions portent sur trois points : la place du concours en M2, le cadrage des concours, le contenu de l’année de stage (formation continuée) » annonce la FSU. Ces discussions devraient aboutir à des conclusions en décembre, date à partir de laquelle commenceraient à être élaborées des maquettes déposées au printemps. On sait que le Sgen et le Se-Unsa ont demandé le 6 juillet un recadrage de la date du concours.

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Mon enfant entre au collège

« Les réponses à toutes vos questions » affirme la couverture de cet ouvrage de Vincent Villeminot, publié chez Nathan. Plus que l’exhaustivité, les parents apprécieront la clarté et le style de V. Villeminot. L’ouvrage aborde chaque sujet sous forme de paragraphes courts, écrits de façon compréhensible, avec des fiches colorées pour approfondir tel ou tel point.

C’est donc de façon « décontractée » que ce livre conseille les parents dans des domaines pas toujours traités chez les concurrents. Par exemple il explique « comment choisir son collège » ou encore comment trouver « la bonne classe » pour son enfant. Même si la question des jeux dangereux n’est pas abordée (c’est dommage !) on saura gré à l’auteur de parler de la violence des camarades.

D’autres thèmes nous semblent pourtant manquer de développement. Ainsi si l’auteur conseille sur le travail à la maison, l’organisation de ce travail mériterait davantage de développements. Si la communication entre parents et professeurs et Ecole occupe un chapitre, la question des malentendus entre eux n’est pas vraiment traitée. Au total on a un ouvrage léger, lisible, pratique qui apportera de nombreuses informations.

Vincent Villeminot, Mon enfant entre au collège, Nathan, Paris, 2009, 254 pages.

Des milliers d’élèves sans affectation en lycée

Selon la FCPE, « de lourds dysfonctionnements » frappent la procédure d’inscription en seconde. Près de 5 000 élèves en Haute Garonne, 4 000 à Lyon, 1 400 à Paris, par exemple, seraient soit non affectés soit non affectés dans l’établissement de leur choix. A Paris par exemple, une pétition a recueilli des centaines de signatures. Il s’agit de parents dont les vœux, tournés vers les établissements de centre ville, ne sont pas respectés.

« La FCPE exige que le droit inscrit dans le code de l’éducation soit respecté ». C’est poser la question de la réforme de la carte scolaire et des espoirs qu’elle a éveillé chez les parents. Ils découvrent qu’elle a mis leurs enfants en concurrence avec d’autres sans leur ouvrir les passages recherchés.

Communiqué FCPE

Le blog des parents parisiens mécontents

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La classe

Evaluation de CE1 : Les syndicats demandent de nouveaux dispositifs

« Les évaluations mises en place cette année ne sont pas un outil au service des élèves, des enseignants ou des familles » estime le Snuipp. « Leur mode de correction binaire ne permet aucune analyse des difficultés des élèves et constitue une régression par rapport aux évaluations précédentes ».

L’esprit est le même au Se-Unsa qui demande lui aussi un nouvel outil d’évaluation. « Le SE-UNSA conteste la pertinence du dispositif mis en place cette année. En effet, les mêmes objectifs pourraient être atteints par des évaluations portant sur des échantillons représentatifs. On échapperait ainsi au principal effet « pervers » de ces évaluations : un travail centré uniquement sur les mathématiques et le français au détriment des autres domaines d’enseignement ». Le syndicat souhaite aussi de nouveaux outils de remédiation. « Les disparités des résultats entre académies mettent en évidence la nécessité de mener des politiques ambitieuses en matière de lutte contre les inégalités sociales de réussite scolaire. Un effort particulier doit être fait en direction des départements d’outre-mer. Ces résultats ne font que confirmer des faits avérés. Il est maintenant urgent d’apporter des solutions efficaces ».

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L’offre établissements

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La recherche

Rencontres de pédagogie institutionnelle

« A l’heure où les techniques comportementalistes vont envahir l’école aidées en cela par « la culture du résultat ». A l’heure où les difficultés des élèves, comme celles des maîtres radicalisées par la crise ne pourront être entendues, reconnues autrement que comme des déficiences, des manques à combler. A l’heure où l’ensemble du dispositif d’éducation se transforme de plus en plus en un système de contention, la P.I n’est pas la solution toute faite, un miracle clé en mains de plus. C’est aujourd’hui une possibilité pour prendre position et tenir sa place face à tous ces enjeux, une manière de résister ». Il reste encore quelques places pour les 2° Rencontres d’été de Pédagogie Institutionnelle à Sannois (Val d’Oise) du lundi 24 août au samedi 29 août 2009.

Le programme

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Les disciplines

Aristophane sur Youtube

C’est un lecteur qui signale la mise en ligne de la version vidéo intégrale de Lysistrata, d’Aristophane, en version française. L’extraordinaire comédie d’Aristophane, n’a perdu ni de sa puissance de feu [la guerre des sexes fait toujours rage] ni de son actualité politique [les nécessités de l’économie et le pouvoir de l’argent rendent la plupart des hommes fous]. Pièce en 3 actes. Metteur en scène : Benoît Kopniaeff. Comédiennes : Anne-Sophie Galinier, Laurène Giboreau, Céline Hernandez, Carole Peylin. Compagnie : Scène en vie.

Sur Youtube

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La Porte aux étoiles

Créé à l’occasion de l’Année mondiale de l’astronomie 2009 par l’AFA, en partenariat avec le CEA, le Cnes le CNRS, l’Insu, l’In2p3 et le magazine Ciel et Espace, « La porte aux étoiles » a pour ambition de devenir LE site de référence concernant les évènements liés aux sciences de l’Univers ainsi que le centre de ressources naturel pour toute personne désirant savoir où trouver de l’information sur ce thème. Il n’a pas la vocation de recenser de manière exhaustive tout ce qui se fait mais plutôt de proposer la sélection francophone la plus pertinente en fonction du type d’information recherchée.

La porte

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