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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Plus qu’une journée pour préparer la Journée de la femme…

ÉDITORIAL

2012 = 2002 ?

LE SYSTEME

Pas d’éducation, pas d’avenir l Entretien de carrière : Une mutation considérable estiment des inspecteurs l Une mission sur la scolarisation des enfants handicapés l L’Institut publie les discours des académies sur l’école l Bac pro : Dispense de langues.

L’ÉLÈVE

Après le Bac S l Devinez-moi ! l Le Guide APB

LA CLASSE

Le théâtre contre la perte de soi l Résonances : Les troubles Dys l Twitter sur les bacs de l’école!

PARTENAIRES

Portes ouvertes à Paris 12 l Portes ouvertes à Teilhard-de-Chardin

LA RECHERCHE

Violences à l’école …

CITOYENNETE

Festival international du film des droits de l’homme de Paris

LES DISCIPLINES

S.E.S. : La notation financière l Les inégalités de revenu à Strasbourg l Festival Sidérations

Le fait du jour

Plus qu’une journée pour préparer la Journée de la femme

A la veille du 8 mars il faut le souligner : bien loin de la parité, le monde éducatif est coupé par une fracture sexuée qui commence à la maison et finit à l’Ecole. S’il y a bien une Journée qui concerne l’Ecole, c’est bien celle des Femmes.

Tout commence à la maison. Selon une récente étude de l’OCDE, les mères passent deux fois plus d e temps à s’occuper des enfants que les pères. Prenons le cas de la France. Le père qui travaille consacre en moyenne 26 minutes à s’occuper de ses enfants contre 62 minutes pour la mère. Les moyennes de l’OCDE sont de 40 et 74 minutes avec des extrêmes importants : 8 minutes en Afrique du Sud pour monsieur contre 69 en Irlande et 62 aux Etats-Unis. Quand la mère ne travaille pas, elle consacre nettement plus de temps à ses enfants (114 minutes e France, 144 dans l’OCDE). C’est beaucoup moins vrai pour le père (48 et 51). Les hommes passent également moitié moins de temps aux tâches ménagères que les femmes. En France un peu plus de 100 minutes par jour contre plus de 200.

A l’école, les filles réussissent mieux que les garçons. Quelque soit le niveau scolaire, les résultats des filles dépassent ceux des garçons. C’est le cas dès le primaire où les filles comptent 70% de lecteurs efficaces contre 60% chez les garçons. Cet écart se retrouve au collège : 85% des filles ont leur brevet contre 79% des garçons. Il se creuse au bac : 70% des filles l’obtiennent contre 59% des garçons (41 et 28% pour le bac général). En fin de parcours, 47% des filles obtiendront un diplôme du supérieur contre 37% des garçons. Ajoutons que, quelque soit le milieu social, les filles redoublent toujours moins que les garçons. Comme a pu le dire J.-L. Auduc dans un article publié par le Café,  » Toutes ces statistiques montrent que la « fracture sexuée » a atteint de tels écarts (entre 10 et 14 points) pour certains indicateurs (compétences en lecture, % d’une classe d’âge réussissant le baccalauréat) qu’elle apparaît pour ces items aussi, voire plus importante que la fracture sociale. Ainsi, les filles issues de catégories sociales classées comme défavorisées réussissent nationalement aussi bien ou mieux en lecture ou au baccalauréat que des garçons issus de catégories sociales caractérisées comme favorisées ».

Mais à l’éducation nationale, les hommes dominent. Si les femmes sont très majoritaires dans les métiers de l’éducation, leur part évolue inversement à leur position hiérarchique. Si 81% des enseignants du primaire et 58% des professeurs du secondaire sont des femmes, ce n’est plus vrai que pour 39% des IPR, 28% des IG et 29% des recteurs. Pourtant Céline, Agnès, Isabelle, Joelle, Laurence, Annie, Monique, Christèle, Pamela, toutes ces enseignantes que nous avons présenté, dans le dossier spécial dédié à la 100ème Journée des femmes, montrent que des femmes jouent un rôle remarquable dans l’éducation.

Les filières prennent elles aussi un certain genre. Parallèlement à cette évolution, on assiste à une spécialisation sexuée des filières. Aux 93% de filles de la filière ST2S, répond les 94% de garçons de la filière ISP. On trouve 79% de filles en L, 49% en S , seulement 10% en STI. Des écarts aussi forts se constatent entre branches du bac professionnel (en gros opposition tertiaire – production). Dans le post bac, les filles fournissent 80% des étudiants des formations sociales, 72% des étudiants en IUFM mais seulement 26% des futurs ingénieurs et 24% des étudiants en université de technologie.

Comment l’Ecole doit-elle réagir ? Peu de disciplines ont pris conscience de ces inégalités et décidé de réagir contre les stéréotypes. On sait que c’est le cas en EPS où, dans plusieurs académies, les épreuves du bac offrent un choix qui permet aux filles de réussir à égalité avec les garçons. Mais dans l’ensemble, le système éducatif s’est peu penché sur une mixité qui puisse offrir ses chances à tous. Au moment où les procédures d’orientation sont en cours, les stéréotypes sexués dirigent toujours les choix des élèves. Alors pour la Journée de la femme, voilà un thème tout trouvé…

Le dossier du Café

Filles et garçons sur le chemin de l’égalité

Etude OCDE

JL Auduc : SOS Garçons !

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

2012 = 2002 ?

Dix ans après 2002, Le Parisien dévoile un sondage qui donne la candidate du Front national en tête des intentions de vote au 1er tour des présidentielles. Une perspective qui ne peut pas ne pas interpeller également l’Ecole, premier lieu d’apprentissage du vivre ensemble.

D’après le sondage du Parisien, M Le Pen obtiendrait 23% des voix au premier tour, N Sarkozy et M Aubry chacun 21%. Le quotidien donne peu d’informations sur le sondage. L’électorat Le Pen progresserait chez les ouvriers (30% des voix) et dans l’électorat Sarkozy.

C’est bien d’abord la politique présidentielle qui est atteinte par ce résultat. Bien loin d’attirer les voix du F.N., les campagnes xénophobes, le rabâchage perpétuel des idées du F.N. ont fini par les populariser au sein de la droite, si ce n’est dans le pays, au point que, comme l’écrit Le Parisien, « Le Pen siphonne Sarkozy ». L’idée d’un débat sur l’islam, encore défendue ce week-end par l’UMP, va contribuer encore dans les semaines à venir à la banalisation des idées racistes.

Mais cette situation est aussi le fruit d’une politique sociale qui nourrit une ghettoïsation d’une partie de la société et entretient un sentiment de déclin à la fois individuel et national. La société française semble de plus en plus incapable de penser son avenir et de s’insérer , au présent, dans la globalisation. Cette situation est aussi le signe de l’épuisement de la Vème République. La décennie 2002-2012, s’achève par l’envoi devant un tribunal d’un ancien président de la République. « L’hyperprésidence »,marquée par la concentration des pouvoirs dans une seule main, aboutit au rejet commun du président et des institutions.

Arrivons-en à l’Ecole. Elle est bien incapable à elle seule de remédier à cette gangrène finale qui frappe la Vème République. Mais elle peut l’accélérer ou la freiner. Il lui appartient de ne pas se contenter d’enseigner les institutions républicaines, comme le lui demandent les nouveaux programmes d’éducation civique ou, même, « d’instruction » civique. Il faut qu’elle fasse vivre dans l’institution scolaire les valeurs et la morale démocratiques. Il faut qu’elle sache s’emparer des questions difficiles qui peuvent faire reculer. Alors que les jeunes ethnicisent davantage les rapports sociaux, l’Ecole doit mettre bien davantage l’accent dans ses pratiques, ses évaluations et ses objectifs sur les valeurs qu’elle veut transmettre. Au lieu de mettre à l’écart les mères de famille voilées, comme l’y invite Luc Chatel, l’Ecole doit savoir les reconnaître.

Il y a plus de 10 ans, un bon auteur annonçait « l’école ou la guerre civile« . Dans la situation politique actuelle, la majorité devrait comprendre qu’elle fait fausse route et qu’il faut plus et mieux d’école.

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Pas d’éducation, pas d’avenir

La Ligue de l’enseignement et Solidarité laïque unissent leurs forces pour hisser plus haut la campagne Pas d’éducation, pas d’avenir.

Elle vise à trouver des financements pour soutenir des projets scolaires en Afrique, en Moldavie, à Haïti. Ici ce sont des classes que l’on construit, là des latrines, une bibliothèque ou encore des activités scolaires qui se mettent en place.

La campagne est aussi un bel outil pour éduquer les élèves à la solidarité internationale. Elle met à disposition des enseignants des documents pédagogiques et invite à organiser des événements de collecte qui sont un lien avec la communauté qui entoure l’école. Elle coure jusqu’à la fin de l’année scolaire ce qui permet à chacun de construire ses projets à sa guise.

La campagne

Voir le sprojets retenus

Entretien de carrière : Une mutation considérable estiment des inspecteurs

Début février, le ministère annonçait l’expérimentation des « entretiens de carrière » pour les enseignants ayant 2 et 20 ans de carrière. Inspecteurs de l’éducation nationale honoraires, Georges Gauzente et Jean-Paul Rocquet réagissent à leur mise en place. Analysant le guide d’entretien envoyé à leurs collègues, ils y trouvent une évolution importante du métier d’enseignant comme de celui d’inspecteur.  » Avec l’entretien à deux puis à vingt ans de carrière, on réduit l’inspection et la direction d’établissement à une préparation à la gestion des ressources humaines ». Au risque de « la fatigue d’être soi ».

Lisez la tribune de G Gauzente et JP Rocquet

Une mission sur la scolarisation des enfants handicapés

Le sénateur Paul Blanc est chargé d’une mission sur la scolarisation des enfants handicapés. Il devra réfléchir aux moyens d’améliorer l’accompagnement de senfants à l’école et le recrutement des AVS. Son rapports era remis avant le 15 mai.

L’enquête du Se-Unsa sur les non titulaires

Comment l’Etat intègre les handicapés

L’Institut publie les discours des académies sur l’école

Rappelez-vous : le 1er mars, Xavier Darcos, Pierre Léna et MIchel Serres présentaient aux 3 académies (des sciences, française et des sciences morale set politiques) leurs réflexions sur l’Ecole. Le Café présentait leurs discours. ILs sont maintenant publiés in extenso par l’Institut.

Lire les discours

Dans L’Expresso du 2 mars

Bac pro : Dispense de langues

« Les candidats titulaires d’un diplôme de niveau V obtenu à la session précédant l’admission en formation de baccalauréat professionnel sont dispensés, à leur demande, de l’épreuve obligatoire de langue vivante 2 pour les sessions 2012 et 2013 de l’examen », stipule un arrêté publié au J.O. du 5 mars.

Au J.O.

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Après le Bac S

Quelles formations après un bac S ? Ce numéro d’Infosup présente pas moins de 700 formations post bac adaptées au profil des S. Il traite aussi une vingtaine de secteurs d’activités du BTP génie à la santé et le sport. Caractéristiques, tendances de l’emploi de chaque secteur sont développés. Les formations sont décryptées : conditions d’accès, programem, spécificités, débouchés. Ce sont pas moins de 3 500 adresses d’établissements qui sont à votre disposition dans ce guide.

Après le bac S, Bien choisir pour réussir, Onisep, Infosup APB, édition 2011.

Devinez-moi !

Allier poésie et casse tête, il n’y a que Rue du monde à savoir le faire ! « Une chambre en bas. Une chambre en haut, à l’intérieur chante un rossignol ». Cette devinette afghane désigne la bouche et la langue. Ce petit livre , destiné au enfants de 7 ans et plus, propose pas moins de 185 devinettes poèmes qui en disent long sur la vie quotidienne, mais aussi sur les peines et les joies des humains. Les réponses sont à chercher dans les images…

JM Henry, J Gueyfier, Devinez-moi !, édition Rue du Monde, 2011.

Le Guide APB

Alors que les lycéens de terminale remplissent leurs dossiers d’orientation, le Café rappelle son Guide de l’orientation post bac. L’orientation post-bac est tout sauf transparente. Malgré la mise en place de « l’orientation active », malgré l’ouverture de nouveaux services, comme Mon orientation en ligne de l’Onisep, malgré les efforts des collectivités locales pour diffuser de l’information sur les métiers et les voies de formation, les lycéens sont encore souvent sous informés et peu sollicités sur leur devenir. La coupure entre le lycée et le supérieur reste profonde. L’orientation est encore trop souvent considérée comme une compétence familiale ou un exercice de pouvoir et non comme un savoir à construire. Mais, même là où le nécessaire est fait, la procédure elle-même réserve bien des surprises et nous sommes particulièrement fiers de pouvoir en démonter les mécanismes pour les lecteurs de ce Guide. Le Guide du Café ne va pas combler tous les fossés. Mais il permet de saisir le fonctionnement de la procédure et de trouver des outils et des ressources pour faciliter son orientation.

Le Guide de l’orientation post bac

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La classe

Le théâtre contre la perte de soi

Pour Martine Meirieu, enseignante et comédienne, l’activité théâtrale peut aider l’élève à affronter les difficultés du rapport aux autres en lui ouvrant la distance d’un espace imaginaire sécurisant. A partir d’expériences menées auprès de l’enfance inadaptée, Martine Meirieu montre l’intérêt d’une pratique pédagogique du théâtre pour renforcer la conscience de soi, se reconnaître dans la culture et se situer dans la sphère sociale. Se construire comme sujet parmi les autres est l’enjeu crucial de l’enfance et de l’adolescence. Le milieu scolaire, à l’image de la société, a parfois tendance a produire des rapports d’agression et de défense qui restent inaperçus sous les impératifs de réussite.

Lisez l’article du Café

Résonances : Les troubles Dys

La revue de l’école valaisanne consacre son numéro 6 aux troubles dys. « Faut-il déléguer aux seuls médecins et spécialistes le soin de «guérir» les troubles qui apparaissent dans les dictées et autres lectures, comme on amène notre pétaradante vers notre garagiste préféré? » interroge la revue. «  Séparer la difficulté ordinaire de la lecture d’un trouble dys- n’est pas chose aisée, d’où l’importance de mieux connaître le faisceau de signes observables pouvant indiquer une suspicion de trouble dys-« , explique un inspecteur. La revue montre ces signes et explique l’intérêt d’une approche collaborative.

Résonances n°6

Tous les numéros de Résonances

Twitter sur les bacs de l’école

Chaque semaine les élèves de seconde de l’école Saint Pierre et des sentiers de Charlesbourg (Québec) vont faire leur devoir de français en moins de 140 caractères. «  Dans mes cours, les élèves sont souvent tentés d’envoyer des textos avec leur téléphone cellulaire. J’ai décidé d’aller avec la vague plutôt que de lutter contre. Il fallait que je trouve le moyen de travailler avec ça. C’est aussi une façon d’aller chercher leur attention et leur motivation, tout en les poussant à écrire sans qu’ils ne s’en rendent trop compte », explique l’enseignante, Annie Côté.

Article du Soleil

Dossier Web 2.0

Jules Fil : mon lycée twitte

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Etablissement partenaire

Portes ouvertes à Paris 12

L’Université Paris-Est Créteil Val de Marne (Paris 12) propose pour la première fois cette année une Journée Portes Ouvertes le mercredi 23 mars 2011 destiné aux étudiants de bac +2 et informe sur la possibilité de poursuite d’étude et les modalités d’entrée en troisième année de licence et licence professionnelle.

Cette journée se déroulera en deux temps :

– La matinée sera consacrée aux équipes pédagogiques de BTS avec deux tables rondes, une sur les formations du tertiaire et une autre sur les formations industrielles

– De 11h à 16h les facultés accueilleront les étudiants sur leurs stands d’information.

Le programme

Portes ouvertes à Teilhard-de-Chardin

A Saint-Maur (94), le Lycée Teilhard de Chardin ouvre ses portes le 11 mars de 17h à 20h. L’équipe pédagogique et de nombreux étudiants feront visiter les locaux et présenteront les formations de l’enseignement supérieur sous statut scolaire ou en apprentissage : BTS Banque, BTS Comptabilité-Gestion, BTS Assistant Manager, BTS Assistant de Gestion PME-PMI, BTS Service et Prestations des Secteurs Sanitaire et Social (SP3S), Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion (DCG), Classes préparatoires au Diplôme Supérieur de Comptabilité et Gestion (DSCG), Classes préparatoires aux Concours des écoles de commerce (CPEC), Classes préparatoires aux concours infirmiers (PCIFSI).

Le lycée

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Violences à l’école

Un colloque international « Violences à l’école : normes et professionnalités en questions » se tiendra les 14 et 15 décembre à l’Université d’Artois à Arras. Ce colloque est co-organisé par l’équipe RECIFES (EA 4520) et l’équipe EMA (EA 4507) avec la participation du GERN et de la CDIUFM. «  quatre chantiers seront systématiquement explorés : la double construction sociale (ou socio-politique) et scientifique du problème des violences à l’école ; la « violence » comme résultat d’une construction situationnelle, au cœur de sociabilités croisées et de tensions normatives (et non comme caractéristique ou déficit individuel) ; la victimation et les enjeux pour l’identité professionnelle ; les réponses et modèles de prévention. Dans chacun des quatre axes proposés, un double niveau de questionnement sera sollicité : celui de l’étude de la construction du « problème social » des violences à l’école, de ses fondements et de ses implications d’une part ; d’autre part, celui d’une analyse fine et contextualisée de ce phénomène, s’attachant au sens que donnent les acteurs à ce qu’ils vivent, analysant le ressenti et le vécu des sujets en lien avec leur activité de travail rendue parfois difficile ».

Appel à communications

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Citoyenneté

Festival international du film des droits de l’homme de Paris

Chaque année, le Festival International du Film des Droits de l’Homme programme des films documentaires inédits qui permettent au public de toucher l’urgence et la réalité des droits de l’homme et de rendre hommage à l’engagement sans relâche, de celles et ceux qui, de par le monde, luttent pour leurs droits et leurs libertés. Du 8 au 15 mars, le Festival propose des documentaires suivis de débats avec els réalisateurs ou des acteurs de la solidarité internationale.

Le programme

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Les disciplines

S.E.S. : La notation financière

Les agences de notation ont pris une importance croissante dans la vie financière mais aussi dans la vie politique. En donnant des notes sur la viabilité financière des agents économiques ou des produits, elles rendent publiques des informations qui autrement resteraient privées. Elles sont toutefois la cible de nombreuses critiques. Faut-il les réguler ? Toutes ces questions, avec un intéressant panorama de l’histoire des marchés financiers, du fonctionnement des agences, est à découvrir dans ce numéro des Cahiers de l’évaluation du Centre d’analyse stratégique.

1ère partie

2de partie

Les inégalités de revenu à Strasbourg

Une ville lue sous l’angle de ses inégalités. Un intéressant travail de Simon Leyendecker et Marc Schalck, de la société Compas publié sur le site Inegalites.fr.

L’article

Festival Sidérations

L’Observatoire de l’Espace du CNES a construit le programme du festival Sidération, les 12 et 13 mars, à Paris, autour des interrogations que suscitent les termes Limites et Frontières lorsqu’on les considère dans le contexte de l’univers spatial. Deux jours durant, la salle de l’Espace du CNES va exceptionnellement se métamorphoser pour les plaisirs de la création et sera le lieu de bien des surprises. Le public pourra apprécier un festival où de multiples formes artistiques, créées pour l’occasion, viendront croiser le chemin de récits contés par des spécialistes du spatial. Mises en voix, performances théâtrales, audiovisuelles et multimédias, improvisations musicales seront données à voir lors de ce festival où la multiplicité des formes d’écriture est mise à l’honneur.

Le programme

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le Cafe

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