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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Le Sénat veut interdire l’usage du téléphone portable à l’école et au collège

ÉDITORIAL

Jusqu’où le huis clos ?

LE SYSTEME

Diversité sociale pour l’ENA l Le Snes enquête sur la rentrée.

L’ÉLÈVE

Trente organisations demandent à N. Sarkozy d’agir pour les droits des enfants l L’origine sociale des élèves en difficulté.

LA CLASSE

Pour un accompagnement éducatif efficace l Prenez les Clés de l’éducation routière l Etablissements, devenez partenaires du Café !

LA RECHERCHE

Les transformations des États éducateurs en Europe l L’Andev en congrès du 21 au 23 octobre

LES DISCIPLINES

Le monde est un ensemble d’anthromes l Géo : Les milliardaires l Des larmes pour le prochain quinquennat.

LES TICE

Le Kindle débarque en France

Le fait du jour

Le Sénat veut interdire l’usage du téléphone portable à l’école et au collège

Le Sénat a introduit dans la loi Grenelle II sur l’environnement, un article qui interdit l’usage du téléphone portable dans les écoles et collèges.  » Le chapitre unique du titre Ier du livre V de la deuxième partie du code de l’éducation est complété par un article L. 511-5 ainsi rédigé : « Art. L. 511-5. – Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges, l’utilisation par un élève d’un téléphone portable est interdite ».

Ce nouvel article, adopté en commission, a été défendu par MC Blandin. Pour elle, « les désordres liés à l’utilisation prolongée des téléphones portables sont connus, en particulier chez l’enfant, dont l’exposition aux ondes rend la barrière hémato-encéphalique plus perméable, mais aussi au sein de toute cellule vivante, où apparaissent des micro-noyaux dans des proportions supérieures à la normale ». Même si elle a dû reconnaître que l’étude à laquelle elle faisait allusion ne concernait pas les téléphones, le Sénat a adopté ce nouvel article par précaution.

Il a aussi accepté des articles réprimant la publicité auprès des jeunes. « Toute communication, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct ou indirect de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans est interdite… La distribution à titre onéreux ou gratuit d’objets contenant un équipement radioélectrique dont l’usage est spécifiquement dédié aux enfants de moins de six ans peut être interdite par arrêté du ministre chargé de la santé, afin de limiter l’exposition excessive des enfants. »

Si ce texte devait être adopté définitivement, la possession d’un téléphone portable resterait légale. Par contre l’usage, même dans la cour de récréation, serait interdit.

Au Sénat

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Jusqu’où le huis clos ?

A quoi reconnaît-on une mauvaise loi ? Au fait qu’elle n’est pas fondée et qu’elle génère plus de problèmes qu’elle n’en résout. Ces deux critères, le projet de loi sénatorial qui interdit l’usage du téléphone dans les écoles et collèges les remplit parfaitement sans pour autant qu’on en ait terminé avec ses nuisances.

Sur quoi repose cette proposition adoptée à l’unanimité par une commission sénatoriale ? Sur un sondage récent ? Certes, celui-ci montre que 7% des élèves ont pris leur prof en photo; la moitié des élèves ont vu leur téléphone sonner en classe. Mais quelle est la portée de ces chiffres ? On peut les inverser sans difficulté. Plus de 9 élèves sur 10 se refusent à prendre leur prof en photo et ont parfaitement intégré les interdits. Un peu plus d’un prof sur deux a entendu son propre téléphone sonner en classe…

Non, l’argument avancé par la commission sénatoriale est d’abord médical : il faudrait protéger les enfants du danger des ondes émises par les téléphones portables. Les sénateurs reconnaissent finalement ne pas disposer d’études sérieuses sur ce sujet. Ils les attendent. Mais ils nous disent appliquer le principe de protection. Mais, comme on a l’impression que les méfaits des ondes peuvent s’exercer le samedi, le soir de façon plus facile que de 10 à 11 en cours de maths, on est amené à mettre en doute la valeur de cet argument. Si la santé des enfants est en jeu, il faut évidemment interdire en permanence l’usage du portable ou imposer pour les jeunes des portables adaptés (sans haut parleur). A défaut, la loi ne protégera pas la santé des enfants, s’il y a lieu de la préserver. Alors pourquoi ne proposent-ils pas ces mesures ? Une proposition a bien été faite en ce sens mais repoussée par la majorité. Pourquoi ? Parce que les sénateurs reconnaissent qu’elle est inapplicable. Ce sont les parents qui achètent les téléphones portables et qui en prescrivent déjà au départ l’usage. Inutile, la loi s’avère en fait inapplicable…

Puisque cette loi est inutile et inapplicable, que reste-t–il alors comme motivation aux sénateurs ? Il suffit de lire le compte-rendu de séance pour découvrir les vrais mobiles de cette mesure. Ecoutons M Vasselle : « En tant qu’élus, nous sommes régulièrement interpellés par la population qui exige des mesures réglementaires afin que le bon déroulement des cours ne soit plus perturbé. Il est vrai que l’insécurité dans les établissements scolaires est telle que les élèves ont parfois besoin du téléphone pour appeler au secours… » Ecoutons M Gournac : « Des élèves qui reçoivent des SMS en classe sortent pour rappeler leur correspondant, troublant ainsi la bonne marche du cours ». Ecoutons Mme Panis : « N’oublions pas que certains élèves lisent et envoient discrètement, sous leurs pupitres, des SMS et des MMS : c’est inacceptable ». De quoi débattent-ils ? De questions qui relèvent du règlement intérieur des établissements scolaires. Leur motivation profonde se situe dans leur représentation de l’Ecole publique, assimilée plus ou moins à une jungle.

On comprend alors que cette loi peut déranger l’Ecole. S’il faut éduquer les élèves pour obtenir qu’ils n’utilisent pas le téléphone en cours, comment obtenir qu’ils ne téléphonent pas dans la cour de récréation ? Comment vérifier qu’ils utilisent un lecteur mp3 et non un téléphone ? Comment leur interdire de répondre à un appel de leurs parents ? La loi mettra les équipes éducatives dans une situation impossible et génératrice de tensions.

Mais ce n’est pas son seul défaut. Ce que réclament les sénateurs c’est le huis clos scolaire. L’Ecole doit être un sanctuaire dédié au savoir et au face à face respectueux du maître et des élèves. Cette conception n’est pas pour rien dans les difficultés de l’école et ses problèmes d’efficacité. C’est d’ailleurs cette même vision que les sénateurs déplorent quand il est question par exemple d’orientation.

La vraie question pour l’Ecole n’est pas d’éteindre les écrans et les téléphones. C’est de les utiliser à bon escient en commençant justement par le téléphone, puisque la quasi-totalité des élèves disposent dès le collège de ce terminal numérique. On a là un outil en friche que l’on voudrait abandonner alors même qu’il gagne en puissance et en fonctions. Le vrai progrès ce n’est pas de s’épuiser à entretenir une guerre perpétuelle et perdue d’avance avec les pratiques sociales des jeunes. Mais de jeter les passerelles éducatives qui permettront à l’Ecole d’intégrer ces pratiques dans des stratégies scolaires.

Wapeduc l’école nomade

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Diversité sociale pour l’ENA

Le 7 octobre, Eric Woerth a inauguré la première classe préparatoire au concours de l’ENA. Pour le ministre cette classe est le signe « d’une politique résolue de diversité sociale ». 15 jeunes ont été sélectionnés sur critères sociaux et de niveau pour préparer le concours d’entrée à l’ENA.

Le Snes enquête sur la rentrée

« Opération vérité sur la rentrée ». Le Snes, avec le Snep, le Snuep et le Snetap, lance une enquête en ligne sur les conditions de la rentrée. Le syndicat demande aux enseignants de préciser l’évolution du nombre de postes, d’heures supplémentaires, de moyens matériels. Le document précise d’emblée : « les personnels, les élèves vivent tous les ans des rentrées de plus en plus difficiles »…

L’enquête

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Trente organisations demandent à N. Sarkozy d’agir pour les droits des enfants

« Nous sollicitons votre haute autorité pour donner une impulsion décisive aux pouvoirs publics afin que la parole de notre pays soit tenue et le sort des enfants de France soit amélioré ». Trente organisations en lien avec l’enfance (Andev, Dei France, Fcpe, Idem, LDH, Occe, Sge,, Snuipp, Mrap etc.) interpellent dans une lettre ouverte datée du 5 octobre, le président de la République.

Après les remarques du Comité des droits de l’enfant de l’ONU, après l’annonce de la suppression du Défenseure des enfants, elles s’inquiètent du respect des engagements de la France envers la Convention internationale des droits de l’enfant. « L’actualité récente du dépôt au Sénat du projet de loi relatif au Défenseur des droits et les nombreuses réactions qu’il suscite parmi les associations de défense des droits de l’enfant nous amènent à attirer tout particulièrement votre attention, dans ces observations, sur le renforcement des missions et moyens du Défenseur des enfants – ainsi que des autres autorités administratives indépendantes contribuant au respect des droits des enfants ».

Les organisations demandent la mise en place d’un groupe de travail interministériel avec les associations et institutions concernées qui serait chargé d’examiner les conditions de mise en œuvre des observations du Comité des Droits de l’Enfant d’ici au prochain examen périodique de la France dans 5 ans.

Il faut dire que la France est isolée dans sa démarche de mise en question des droits. Le Conseil de l’Europe lance le 9 octobre une campagne d’information sur les droits des enfants. 25 000 brochures seront distribuées aux enfants strasbourgeois.

La pétition du Défenseur des enfants (35 000 signatures)

Le gouvernement décide de supprimer le défenseur des enfants

L’origine sociale des élèves en difficulté

Selon l’Observatoire des inégalités, qui met en ligne une série de synthèses fort utiles, 84% des élèves des sections pour élèves en difficulté du collège sont issus de familles défavorisées. 42% viennent d’un milieu ouvrier (contre 26% d’une classe ordinaire), 28% d’inactifs (contre 9%). Inversement on ne trouve que 2% d’enfants de famille cadre contre 16%.

Sur l’Observatoire des inégalités

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La classe

Pour un accompagnement éducatif efficace

« Certains rejettent l’accompagnement éducatif parce qu’il serait un moyen de se dédouaner de l’aide en classe ou d’occulter des dispositifs plus innovants et plus ancrés dans l’horaire ordinaire… Certes ce peut être cela. A nous d’inventer autre chose qu’une rustine ou un palliatif mais le moyen de faire vivre le collège après 16 ou 17 heures ». Pour ceux qui seront dans cette quête, à coup sur le livre d’Anne Mansuy et Jean-Michel Zakhartchouk sera une aide puissante.

La grande force de l’ouvrage c’est de se situer toujours au niveau de l’élève et de l’enseignant. Certes il laisse toute leur place aux différents intervenants (collectivités locales par exemple) qui participent à l’accompagnement éducatif (AE).

Mais il nous ramène toujours aux problématiques particulières de l’AE. L’ouvrage montre de façon concrète comment quitter la posture de prof pour prendre celel d’accompagnateur et, du coup, comment en tirer du positif pour sa pratique d’enseignant. ON apprend à retraiter le contenu des cours, à utiliser sa mémoire, à préparer une évaluation, à s’entraider, à lire, toutes compétences qui viennent appuyer le cours. On apprend aussi à lutter contre le découragement des élèves.

Ce livre finalement donne ses lettres de noblesse pédagogique à un dispositif dont l’utilité et la finalité semblent encore mal établies. Il finirait presque de nous convaincre de son bien-fondé.

Anne Mansuy et Jean-Michel Zakhartchouk, Pour un accompagnement éducatif efficace, CRDP de Franche-Comté Crap, 2009, 178 pages.

Prenez les Clés de l’éducation routière

Faites connaître votre projet d’éducation routière et obtenez une récompense en participant au concours Les Clés de l’éducation routière. En juin 2009, six classes recevaient au ministère de l’éducation nationale les prix de la première édition du concours des Clés de l’éducation routière. Le concours est relancé cette année.

Organisé par l’association La Prévention routière, le concours s’adresse aux enseignants des écoles, collèges et lycées. Il vous invite à faire connaître vos projets d’éducation routière. Cela peut être l’apprentissage de la circulation, un projet pluridisciplinaire évoquant les déplacements, la création d’un plan de déplacement, une enquête sur une infrastructure ou des comportements.

Par exemple, en 2008-2009, ont été récompensés l’école Joliot-Curie de Charleville-mézières qui a fait travailler 3 classes des cycles 1 et 2 sur les règles à respecter lors des sorties en classe. En cycle 3, l’école Dolto de Villeneuve-les-Maguelonne (Hérault) a préparé avec deux classes une semaine de classe nature VTT. Dans la catégorie collège,l’EREA Truffaut de Mainvilliers (Eure-et-Loir) a réalisé un programme complet d’éducation routière mis en application lors des déplacements en vélo ou mobylette des classes. Le Lycée professionnel Nazareth de Ruillé (Sarthe) a fait réaliser et traiter par les élèves une enquête sur les accidents.

Parce que les accidents de la route sont la première cause de mortalité chez les jeunes, l’éducation routière reste une priorité et un défi pour l’Ecole. Le concours Les Clés de l’éducation routière donne l’occasion de mobiliser les élèves pour une action citoyenne. Inscrivez-vous dès maintenant en ligne !

En savoir plus sur le concours

Les lauréats du concours 2008-2009

Etablissements, devenez partenaires du Café !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Les transformations des États éducateurs en Europe

Agnès van Zanten, Xavier Pons et Patricia Legris ouvrent à Sciences Po Paris un séminaire scientifique international sur « les liens entre les politiques éducatives et les savoirs, qu’il s’agisse aussi bien des savoirs véhiculés sur le fonctionnement souhaitable du système éducatif, les savoirs intégrés dans des instruments de régulation spécifiques ou les savoirs transmis par l’institution scolaire elle-même ».

Il s’ouvre jeudi 8 octobre par une séance sur les politiques de discrimination positive ne France et en Europe. Philippe Bongrand et Martine Kherroubi interviendront sur les politiques prioritaires. La séance du 12 novembre sera consacrée aux savoirs managériaux en éducation.

Sur le site de X Pons

Choisir son école A van Zanten

X Pons : sans culture d’évaluation…

L’Andev en congrès du 21 au 23 octobre

Le prochain colloque de l’ANDEV, l’association des directeurs de l’éducation des villes françaises, aura lieu les 21, 22 et 23 octobre 2009 à La Ciotat et aura pour thème « Partager et penser ensemble l’Education ? ». Les trois journées seront marquées par trois tables rondes. Mercredi 21 il sera question de l’histoire des politiques éducatives avec C Lelièvre, JP de Gaudemar et JC Richez. Le 22, le congrès s’interrogera sur le nouveau cadre des politiques éducatives locales et le 23 sur la co-construction éducative des territoires. A noter également dans les ateliers, un atelier SMA temps scolaire.

Le programme

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Les disciplines

Le monde est un ensemble d’anthromes

C’est une carte révolutionnaire que nous propose la Nasa. Pouvons-nous continuer à représenter la terre sous forme d’écosystèmes alors que la présence humaine affecte les trois quarts de la planète ? La Nasa propose une carte des anthromes, c’est-à-dire des écosystèmes affectés par l’homme. Une nouvelle façon de comprendre le globe.

Site de la Nasa

Géo : Les milliardaires

Ils étaient 1125 en 2008, nous dit Forbes, ils ne sont plus que 793. Comme chaque année, la revue Forbes nous fournit des indications précieuses sur les milliardaires, leur nationalité, leur carrière, leur lieu de résidence. Voilà de quoi monter avec les élèves des TP intéressants. Où vivent les milliardaires ? Comment cartographier leur localisation ? Comment l’expliquer ? Comment mesurer la richesse d’un pays ? Geography Teachng Today, un site britannique, nous offre même une séance dépaysante sur les statistiques Forbes.

La liste de Forbes

Geo Teaching Today

Des larmes pour le prochain quinquennat

« Le gouvernement de l’après-2012, quel qu’il soit, n’aura sans doute pas d’autre choix que d’amorcer l’assainissement des comptes publics dans un contexte extraordinairement difficile, tout en voyant ses marges de manoeuvre considérablement rétrécies. « Le niveau de notre dette publique obère fortement les réformes nécessaires dans le futur », a rappelé le socialiste Laurent Fabius dans Les Echos du 1er octobre. Pour le moins ». Dans Le Monde, Claire Guélaud promet « du sang et des larmes » à nos concitoyens pour l’après 2012. Mais « tout est possible »…

Article du Monde

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les tice

Le Kindle débarque en France

Le e-book révolutionnaire d’Amazon arrive en Europe et en France. Le Kindle est bien sûr un objet technique : un lecteur de 300 grammes épais comme un crayon capable de télécharger des textes depuis n’importe où grâce à sa connexion 3G ou GSM pour moins de 200 euros.

Mais Kindle est surtout un concept économique qui a rencontré un grand succès aux Etats-Unis. Il donne la possibilité de télécharger partout une bibliothèque de plus de 250 000 titres en anglais à des prix très bas (5 à 6 dollars). L’appareil peut lui-même stocker 1500 livres : on peut ainsi emmener facilement (300 grammes !) avec soi sa bibliothèque ou acheter sur impulsion le dernier roman à la mode.

Le Kindle devient universel dans son accès 3G. Il ne l’est pas dans sa bibliothèque et c’est là pour le moment son point faible. Faute d’accord avec les éditeurs, les français vont continuer à se voir proposer des livres électroniques au même prix ou même plus cher que le papier. Quelle belle incitation au tout-anglais !

Sur Amazon

Le Kindle

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le Cafe

Les anciens Expresso ?

Voir L’Expresso précédent

Les archives complètes de L’Expresso

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