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Par François Jarraud et Jeanne-Claire Fumet

Les programmes des concours 2011 du secondaire

Agrégation, Capes, Capet, CaPLP, Cop, Cpe : tous les programmes des concours 2011 viennent de paraître au B.O. spécial n°7.

Le B.O. fixe précisément les programmes de toutes les disciplines du secondaire et des épreuves des conseillers d’orientation psychologue (Cop) et des conseillers principaux d’éducation (Cpe). Rappelons que la date limite d’inscription est le 20 juillet . Le calendrier des épreuves est paru au Journal officiel du 6 juillet. Pour le Capes, les épreuves d’admissibilité auront lieu du mardi 9 au mercredi 24 novembre 2010, pour l’interne le mardi 1er février 2011 ; pour le Capet ce sera le jeudi 4 et le vendredi 5 novembre 2010, à l’exception des épreuves de la section arts appliqués qui auront lieu le jeudi 25 et le vendredi 26 novembre 2010 pour l’externe, le 3 février pour l’interne; pour le CaPLP les épreuves du concours externe auront lieu le jeudi 25 et le vendredi 26 novembre 2010 et le concours interne le mercredi 2 et le jeudi 3 février 2011. Les épreuves d’admissibilité du concours de Cpe auront lieu pour l’externe le mardi 2 et le mercredi 3 novembre 2010 ; pour l’interne le lundi 31 janvier 2011.

Au B.O.

http://www.education.gouv.fr/pid24222/special-n-7-du-8-juillet-2010.html

Un rapport explosif

La publication d’un rapport de l’Inspection générale dresse le portrait d’une discipline aux abois.

Le Monde, sous la plume de Marc Dupuis, rend compte de la publication par l’Acireph, une association de professeurs de philosophie, d’un rapport resté confidentiel de l’Inspection générale sur « l’état de l’enseignement de la philosophie ».

Sous une avalanche de formules flatteuses, (« cet enseignement n’aura jamais été de meilleure qualité »), le rapport dresse le portrait terrible d’une discipline qui est en échec et en passe d’être reléguée.  » L’enseignement philosophique se trouve ainsi à la croisée des chemins. Vraisemblablement il se perdra si, en son attachement à une imago de lui-même, il refuse de changer sa manière d’être, c’est-à-dire sa manière d’enseigner » conclue Jean-Louis Poirier.

L’Inspection établit que la notation au bac est sans rapport avec les efforts des élèves. «  L’examen de la distribution des notes montre qu’une proportion excessive de candidats continue à se situer au dessous de la moyenne, par quoi il est clair que la philosophie, dont l’histogramme accuse un décalage sensible avec celui des autres disciplines, fonctionne à la façon d’une “discipline-couperet” : elle ne contribue guère à recevoir beaucoup de candidats, mais elle en fait refuser un nombre considérable… Au bout du compte la philosophie contribue à l’effondrement de la filière L.

JL Poirier ouvre en conclusion des perspectives d’avenir. L’enseignement de la philo » a aujourd’hui, maintenant que la plus grande partie des jeunes doit accéder au lycée, à relever le défi d’un tel élargissement, et il en est tout-à-fait capable. Quelles que soient les difficultés qui en ont résulté, l’extension aux séries technologiques, dans les années 80, allait dans ce sens, et c’est pour quoi il faut s’attacher plus que jamais à venir à bout des difficultés qui affectent l’enseignement de la philosophie dans cette voie. C’est pour les mêmes raisons, également, qu’il faut sans doute réussir aujourd’hui l’entrée en 1ère ».

Ce sont ces perspectives qui rapprochent l’Acireph de ce rapport. Pour l’Acireph, ce dernier « pratique le principe de double écriture », à vrai dire un art où excelle l’Inspection… »D’un coté il tient des propos suffisamment rassurants pour les acteurs, de l’autre il en pointe des difficultés. Pour l’Acireph, ce rapport « devrait obliger toutes les parties concernées à se prononcer sur le constat ».

En mars 2010, le Café avait interrogé Cécile Victorri, présidente de l’ACIREPH. Elle avait plaidé pour un renouveau de la philosophie.  » Les difficultés auxquelles se heurtent aujourd’hui beaucoup d’enseignants ne sont pas le fruit du hasard. Lors de récentes journées d’études, nous avons travaillé par exemple sur le problème très déstabilisant de l’évaluation des copies, qui ne correspondent pas aux exigences académiques. A quoi rime d’évaluer des travaux d’élèves sur des modèles qu’ils ne peuvent pas réaliser ? Il y a un enjeu fondamental à réussir la démocratisation de notre enseignement, qui n’est pas accomplie. Il faut s’adapter à la population qui fait notre public, sans niveler les exigences, mais en reprenant les méthodes, les moyens de l’enseignement, de sorte que la réussite ne dépende pas de circonstances accidentelles (talent personnel du professeur ou de l’élève, milieu social ou culturel, etc.) plutôt que de conditions institutionnelles ». La publication des notes de philosophie au bac va probablement appuyer ces réflexions…

Article du MOnde

http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/07/05/le-rapport-sur[…]

Le rapport

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Documents/docsjoints/e[…]

Dans le Café

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/lettres[…]

Le bulletin de mai d el’Acireph

http://www.acireph.org/Files/2010_05_bull_44.pdf

Rapport sur l’enseignement de la philosophie en lycée professionnel

http://www.education.gouv.fr/cid5101/l-enseignement-[…]

L’Acireph veut faire évoluer l’enseignement de la philosophie

Par Jeanne-Claire Fumet

L’ACIREPH (Association pour la Création d’Instituts de Recherche sur l’Enseignement de la Philosophie) est réputée pour ses propositions énergiques en matière de réforme de l’enseignement de la philosophie. A l’occasion de l’actuelle réforme des lycées, l’association a manifesté son mécontentement au sujet de l’absence de changements significatifs dans cette discipline. Pourquoi la philosophie serait-elle seule immuable, alors qu’elle souffre cruellement de son inadaptation aux mutations de l’école contemporaine ? Cécile Victorri, présidente de l’ACIREPH, répond à nos questions.

Quelle est la place de l’ACIREPH dans le monde de la philosophie scolaire ?

Nous sommes une association d’enseignants de philosophie (IUFM, universités, lycées) rassemblés depuis une douzaine d’années autour de la question de l’évolution de la pédagogie et des pratiques. Le phénomène bien connu de la massification ne nous permet plus d’exercer dans la posture magistrale d’Alain, devant sa classe de Philosophie du début du siècle ; mais d’autres modèles s’élaborent dans la réalité des pratiques, sans la moindre reconnaissance officielle de la part de l’institution.

A l’origine, notre objectif était d’obtenir la création d’IREPH (Instituts de recherches pour l’enseignement de la philosophie) sur le modèle des IREM en mathématiques, pour permettre aux professeurs d’échanger leurs pratiques et de faire avancer ensemble la pédagogie de la philosophie. Mais l’institution ne répond pas à nos propositions. Les blocages sont plus profonds qu’on n’aurait pu le penser, il y a dans notre profession des crispations radicales contre toute tentative de réforme ou d’évolution.

Est-il vraiment nécessaire de bouleverser l’enseignement de la philosophie ?

Les difficultés auxquelles se heurtent aujourd’hui beaucoup d’enseignants ne sont pas le fruit du hasard. Lors de récentes journées d’études, nous avons travaillé par exemple sur le problème très déstabilisant de l’évaluation des copies, qui ne correspondent pas aux exigences académiques. A quoi rime d’évaluer des travaux d’élèves sur des modèles qu’ils ne peuvent pas réaliser ? Il y a un enjeu fondamental à réussir la démocratisation de notre enseignement, qui n’est pas accomplie. Il faut s’adapter à la population qui fait notre public, sans niveler les exigences, mais en reprenant les méthodes, les moyens de l’enseignement, de sorte que la réussite ne dépende pas de circonstances accidentelles (talent personnel du professeur ou de l’élève, milieu social ou culturel, etc.) plutôt que de conditions institutionnelles.

Nous travaillons actuellement sur la question de la progressivité, qui permettrait aux élèves de mieux s’approprier l’enseignement qu’ils reçoivent, avec une répartition du programme sur 2 voire 3 années, comme cela se fait déjà dans d’autres pays européens. La réflexion doit aussi résoudre ce qui est une évidence dans les autres disciplines : comment évaluer ce qu’on enseigne vraiment ? Les actuels programmes et les sujets du bac rendent impossible, à notre avis, une évaluation équilibrée. Les candidats ne sont pas jugés sur des compétences et des connaissances qu’on leur enseigne, mais sur des capacités qu’on ne leur apprend pas. C’est d’ailleurs là notre point de désaccord historique avec une partie de la profession : nous refusons de dissimuler ce problème majeur.

Pourtant, dissertation et explication de textes sont travaillées en classe toute l’année…

Elles sont travaillées la plupart du temps à travers des médiations et des exercices préparatoires beaucoup plus précis et efficaces. La « doctrine officieuse » de l’institution soutient qu’un enseignement de la philosophie est en lui-même philosophique et suffirait pour insuffler à l’élève le sens du penser philosophique ; il suffirait de réaliser devant eux la démarche d’élaboration de la pensée pour que ce modèle les forme. Résultat : la plupart des attendus demeurent implicites et ce qui peut fonctionner par le jeu d’une sorte de connivence socio-culturelle avec certains élèves laisse la plupart d’entre eux complètement démunis.

De même pour les connaissances à acquérir : le programme actuel de notions ne permet pas de dire ce que l’élève doit savoir ou non. L’indétermination des programmes fait qu’aucune connaissance n’est exigible par principe. Toutes les disciplines demandent une certaine souplesse dans la mobilisation des savoirs ; mais elles enseignent explicitement ces savoirs et les manières de les exploiter.

En philosophie, les compétences demandées sont d’une difficulté considérable : les sujets présupposent des connaissances dont il n’est pas possible de savoir si l’élève a eu l’occasion de les acquérir au cours de l’année. On omet cette difficulté, comme s’il suffisait de mettre en œuvre des outils d’analyse méthodologique (censés être intégrés au bout d’une seule année d’étude) pour comprendre une question ou un texte enracinés dans la tradition philosophique.

Quel genre de programme et d’exercices d’évaluation préconiserez-vous ?

Nous n’avons pas de solutions alternatives toutes faites. Les positions sont d’ailleurs très diverses au sein de l’ACIREPH. Une chose est certaine : si on veut résoudre le problème de l’indigence des copies, sans se réfugier derrière l’idée de la faiblesse des élèves, de leur manque de maturité ou de culture, il faut s’interroger aussi sur les insuffisances de l’enseignement. Il faut une adéquation entre ce qu’on enseigne et ce qu’on évalue. Il ne s’agit pas de renoncer aux formes traditionnelles d’exercices, mais d’en aménager l’approche méthodique pour les rendre accessibles à la majorité des élèves.

Parmi les réformes proposées ces dernières années, celle d’Alain Renaut (1) , nous convenait assez sur la forme : un programme de questions, qui permet de préciser le champ d’étude sans entraver la liberté du professeur, qui peut être régulièrement renouvelé et, pourquoi pas ?, assorti d’un programme d’œuvres à étudier. Au moins l’élève pourrait se saisir de repères communs sur lesquels il serait évalué.

Les notions cadres et les repères conceptuels du programme actuel prétendent aller dans ce sens, mais ce sont de fausses déterminations. La subordination des notions n’est pas prise en compte dans la formulation des sujets du bac ; quant aux repères, ils sont de natures très différentes : « croire et savoir », par exemple, sont des notions par elles-mêmes, d’autres constituent des problèmes spécifiques dans leur rapprochement ou leur opposition.

N’est-ce pas une discipline par elle-même trop difficile pour nombre d’élèves, en particulier dans les séries technologiques ?

Il serait plus juste de remarquer que la difficulté d’enseigner dans les classes technologiques est pour nous un formidable révélateur de ce qui ne fonctionne pas dans les séries générales. Cela nous oblige à inventer toutes sortes de solutions qui sont autant de pistes à exploiter ensuite dans les autres classes. Il faudrait surtout cesser de penser l’enseignement en STG comme une copie allégée de ce que l’on fait dans les autres séries, et s’appuyer au contraire sur ce qui marche dans ces séries pour revoir l’ensemble de nos pratiques.

La réforme des lycées aurait pu être l’occasion de changements fructueux pour les élèves, comme la répartition des cours sur plusieurs années, avec une progressivité cohérente, en particulier en pour la série littéraire avec un étalement des 8h sur deux ans (2h en Première puis 6h en Terminale). De même, la philosophie aurait pu entrer dans les nouveaux enseignements d’exploration en seconde. Des expériences sont menées en ce sens dans nombre d’établissements, mais sans décision institutionnelle, il n’est pas possible de mettre en place une organisation pérenne. Il faut reconnaître que cela supposerait de renoncer à l’image « initiatique » de la philosophie, découverte en dernière année avec un professeur unique…

L’ACIREPH reçoit-elle un large écho dans la profession ?

A l’heure actuelle, nous comptons environ 150 adhérents. Nous organisons des journées d’études qui donnent lieu à des publications, nous diffusons nos appels à contribuer à la réflexion partagée. Mais force est de constater que la mobilisation est difficile. Les collègues sont souvent découragés par les réunions et les consultations sans suite qui ont jalonné les tentatives de réforme de ces dernières années. Ils n’ont pas toujours la disponibilité pour s’impliquer, pris dans la lourdeur du quotidien au sein des établissements. Et puis il faut reconnaître que la discussion sur ces sujets n’est pas toujours aisée ; les positions sont fortement ancrées et les anathèmes sont vite lancés. Il y a encore un très gros travail à faire, pour faire connaître et comprendre nos propositions ; mais nous espérons que d’autres collègues viendront se joindre à nos efforts.

Entretien : Jeanne-Claire Fumet

Note :

(1) BO n°28 du 12 juillet 2001

Côté Philo – Le journal de l’enseignement de la philosophie.

La revue annuelle de l’ACIREPH publie des dossiers sur des questions actuelles en lien avec les problèmes fondamentaux de la philosophie.

Au sommaire du n°13 (juin2009)

Dossier complet sur les droits des animaux : conférence d’E. Utrilla, suivi de textes philosophiques choisis ; conférence sur l’état de la bioéthique en Europe ; fiches pédagogiques utilisables en classe sur le devenir des embryons surnuméraires. A lire également, un article de C. Vitorri sur l’enseignement de la philosophie en série technologique.

A télécharger sur le site de l’ACIREPH :

http://www.acireph.org/

Lecture : Histoire de la philosophie

Tracer en un seul volume les grands traits de l’histoire de la philosophie, sans sacrifier la rigueur à la brièveté ni la précision à l’amplitude, tout en restant lisible par le néophyte, tel est l’intenable pari lancé par J-F Pradeau à travers cette Histoire de la philosophie d’un genre nouveau.

L’originalité de l’ouvrage consiste à intercaler des articles synthétiques d’histoire des idées entre les notices consacrées aux principaux philosophes. Idée fructueuse, qui permet un parcours en trois dimensions : les doctrines exposées selon l’ordre de l’œuvre de leur auteur réapparaissent à différentes reprises, dans leurs relations réciproques au sein de problématiques plus vastes, sans rien perdre du saillant de leur originalité initiale.

Car les auteurs ne cèdent pas à tentation du lissage linéaire qui classerait chaque objet en son temps et son lieu, pour en simplifier l’appropriation : la démarche philosophique survit difficilement à la taxinomie. Au contraire, la diversité des contributeurs et le parti-pris d’approches résolument personnelles, sous la double contrainte de la brièveté et de la lisibilité, interdit une telle réification de la pensée. Les synthèses historiennes s’attachent à restituer l’esprit d’un mouvement plutôt que de fournir un bilan : ainsi La science de la nature humaine par F. Brahami, brosse de Montaigne à Kant l’émergence problématique d’un ego se fragilisant au fil de sa construction et se réalisant dans un volontarisme croissant; ou encore L’âme mise à nu par J-M. Vaysse, trame l’envers de la subjectivité moderne dans l’entrelacs de la réminiscence platonicienne et de la psychè freudienne, traversant les instanciations de l’âme depuis la théologie jusqu’au positivisme, vers un horizon encore inconnu.

La dernière partie de l’ouvrage offre un abrégé passionnant des modifications profondes de la réflexion philosophique nécessitées par l’évolution des paradigmes scientifiques – qu’elle engendre et formule dans sa dimension épistémologique. On aperçoit ainsi comment les catégories traditionnelles de l’anthropologie naturaliste sont bouleversées par les avancées de la biologie (en particulier par la crise de la notion biologique d’individualité), les neurosciences aiguisent la question d’une possible identité entre esprit et cerveau, la physique contemporaine disqualifie la majeure partie des catégories modernes pour ouvrir un champ métaphysique inédit, les mathématiques se retirent du monde en attente de la ré-assignation d’un sens aux objets dont elles traitent.

Tous ces rappels aux tâches passées et actuelles de la philosophie sont autant d’occasions de convoquer les grandes figures absentes de la liste des articles ; car c’est le prix inévitable de la brièveté de cette somme mesurée au plus juste, de ne pas s’encombrer d’exhaustivité. La gageure de ne pas sacrifier les références « mineures » est cependant remportée : on les retrouve en filigrane au long des articles transversaux. Autre choix assumé, celui de renoncer à expliquer longuement ce qu’on suppose connu d’un lecteur informé. L’ouvrage y gagne beaucoup en séduction, mais risque de le rendre parfois inaccessible au vrai débutant, qui se sentira étranger aux implicites qui sous-tendent la plupart des questions.

Difficile pour le néophyte, cette Histoire n’en présente pas moins une riche matière pour les autres lecteurs : la plupart des questions étudiées en classe de philosophie peuvent y puiser une matière riche et renouvelée. On s’apercevra ainsi que des problématiques que l’on croit épuisées parce qu’on n’en voit plus le ressort interne, gardent toute leur actualité lorsqu’on les pense à nouveaux frais.

Jeanne-Claire Fumet

Histoire de la philosophie, sous la direction de Jean-François Pradeau, Le Seuil Collection Sciences humaines., 2009, 795 p.

Ressources

Textes Philo 6

Textes philo 6 est une base de données de textes philosophiques, qui joue le même rôle qu’un recueil de textes classiques, mais également qu’un manuel de cours, le côté pratique de l’informatique en plus, avec possibilité de prendre des notes, d’opérer des tris rapides de textes, selon tous les critères possibles (par auteur, par thème, etc.). Ce magnifique logiciel, offert par Pierre Hidalgo, webmestre du site grenoblois, tourne sur PC et Mac OS X.

http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/articles.php?lng=fr&pg=433

Philosophies TV

 » A une époque où de la Philosophie, il n’est fait mention que pour en faire une forme vague de sagesse qui n’engage à rien, un discours intellectuel désincarné, ou un jeu scolaire, lui redonner sa place est essentiel. A une époque où tout doit être évoqué en quelques minutes, la nécessité de retrouver la possibilité d’une parole qui prenne son temps pour ouvrir un chemin s’impose ». C’est pour répondre à ces ambitions que des professeurs de philosophie ont créé « Philosophies TV », une web TV qui propose des cours et, gratuitement, des documentaires vidéos sur les grand sphilosophes. Par exemple, Edgar Morin évoquant la crise et la mondialisation.

http://philosophies.tv/

Le Guide du bac 2010

Comment récupérer des cours ? Comment s’entraîner ? Où trouver de l’aide ? Le Guide du bac 2010 du Café pédagogique apporte des informations précieuses pour se préparer à l’épreuve.

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2010/bb_[…]