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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Pour le Se-Unsa, l’éducation nationale ne souffre pas ses personnels

ÉDITORIAL

Grippe et droit de retrait : Qui a raison ?

LE SYSTEME

Journée d’actions le 15 décembre pour la formation des enseignants l L’INRP se projette dans l’avenir ! L’Etat, les personnes à risque et la grippe ! Angleterre : Des résultats en baisse au primaire.

L’ÉLÈVE

Mortel Scooter l AVS : Le MEN signe un accord avec Autisme France.

ETABLISSEMENT PARTENAIRE

Exposition « Vis-à-Vis » au lycée d’Alembert l Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

LA RECHERCHE

Elève, usager ou acteur ? Quelle vie scolaire pour les élèves ?

CITOYENNETE

Le traité de Lisbonne entre en vigueur

LES DISCIPLINES

Journée de mobilisation pour l’Apses l Anglais : Ne dites plus…

Le fait du jour

Pour le Se-Unsa, l’éducation nationale ne souffre pas ses personnels

Le dernier médecin du travail de l’éducation nationale, vous l’avez rencontré sous Sarkozy, Chirac, Mitterrand ? C’était quand votre dernière radio professionnelle ? En pleine pandémie, l’administration vous a-t-elle dit ce que vous deviez faire si vous êtes un prof « à risque » ? Pour le Se-Unsa, une chose est claire : l’éducation nationale assure le service minimum pour l’application de la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de santé au travail. Ses salariés n’ont pas la politique sanitaire qui s’impose dans les entreprises et les autres ministères.

Mardi 1er décembre, Christian Chevalier, secrétaire général du Se-Unsa, et Dominique Thoby, secrétaire nationale, présentaient les résultats d’une enquête Internet lancée par le Se-Unsa sur les conditions de travail et la santé des enseignants. Avec plus de 5 000 réponses en un mois, elle montre que le sujet est sensible chez tous les enseignants : tous les corps et toutes les tranches d’âge ont répondu.

Carence ministérielle. Pour C Chevalier, « le ministère n’accorde pas à ses salariés l’attention qu’ils sont en droit d’attendre ». Une majorité d’enseignants demande en priorité un service médical de proximité, un suivi médical ou de la prévention. Un ersatz existe bien : le PAS (prévention, aide et suivi). Mais 87% des enseignants n’en connaissent pas l’existence et ce n’est pas par hasard. 63% des enseignants estiment que leurs conditions de travail fragilisent leur état de santé, 22% le poids des responsabilités. 70% jugent que les problèmes de santé qu’ils ont rencontré dans leur vie étaient en rapport avec l’exercice du métier. Mais à qui le dire ? 80% des enseignants estiment que l’administration est sourde face à leurs problèmes de santé. Quant aux 20% qui ont été entendus, plus de la moitié ne sont pas satisfaits de la prise en charge qui a suivi.

CHS ou CHSCT ? Pour D Thoby, le ministère ne prend pas en compte l’existence des risques psychosociaux, c’est-à-dire les risques professionnels qui portent atteinte à l’intégrité physique et mentale des salariés. 28% des enseignants souffrent ou ont souffert de stress, 18% de dépression, autant de troubles TMS (musculo squelettiques), 16% de troubles de la voix. L’éducation nationale a des Comité d’hygiène et sécurité, rarement réunis, sans budget, là où il faudrait une prise en compte des risques du travail, c’est-à-dire des CHSCT (Comité d’hygiène, sécurité et conditions de travail) .

La pandémie grippale illustre cette situation. D. Thoby rappelle que la circulaire sur la continuité pédagogique mentionnait du bout des lèvres les personnels. Elle constate qu’en dehors d’une académie, Versailles, aucune mesure préventive n’a été prise pour les enseignants « à risque ». Les médecins de l’administration renvoient vers les médecins libéraux pour un éventuel arrêt. On a même vu des personnes à risque désignées comme « personnel référent » c’est-à-dire d’astreinte en cas de fermeture d’établissement ! « C’est une question de culture », affirme –t-elle. « Il n’y a pas de culture de la gestion des ressources humaines dans l’éducation nationale. Elle est remplacée par l’autoritarisme ambiant. Luc Chatel a fait savoir qu’il s’intéressait à cette question et a nommé une responsable des ressources humaines. On attend la suite… »

Que faire ? Le Se-Unsa suit de près les dossiers qui lui arrivent en lien avec la pandémie. Le syndicat a signé le protocole d’accord « santé et sécurité au travail ». Il revendique la création de CHSCT prévue au protocole. Il interviendra pour son application. Il demandera aussi qu’enfin une ligne « dépenses de santé » apparaisse dans le budget ministériel…

Communiqué Se-Unsa

Dossier La grippe et l’Ecole

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Grippe et droit de retrait : Qui a raison ?

Une enseignante « à risque » a-t-elle raison d’exercer son droit de retrait ? Le ministère a-t-il raison d’exposer des enseignants fragiles au virus h1n1 ? C’est la question que pose le Café à travers un cas précis : celui de Mme A.

Qu’est ce qu’une personne « à risque » ? Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a défini le 10 septembre les priorités pour la vaccination contre le virus H1N1. Les femmes enceintes sont la catégorie la plus à risque, particulièrement à partir du début du 2nd trimestre de grossesse. Viennent ensuite l’entourage des nourrissons (pour réduire la transmission aux nourrissons), les nourrissons âgés de 6 à 23 mois avec facteurs de risque, les personnes de 2 à 64 ans avec un autre facteur de risque, les nourrissons de 6 à 23 mois sans facteur de risque et les personnes de plus de 65 ans avec facteur de risque. En dehors de la grossesse, les pathologies à risque sont les affections broncho-pulmonaires chroniques, les cardiopathies congénitales, insuffisances cardiaques graves, les néphropathies, les accidents vasculaires cérébral invalidants, myopathie, épilepsie, les drépanocytoses, le diabète non équilibré, les personnes en immunodépression.

La circulaire du 3 septembre ne propose pas de mesures préventives claires pour les personnels à risque. « Outre la consultation de leur médecin traitant », écrit le B.O., « les personnes souffrant de pathologies à risque dans un contexte de grippe saisonnière, ainsi que les femmes enceintes, sont invitées à se signaler aux services de médecine de prévention. Ceux-ci pourront dispenser les conseils et les recommandations utiles aux personnes concernées. Ils pourront également suggérer, à l’autorité compétente, un aménagement de leurs conditions d’exercice. Leur situation sera prise en considération avec la plus grande attention dans le souci d’une meilleure protection contre le risque de contamination ». Le verbe « suggérer », la promesse de « la plus grande attention » n’engagent en rien l’administration à retirer pour quelques jours de la classe une enseignante « à risque » dont les élèves sont malades.

Le droit de retrait a été introduit dans le droit de la fonction publique par le décret n° 95-680 du 9 mai 1995. Il prévoit « qu’aucune sanction, aucune retenue de salaire ne peut être prise à l’encontre de l’agent ou du groupe d’agents qui se sont retirés d’une situation de travail dont ils avaient un motif raisonnable de penser qu’elle présentait un danger grave et imminent pour la vie ou la santé de chacun d’eux ».

Le cas de Mme A. Professeure de lettres, Mme A enseigne dans un collège Zep de l’académie de Paris. Elle est enceinte de 5 mois et demi. Le 18 novembre elle apprend par ouï-dire que plusieurs de ses élèves sont grippés et ont la grippe A. Quand elle en parle à ses collègues, elle est immédiatement chapitrée par le chef d’établissement qui nie la présence de la grippe A au collège. Mais voilà, jeudi 19 novembre elle obtient la preuve qu’au moins deux de ses élèves ont développé la grippe A. Elle annonce au chef d’établissement son intention d’user de son droit de retrait. Elle arrive à se faire vacciner dès le lundi 23 et annonce au principal qu’elle use de son droit de retrait jusqu’au 7 décembre. Dès le 24 novembre, le rectorat lui envoie un courrier qui lui affirme que « le droit de retrait ne peut s’exercer qu’en présence d’un danger grave et imminent » et que son cas « ne présente pas ces caractéristiques ». Par conséquent « à défaut d’une régularisation de votre position administrative, vous ferez l’objet d’une retenue sur salaire pour toute absence non justifiée ». Mme A. a choisi de ne pas mettre sa vie et celle du bébé en danger et de persévérer dans son retrait. Elle se prépare à poursuivre en justice l’académie si elle effectue un retrait sur salaire.

Un cas significatif. Le cas de Mme A. nous semble assez significatif des affaires de ce type qui commencent à remonter dans les académies. Il pose des questions qui interpellent directement les enseignants et les cadres. Le chef d’établissement a-t-il le droit de dissimuler les cas de grippe dont il a connaissance ? Les pressions autoritaires sont-elles légitimes quand la santé et la vie des personnes sont en jeu ? Ce mode de gestion des personnels est-il acceptable ? Est-ce de la bonne gestion que supprimer des postes de remplaçants en année de pandémie ? Est-il raisonnable qu’au moment où ces lignes sont publiées dans la plupart des académies les enseignants à risque continuent à faire face à la pandémie ? Qu’ils ne soient pas informés de leurs droits et des démarches possibles ? Est-il légitime et bon de les pousser à choisir entre leur santé et l’insubordination ?

Pas de retrait préventif des femmes enceintes

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Journée d’actions le 15 décembre pour la formation des enseignants

Fsu, Sgen, Se-Unsa, les parents de la Fcpe, les syndicats UNL et Fidl, appellent à une « journée de mobilisation » le 15 décembre contre la réforme de la formation des enseignants. » Les organisations signataires exigent la remise à plat de la réforme impliquant le retrait des décrets concernant la formation des enseignants et des textes d’application déjà publiés et l’ouverture indispensable de réelles négociations. Elles revendiquent la mise en place d’une réforme de la formation des enseignants qui réponde aux besoins du système éducatif et permette une véritable formation professionnelle des futurs enseignants. En conséquence, elles demandent une réelle amélioration de la formation de tous les enseignants et la reconnaissance de celle-ci par l’obtention d’un master; de revenir sur la place des épreuves d’admissibilité au cours du cursus ».

Communiqué

L’INRP se projette dans l’avenir

En crise depuis des mois, l’Institut national de recherche pédagogique (INRP) se mobilise autour d’un nouveau projet. Le 30 novembre, le nouveau directeur de l’INRP, Jacques Moret, présentait au C.A. de l’établissement un nouveau projet directeur. Il s’agit pour lui d’arriver à garder la spécificité de l’INRP tout en réorientant ses missions et en refondant ses structures.

« Ce qui fait l’originalité de l’INRP », a déclaré au Café Jacques Moret, « c’est son réseau de 800 enseignants associés. Je veux approfondir cette relation unique entre la recherche et le terrain ». Pour autant, Jacques MOret souhaite également affermir le lien avec la recherche lyonnaise et s’appuyer sur le nouveau PRES lyonnais (regroupement d’universités) et la nouvelle ENS. « Nous nous appuierons sur la dynamique lyonnaise et participeront au développement du PRES ».

Trois axes de recherches sont mis en avant. Les nouvelles méthodes de transmission des savoirs : l’INRP portera en ligne ses ressources documentaires et travaillera avec la CDIUFM et le CNDP à la création de nouvelles ressources. Les recherches disciplinaires : pour Jacques Moret les recherches en didactique du français ou de l’histoire-géographie, par exemple, seront développées. L’ouverture à l’internationale. : l’INRP jouera une double carte. Celle de la proximité en développant des partenariats avec ses équivalents suisse (Genève, Neuchâtel) et allemand. L’INRP rayonnera aussi sur l’espace francophone.

« Mobiliser les 800 enseignants associés et le personnel de l’INRP est un grand défi« , affirme Jacques Moret. L’appui des deux ministères de tutelle, la perspective d’un nouveau projet et celle d’un contrat quadriennal en 2011 devrait ouvrir des perspectives à un organisme délaissé par de précédents ministres.

L’Etat, les personnes à risque et la grippe

« Dans l’Éducation nationale : aucune consigne n’a été donnée concernant les personnes à risque dans les établissements alors qu’il est évident que les personnels souffrant de maladie chronique ou les enseignantes enceintes, sont exposés à un risque certain… Il faut que le gouvernement prenne ses responsabilités et annonce des mesures pour les personnels en situation de risque » écrit le Sgen Cfdt.

Communiqué

Angleterre : Des résultats en baisse au primaire

Moins 1%. Le pourcentage d’élèves atteignant le niveau demandé en maths et anglais en primaire est passé de 73 à 72%, souligne la presse britannique. Cette information confirme une récente étude européenne qui montrait un recul général dans la plupart des pays développés.

BBC News

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Mortel Scooter

12% des adolescents âgés de 14 à 17 ans conduisent un cyclomoteur. 59% des victimes de la route sont justement des conducteurs de cyclomoteurs de cette tranche d’âge ! L’enquête de la Prévention Routière et de la Fédération Française des Sociétés d’assurance justifie le lancement d’une campagne vers ces jeunes afin de faire baisser ce taux catastrophique.

Elle montre également que les adolescents usagers des cyclomoteurs sont majoritairement des garçons, qu’ils vivent principalement en zone rurale ou dans une petite agglomération et qu’ils sont plus nombreux à suivre une scolarité professionnelle ou à être entrés dans la vie active plus tôt que les non-usagers.

Prévention Routière et Fédération Française des Sociétés d’assurance lancent un nouveau portail censé sensibiliser ces jeunes cyclomotoristes et leurs parents à la nécessité d’améliorer la sécurité des deux roues. Il présente des témoignages de jeunes accidentés, de leurs proches et de professionnels confrontés au quotidien aux accidents de cyclomotoristes et à leurs conséquences.

La Prévention Routière et les Assureurs proposent deux mesures pour améliorer la formation et la sécurité : une réforme du Brevet de Sécurité Routière (BSR) et la mise en place d’un contrôle technique des deux-roues motorisés. Pour eux, le BSR doit devenir un véritable permis de conduire avec un examen pratique et obligation d’assister à des séances d’information.

Mortel Scooter

AVS : Le MEN signe un accord avec Autisme France

Par cette convention, le ministère et l’association signataire décide d’assurer la continuité de l’accompagnement auprès des enfants autistes, en permettant aux auxiliaires de vie scolaire (AVS) arrivant en fin de contrat et étant dotés de compétences particulières de poursuivre leur mission auprès des enfants qui leur ont été confiés. Ces personnels pourront être recrutés par l’association signataire, qui percevra en retour une subvention de la part du ministère de l’Education nationale.

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Etablissements partenaires

Exposition « Vis-à-Vis » au lycée d’Alembert

Situé à Aubervilliers en Seine Saint Denis, le lycée d’Alembert a deux spécificités : il accueille 68,8% d’élèves issus de milieux défavorisés; son projet pédagogique est de développer la sensibilité artistique des élèves. Et pour cela il a ouvert, avec le soutien du Fonds régional d’art contemporain Ile de France , sa propre galerie d’arts. La création de cette galerie est l’occasion d’offrir à tous ces élèves des rencontres privilégiées avec des œuvres originales.

Du 30 novembre au 11 décembre, le lycée propose l’exposition « Vis-à-Vis », un terme qui renvoie au face-à-face, au dialogue, à la confrontation… Le lycée d’Alembert inaugure ainsi cette nouvelle rubrique qui fait connaître l’actualité des établissements partenaires du Café pédagogique.

L’exposition

Devenir établissement partenaire

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Elève, usager ou acteur ? Quelle vie scolaire pour les élèves ?

« L’élève en tant que tel est aussi devenu un sujet d’observation pour les chercheurs » rappelle l’INRP qui publie un copieux Dossier d’actualité sur le thème de l’élève et la vie scolaire . « Des monographies consacrées aux élèves sont apparues, nourrissant une sociologie de « l’expérience scolaire ». Les enquêtes interrogeant le « sentiment » des élèves sur leur vécu scolaire se sont également multipliées. Dans quel cadre la « vie scolaire » des élèves est-elle conçue et organisée ? Quelle place est-elle offerte à l’expression et à la participation des élèves et comment ces derniers s’impliquent-ils dans la vie des établissements ? Qu’est-ce qui motive les jeunes à se rendre à l’école, au-delà de la stricte obligation scolaire ? Comment perçoivent-ils la place qui leur est faite et les traitements qui leur sont réservés dans les établissements ? Quelles valeurs les élèves revendiquent-ils dans l’espace scolaire ? À quels apprentissages de la vie sociale les élèves se frottent-ils – se brûlent-ils, parfois – dans leurs rapports avec les personnels scolaires comme avec leurs pairs ? « 

Le dossier

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Citoyenneté

Le traité de Lisbonne entre en vigueur

Il instaure un président stable de l’Union européenne et une Haute représentante pour la politique étrangère. Il offre la possibilité de légiférer par pétition. Enfin le Parlement voit ses droits élargis. C’est bien une nouvelle étape pour l’Europe qui commence.

Communiqué

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Les disciplines

Journée de mobilisation pour l’Apses

De Palais Royal à République, l’Apses, principale association de professeurs de SES, manifeste le 2 décembre pour des horaires plus importants.

Apses

Anglais : Ne dites plus…

Ne parlez plus de dropping out ou de learning by doing. Une circulaire impose des mots nouveaux propres au vocabulaire de l’éducation.

Circulaire

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le Cafe

Les anciens Expresso ?

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