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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Les indicateurs des lycées sont parus

ÉDITORIAL

A quoi servent les indicateurs des lycées ?

LE SYSTEME

Le rapport Grosperrin veut faire évoluer le collège l Retraites : Les syndicats réagissent l Le bac 2009 l Le Café en pdf est sorti

L’ÉLÈVE

Des test anti-drogue en vente libre sur Internet l 13 000 jeunes handicapés en attente.

LA CLASSE

La culture accessible aux jeunes franciliens avec Tick’art l Le WIF lycéen

ETABLISSEMENT PARTENAIRE

Envie de savoirs 2010

LA RECHERCHE

Evaluations pour qui ? Pour quels usages ? Pour quelle finalité ?

LES DISCIPLINES

Le tremblement de terre du Qinghai. l L’insécurité dans l’habitat social.

Le fait du jour

Les indicateurs des lycées sont parus

Connaissez-vous le lycée du Sacré Cœur de Beaune ? Ou Saint-Joseph à Nay ? Selon que vous lisiez Le Figaro ou Le Monde, ce sont les deux meilleurs lycées de France. Cette année encore, le ministère de l’éducation nationale a publié ses « indicateurs de résultats des lycées ».

Le ministère publie trois indicateurs établis à partir des résultats des élèves à la session 2009 du baccalauréat et des données liées au déroulement de leur scolarité comme le taux de réussite au baccalauréat, le taux d’accès de seconde et de première au baccalauréat et la proportion de bacheliers parmi les sortants. Les familles oublient souvent les deux derniers, ne serait-ce que parce que le taux de réussite au bac est une donnée facile à comprendre.

« Ces indicateurs donnent des points de vue complémentaires sur les résultats des lycées. Ils proposent une appréciation relative de la valeur ajoutée de ces établissements, en tenant compte de leur offre de formation et des caractéristiques de leurs élèves en termes d’âge, d’origine sociale et de sexe », précise le ministère. Il délivre d’ailleurs une brochure de 14 pages qui explique comment sont calculés les indicateurs et comment les utiliser. Mais qui lit cette brochure particulièrement indigeste ? Le résultat final arrive médiatiquement dans les familles à travers la presse.

Pourtant la consultation des indicateurs montre que les établissements prestigieux apportent peu de plus value. Henri IV (Paris) a 100% de réussite au bac mais… c’est le taux attendu compte tenu de la composition sociale des élèves. Inversement, Gabriel Fauré, dans un quartier populaire du 13èle arrondissement, apporte une plus value de 8% à ses lycéens de ES, score qu’il n’arrive pas à atteindre en L ou en S.

Tout cela a au moins le mérite de rappeler trois choses importantes. Il y a un très important écart entre les établissements. Il est tellement grand que la France ne participe pas à cet aspect de l’enquête PISA…

Le taux de succès d’un lycée dépend fortement des caractéristiques sociologiques des élèves. Le taux de réussite au bac est de 90% pour les élèves dont les parents sont cadres, 86% pour les professions intermédiaires, 83% pour les employés et 76% pour des parents ouvriers. On observe également un fort écart entre sexes : 81% des garçons sont reçus contre 85% des filles. Ce taux cache en fait un écart trois fois plus grand : 70% des filles d’une génération seront bachelières contre 58% des garçons.

A données sociales égales, certains établissements s’en tirent mieux que d’autres. Autrement dit il n’y a pas une fatalité sociologique. Il y a aussi la part de l’efficacité pédagogique. Voilà une piste de travail qui mériterait plus d’attention à tous les niveaux, de la rue de Grenelle aux médias…

Comment choisir un « bon » lycée ?

Pour choisir son lycée, si on en a la possibilité, les taux de réussite au baccalauréat sont une précieuse information. Mais les études ministérielles sur les lycées montrent que ceux qui ont les meilleurs résultats sont aussi parfois ceux qui éliminent le plus d’élèves en cours de route …

Voilà un des aspects de la difficulté à s’orienter après la troisième. Le Café vous propose un dossier spécial qui va au-delà des indicateurs des lycées pour aborder l’orientation de fin de troisième, un moment crucial où va se jouer une part importante du destin scolaire de chaque jeune.

Retrouvez les taux de votre lycée

Le dossier S’orienter après la troisième

Comment choisir son lycée

Une analyse des choix des familles (A Van Zanten)

Les inégalités au bac

Le Monde : Pourquoi leurs lycées réussissent

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

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A quoi servent les indicateurs des lycées ?

D’après le ministère, « l’objectif des indicateurs de résultats des lycées est double : rendre compte des résultats du service public national d’éducation, fournir aux responsables et aux enseignants des lycées des éléments de réflexion pour les aider à améliorer l’efficacité de leurs actions ». Mais, en fait, tout le monde le sait, ces indicateurs servent d’abord, peut-être même seulement, aux familles qui les transforment, comme les médias les y invitent, en un irrésistible classement.

Un classement qui prend tout son sens au moment où la carte scolaire est « assouplie ». Les indicateurs mettent les lycées en concurrence et risquent d’alimenter les défections et la ghettoïsation. Encore sait-on mal quelles familles s’en emparent et comment elles les utilisent. Plus que les données, la rumeur locale doit aussi avoir sa part dans les choix des parents.

Enfin les travaux récents d’Agnes Van Zanten (Choisir son école, Le lien social, Puf,2009, 284 p), montrent que les parents ont leur propre critère de choix. « Certes, les évolutions du marché du travail ainsi que les modalités d’orientation dans le système scolaire poussent beaucoup de parents à se soucier particulièrement de la capacité des établissements à améliorer le « niveau » de leurs enfants » nous déclarait Agnès Van zanten. « Pourtant les parents des classes moyennes ne font pas que des choix « instrumentaux ». Ils font aussi des choix « expressifs », c’est-à-dire orientés vers le bien-être, le bonheur et le développement global de leur enfant, en procédant à des appariements entre les exigences des établissements publics et le profil scolaire et psychologique de leurs enfants, mais surtout en ayant recours à des établissements privés ».

Il manque donc un indicateur qui serait lui aussi bien utile aux familles : l’indicateur de bien-être au lycée. Quand on sait que la France est le pays de l’OCDE où les élèves se sentent le plus mal en classe, on ne peut qu’être attentif à cet aspect des choses.

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Le rapport Grosperrin veut faire évoluer le collège

Le rapport parlementaire sur « la mise en œuvre du socle commun de connaissances et de compétences au collège » présenté par le député Jacques Grosperrin veut donner au collège les moyens d’une réelle prise en compte du socle commun, c’est-à-dire tourner la page du « petit lycée ».

« Force est de constater qu’aujourd’hui le socle commun se fait encore attendre au collège » affirme d’emblée J Grosperrin. « En réalité, il suffirait de peu de choses pour que la réforme ambitieuse voulue par le législateur en 2005 ne « retombe » définitivement et replonge ainsi le collège dans ses difficultés », note-t-il encore. « C’est le principal constat établi par la mission : la position du socle commun au collège est fragile alors que cette nouvelle approche de l’instruction avait pour vocation de rénover ce niveau d’enseignement ».

Difficile d’évaluer le niveau de maîtrise du socle, faute de statistiques fiables. Mais plusieurs études estiment qu’environ 15% des collégiens ne maitrisent pas la compréhension de l’écrit. Ce pourcentage tendrait à augmenter. A cela J Grosperrin voit plusieurs facteurs. Et d’abord, dans sa représentation même. Il reprend une formule du sociologue F Dubet : « le collège est un lieu improbable dont l’imaginaire est celui du lycée bourgeois alors qu’il accueille les classes du certificat d’études… Ainsi que le souligne M. Jean-Paul Delahaye, inspecteur général de l’éducation nationale, on fait constater à une partie des collégiens, ce qu’ils font d’ailleurs très vite, que le collège qui les accueille n’a pas été pensé pour eux ». De plus le collège manque de moyens. Il tend à éclater les élèves en des structures séparées (par exemple les classes DP 6). Quant aux « programmes personnalisés de réussite éducative », ils seraient « en perdition ». Pour J Grosperrin, la réforme a été « peu accompagnée par le ministère », ce qui est peu dire : le Café se souvient que le jour même de l’installation du Haut Conseil de l’Education, censé veiller à l’application de la loi de 2005, le ministre Robien annonçait l’ouverture d’une structure scolaire dérogatoire au socle commun… Les programmes eux-mêmes intégreraient peu le socle commun.

Un diplôme national du brevet « baroque ». Analysant les conditions de délivrance du brevet, J Grosperrin trouve que la version est « bien béquillarde » tant le diplôme prend en compte des logiques différentes. « Ce nouveau « DNB » organise la « cohabitation » – plus qu’improbable – de deux formes d’évaluation a priori opposées et inconciliables : d’une part, l’évaluation traditionnelle, chiffrée, par le biais du contrôle continu et des épreuves du brevet, des savoirs disciplinaires et d’autre part, l’évaluation binaire, propre au socle commun, qui indique si chacune des sept compétences est validée ou non. Ce choix est à l’évidence absurde ». Pour lui, « on peut être dubitatif sur la conformité de ce « bricolage » avec la loi du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école. L’article L. 332-6 du code de l’éducation, modifié par cette loi, dispose en effet que le diplôme national du brevet « atteste la maîtrise des connaissances et des compétences » du socle commun. Attester, c’est certifier, témoigner d’une réalité, celle des acquis d’un élève. Or le compromis précité remet en cause la valeur de cette attestation, voulue par le législateur ».

L’incompréhension des enseignants. Se basant sur une étude de l’INRP, le rapport estime que les enseignants ne se sont pas appropriés le socle. Surtout, « le socle commun est souvent mal ou peu compris tant d’un point de vue « culturel » que disciplinaire, l’attestation qui doit le valider semblant cristalliser les réticences, voire la méfiance des enseignants… Pour de nombreux enseignants », continue J Grosperrin, « l’attestation de la maîtrise du socle commun conduirait à altérer le travail d’évaluation, ainsi que la relation élève-professeur. Pour reprendre une expression très imagée entendue au Collège Françoise Dolto de Paris, le cochage des cases de validation des sous-compétences transformerait les équipes enseignantes en « poinçonneurs des Lilas ». Ce document a été même qualifié dans cet établissement « d’attestation Mc Gyver », ce qui en dit long sur son image dans la communauté enseignante ».

Des propositions ambitieuses. Pour faire entrer le socle commun dans le collège, Jacques Grosperrin fait des propositions très ambitieuses qui visent à toucher à la fois les programmes, la gestion des établissements et les pratiques pédagogiques et les missions des enseignants.

Concernant les programmes, J Grosperrin demande à ce que « les programmes fassent plus clairement référence aux savoirs et savoir faire reconnus par le socle commun ». Pour lui cela passe par une approche interdisciplinaire des programmes. « Il serait souhaitable, qu’à l’image des programmes des disciplines scientifiques enseignées au collège (mathématiques, physique-chimie, sciences de la vie et de la terre et technologie), ceux de lettres, de langues vivantes étrangères et d’histoire-géographie-éducation civique mettent en avant quelques thèmes de convergence auxquels contribuerait chacune de ces matières. À terme, il faudrait encourager un enseignement « intégré » des disciplines scientifiques, d’une part, et des disciplines dites culturelles, d’autre part ». Evidemment cela conduirait à un nouveau brevet évaluant réellement le socle commun et rien d’autre.

Le pilotage des établissements doit devenir « plus incitatif« . Il préconise que 10 à 20% des dotations horaires ne soient plus affectées nationalement mais soient gérées localement. « En leur attribuant une souplesse de gestion sur un certain pourcentage de leur grille horaire, ces établissements pourraient ainsi dissocier l’horaire/professeur de l’horaire/élève et « ajuster » au mieux leur organisation pédagogique aux besoins de leurs élèves ». J Grosperrin se plaît à imaginer également une réforme de l’inspection, pour qu’elle accompagne les équipes.

Une autre pédagogie. Mais la réponse essentielle est bien sur à chercher dans des évolutions pédagogiques. Pour cela, J Grosperrin demande que les enseignants soeint formés au socle commun. Les pratiques de l’enseignement devraient s’inspirer davantage du primaire. « Savoir gérer une classe hétérogène comme dans le primaire, cela s’apprend. C’est ce que M. Antoine Prost, historien, appelle « faire classe », une compétence qui ne dépend pas d’un niveau de recrutement à Bac + 5 ou à Bac + 50, car un professeur des écoles sait – lui – parfaitement travailler avec des élèves de niveaux différents en CM2. En effet, le savoir-faire de l’enseignant du primaire est organisé autour du travail de l’élève, c’est-à-dire de tâches à accomplir dans la classe, en petits groupes. À l’inverse, dans le secondaire, l’enseignement est centré sur le faire cours ». Le rapport demande donc logiquement de « primariser » également le statut des enseignants des collèges. D’une part en encourageant la bivalence, d’autre part en allongeant le temps de présence des enseignants dans l’établissement quitte à diminuer le temps d’enseignement. C’est l’exemple du collège Clisthène qui est mis en avant : 12h de cours, 12h « d’éducation » (soit 4 h de tutorat, 2 de réunions etc.), au total 24 heures hebdomadaires. J Grosperrin demande aussi « une autre évaluation », inspirée de l’évaluation basée sur la confiance développée par André Antibi.

Au final, le rapport retient 17 propositions qui dessinent un collège bien différent du collège actuel. Pour connaître un début de réalisations, ces recommandations demanderaient une autre situation budgétaire et politique. Depuis des années, les enseignants des collèges « encaissent » à la fois une situation difficile et une baisse constante de leurs moyens. Comment leur redonner confiance pour accompagner des changements significatifs ? Le rapport ne le dit pas…

Le rapport

Retraites : Les syndicats réagissent

« Comment imaginer une augmentation de la durée de cotisations ou un report de l’âge de départ pour les professeurs des écoles? », écrit le Snuipp. « Ils débutent à l’âge moyen de 27 ans: cela conduirait les enseignants des écoles à poursuivre leur activité jusqu’à l’âge de 67, 68, 69… 70 ans avec des élèves âgés de …. 2 à 10 ans ! » Le syndicat réagit à la publication du rapport du Conseil d’Orientation des Retraites (COR) et « demande au gouvernement de prendre la mesure des aspirations des personnels à ce que l’âge légal de départ en retraite soit maintenu à 60 ans et à 55 ans pour les instituteurs, comme le gouvernement s’y était engagé en 2003″.

La FSU estime que le besoin de financement présenté dans le rapport « tient à un mode de calcul arbitraire » et que « en remettant ces besoins de financement à leur juste place, il est parfaitement envisageable d’actionner le troisième levier : augmenter les ressources ». C’est-à-dire faire payer les revenus du capital.

Communiqué

Le bac 2009

Une Note d’information ministérielle publie les résultats définitifs du bac 2009. « Avec 625 700 candidats et 539 100 lauréats, le taux de réussite à la session 2009 s’élève à 86,2%. Les effectifs des bacheliers, comme ceux des candidats, ont augmenté par rapport à 2008 dans les voies générale et professionnelle, et ont diminué dans la voie technologique. La proportion de bacheliers dans une génération augmente de 3,2 points par rapport à l’an passé. En 2009, 65,6% des jeunes d’une génération obtiennent le baccalauréat : 35,1 % dans une série générale, 16,0 % dans une série technologique, 14,5 dans une une série professionnelle. La hausse du taux de réussite est due, en grande partie, au baccalauréat professionnel. En effet, avec la mise en place à la session 2009 d’épreuves de rattrapage, le taux de réussite au baccalauréat professionnel atteint 86,4%, soit une hausse de 10,3 points par rapport à 2008. Dans la voie générale, le taux de réussite augmente légèrement (+ 1 point par rapport à 2008) et s’élève ainsi à 88,9 %, niveau jamais atteint au cours des années précédentes. Dans la voie technologique, le nombre de lauréats a baissé plus fortement que le nombre de candidats, entraînant ainsi une diminution du taux de réussite de 0,5 point (79,8 %contre 80,3 %en 2008) ».

Mais la Note montre aussi l’importance du fossé entre les garçons et les filles et entre les régions.

Note d’information

Le Café en pdf est sorti

Le numéro 111 du Café mensuel en version pdf est disponible (ainsi d’ailleurs que le 110). Ces versions pdf sont réservées aux adhérents de l’association du Café. Rappelons qu’un numéro du mensuel c’est environ 300 pages illustrées qui racontent un mois de l’histoire de l’école et partagent des centaines de bonnes adresses dans toutes les disciplines.

Télécharger l’affiche du numéro 111

Pour adhérer

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Des test anti-drogue en vente libre sur Internet

« Totalement décomplexée et très pratiquée dans les pays anglo-saxons, la prévention active consiste à contrôler régulièrement que la règle est respectée en utilisant des tests rapides de dépistage à domicile, complètement anonymes, sans fiche d’identité à remplir dans un laboratoire. Car en effet, à quoi sert un interdit si personne ne contrôle qu’il est respecté ? » C’est ainsi que sont présentés les tests de dépistage des différentes drogues, vendus aux particuliers sur Internet à partir de 3 euros.

L’entreprise Narcocheck s’ouvre ainsi un débouché sans doute prometteur. Les tests ne passent pas inaperçus (ce sont des tests salivaires ou urinaires). Mais l’industriel a aussi un test sur « surface » indécelable… Ce qu’il ne dit pas c’est comment agir quand le test est positif et qu’on a perdu la confiance de son enfant…

Narcocheck

13 000 jeunes handicapés en attente

Selon le Snuipp, qui reprend une étude du CNSA, 13 000 jeunes de moins de 20 ans sont sur liste d’attente pour être accueillis en établissement spécialisé.

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La classe

La culture accessible aux jeunes franciliens avec Tick’art

Tick’art permet de faire découvrir aux jeunes franciliens l’offre culturelle de la Région grâce des tickets individuels à prix modique depuis 2002. Le dispositif évolue et propose désormais aux enseignants qui le souhaitent un important volet d’accompagnement pédagogique. Encore mal connue et trop peu exploitée, c’est une ressource précieuse pour votre classe et ses projets culturels.

Le reportage du Café

Le WIF lycéen

« Born in Limousin », le WIF, Festival international du webdesign, s’ouvre aux lycéens. Il s’agit d’une compétition de création de site web, en équipe, ouvert à tous les lycéens du Limousin. On peut s’inscrire jusqu’au 3 mai pour participer à ce concours qui vise à dessiner « le lycée numérique de demain ».

Le Wif lycéen

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Etablissement partenaire

Envie de savoirs 2010

Dans le cadre de la liaison lycée–université, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne–UPEC organise pour la troisième édition, du 3 au 6 mai 2010, l’opération « Envie de Savoirs » destinée aux lycées partenaires ou futurs partenaires.

Il s’agit de proposer à des classes de seconde et de première des lycées, d’assister à des conférences, adaptées à leurs niveaux et présentées par des enseignants chercheurs de l’université. Les thèmes de cette année, Tombouctou et l’Afrique de l’ouest vers 1500, les enjeux des nanotechnologies, « Du rustre à l’honnête homme », « de la chimie aux mathématiques », « les animaux et l’homme » et bien d’autres …

L’UPEC propose aussi dans ce cycle de conférences, des interventions pour les classes de première, sur l’offre de formation dans le cadre du programme de découverte des métiers et des formations. Cette présentation sera suivie d’une visite découverte de l’université et de la possibilité d’un repas au Restaurant Universitaire

Inscrivez-vous en ligne dès maintenant à partir du formulaire en ligne

Le programme

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Evaluations pour qui ? Pour quels usages ? Pour quelle finalité ?

Mercredi 28 avril, à Lyon, le Snuipp organise un colloque dédié à l’évaluation. « A quoi les évaluations doivent-elles servir ? Les enseignants ont-ils davantage besoin d’évaluations diagnostiques ou de bilans pour faire réussir tous les élèves ? Par quels outils les élèves et les familles sont-ils le mieux renseignés sur les progrès ou les difficultés de l’enfant ? Au delà de sa consigne, le SNUipp invite la recherche pour y voir plus clair ! » La réflexion sera nourrie par les interventions de chercheurs : Jean-Claude Emin, Roger Establet, Anne-Marie Chartier.

Communiqué

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Les disciplines

Le tremblement de terre du Qinghai.

Un séisme de 6,9 sur l’échelle de Richter a fait environ 300 morts mercredi 14 avril 2010 et plus de 8.000 blessés dans la province du Qinghai, dans le sud-ouest de la Chine, rapportent des médias chinois. Fabien Crégut propose un dossier spécial sur l’événement avec les documents permettant de comprendre ce phénomène.

Sur Mon année au collège

L’insécurité dans l’habitat social

Qu’en est –il de la réalité et sentiment d’insécurité dans les quartiers d »habitat social ? L’IAURIF a réalisé une enquête de victimation qui montre que « les Franciliens logés dans le parc social ne sont pas plus victimes, mais ils ne sont pas pour autant confrontés aux mêmes atteintes que les autres ». Ils sont plus sujets à la violence commis epar un proche, aux dégradations de véhicules, aux vols à la roulotte. Le sentiment d’insécurité rste fort.

Note

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le Cafe

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