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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Politique locale numérique cherche modèle de gouvernance

ÉDITORIAL

L’Ecole et les cantonales

LE SYSTEME

STI – STL : La région Ile de France rappelle ses objectifs l Le Conseil général du 93 dénonce « l’hystérisation autour de l’islam » l La Ligue de l’enseignement contre la xénophobie l Le PS attaque le ministre sur son budget l Concours général technologique l Enseigner dans une école européenne l Les infirmières malades de l’Education nationale

L’ÉLÈVE

Prix de l’éducation 2011 l Au galop les mots

LA CLASSE

Bons baisers de Moscou l Bulles au carré l Les TICE et vous

LA RECHERCHE

Comment répondre à l’angoisse scolaire ? …

CITOYENNETE

Non au débat procès de l’Islam

LES DISCIPLINES

Energies renouvelables l Physique : Focus sur le programme de terminale S l Maths : Zeta de 3

Le fait du jour

Politique locale numérique cherche modèle de gouvernance

Depuis lundi, Bordeaux fête le numérique et expose sa métamorphose en cité digitale. Mercredi, l’école était au cœur des débats. Celui qui réunissait des élus de plusieurs villes numériques est allé au-delà des murs de la classe, embrassant dans ses questionnements toutes les dimensions d’une éducation partagée

En développant de véritables politiques numériques, les villes sortent du schéma classique « l’enseignement pense, la ville dépense ». Replaçant l’école au cœur de la cité, elle rebat les cartes du débat éducatif. La nouvelle géographie éducative se met en place mais sur la pointe des pieds de peur de briser trop fort le tabou d’une pédagogie ancrée dans la classe. Pour que l’ère digitale s’empare réellement de la sphère éducative il faudra franchir ce seuil : celui d’une reconnaissance réelle de l’éducation partagée.

Lisez le reportage du Café

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L’Ecole et les cantonales

L’élection des conseils généraux est importante pour l’avenir du système éducatif.

Les questions d’éducation suivent-elles les clivages politiques ? Cet Expresso s’ouvre sur un débat à Bordeaux sur des initiatives qui réunissent des élus fort divers. Sur une question où chaque élu a son opinion déjà faite, on voit bien que chaque famille politique est divisée. C’est apparu clairement il y a quelques semaines quand la majorité UMP a voté la suppression du HCE avant de le rétablir. Quoi de commun au sein de l’UMP, par exemple, entre les positions de Gérard Longuet, qui va tout régler en « extradant » les mauvais profs et celle de Jacques Grosperrin, qui veut refonder une « école du socle » ? A gauche, si le parti socialiste a rédigé un programme éducatif, il semble bien éloigné des positions d’un Chevènement par exemple.

Cette division est un problème et une chance. L’absence de projet collectif sur l’Ecole est un frein certain à la démocratisation scolaire. Elle encourage la surenchère avec le risque que le combat politique passe par l’Ecole. On a vu chez nos voisins suisses, à Genève ou Vaud, quelles pressions les conservateurs pouvaient faire subir à l’Ecole. On a tous en mémoire les épisodes de Robien par exemple. En même temps elle impose le débat qui est nécessaire à tout changement profond.

Les enseignants mesurent-ils toujours l’importance des conseils généraux pour le système scolaire ? Quand l’Etat finance à hauteur de 67 milliards l’Ecole, les collectivités locales en apportent 33. Depuis 2000 leur effort est passé de 22 à 33 milliards, quand celui de l’Etat tend à stagner. Le Café a souvent l’occasion de montrer les investissements des conseils généraux qui misent l’avenir de leur collectivité sur l’effort scolaire. Rappelons par exemple, le véritable plan de reconquête des collèges déployé par le conseil général de Seine Saint-Denis. Alors que l’Etat se met aux abonnés absents ou baisse la voilure, ce sont les collectivités locales qui permettent à l’Ecole de respirer et qui financent chaque jour davantage les équipements et les projets pédagogiques. La perspective d’une recentralisation opérée par un Etat autoritaire serait une vraie catastrophe pour l’Ecole.

Aujourd’hui le politique menace l’Ecole. Depuis l’été dernier, les « petites phrases » et les déclarations péremptoires ont créé un climat dans le pays qui se répercute dans l’Ecole. Après la mise à l’index des Roms, la majorité a entrepris de faire campagne contre l’Islam et les musulmans. Claude Guéant multiplie les propos qui dessinent une société xénophobe et un Etat autoritaire. On a eu « les Français, à force d’immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux ». Voilà maintenant que « les agents des services publics évidemment ne doivent pas porter de signes religieux, manifester une quelconque préférence religieuse, mais les usagers du service public ne [le] doivent pas non plus ». Compte tenu des responsabilités de l’auteur, on assiste à une inquiétante subversion des valeurs démocratiques qui fondent notre Ecole. Quelle inversion de ce qu’est la laïcité ! La laïcité c’est le fait que la République protège à égalité tous les citoyens et tous les cultes. Ce n’est pas la soumission et la fonctionnarisation des citoyens. Ce n’est pas le tri dans les citoyens entre ceux qui « ne se sentent plus chez eux » et les autres.

L’Ecole a besoin d’une autre politique. Elle a aussi besoin qu’on change l’air. L’enjeu des élections locales de dimanche est subitement devenu très important. Pour le financement de l’Ecole bien sûr. Mais aussi pour affirmer les principes qui fondent notre travail au quotidien. La République que l’on aime c’est celle qui scolarisera les enfants des rues pas celle qui louera des charters. C’est celle qui fait de l’Ecole une maison commune, pas celle qui juge les mères musulmanes à priori indignes d’y pénétrer. C’est celle qui apprend aux élèves que l’étranger n’est pas obligatoirement sans papiers, et que les droits préexistent à ces papiers. C’est celle qui parle d’avenir aux enfants , pas celle qui les fait vivre dans la peur du voisin et de l’avenir. Cette République là, dimanche, a sacrément besoin de vos votes.

Le programme ump

Le programme PS

Fabienne Keller dessine un avenir aux collégiens des ZUS

La Seine Saint Denis lance un plan collège

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STI – STL : La région Ile de France rappelle ses objectifs

« Il me semble indispensable à l’avenir qu’une large concertation soit menée avant la prise de décision ». Dans une lettre adressée au recteur de Paris le 21 mars, Henriette Zoughebi, vice présidente de la région Ile de France chargée des lycées, rappelle les compétences régionales en matière d’éducation. Et c’est la réforme de la filière STI, STA, STL qui lui en donne l’occasion. La région accepte de financer (pour 10 millions) les équipements nécessaires à la réforme dans 10 lycées mais elle marque ses doutes sur l’avenir de cette réforme et son opposition à certaines ouvertures.

« J’ai demandé aux proviseurs de maintenir sur place leur parc de machines fourni dans le cadre des anciens programmes » écrit H Zoughebi ce qui installe un doute sur le bien fondé des programmes. Surtout elle interroge le recteur sur sa politique d’ouverture de sections industrielles dans des lycées prestigieux. Pour elle, augmenter le nombre de lycéens dans ces établissements pose des questions de sécurité mais aussi « de régulation de l’offre scolaire ». La région entend s’opposer aux fermetures de section dans les lycées des quartiers populaires pour leur délocalisation dans des établissements de centre ville. Elle demande le réexamen des projets concernant les lycées Fresnel et Buffon.

Le 17 mars, elle nous avait déclaré : « Il ne saurait y avoir de réforme sans un encadrement qui soit à un bon niveau. Or aujourd’hui 14 postes sont supprimés dans cette filière avec des fermetures de classe. On rouvre dans des lycées prestigieux mais un seul poste est rouvert, il y a bien une perte sèche. Et ça pour moi c’est inacceptable. Je n’accepte pas qu’on ouvre à Louis-le-Grand et qu’on ferme à Fresnel ou Diderot. Je trouve que c’est une politique catastrophique pour les jeunes. »

Reportage du 17 mars

Le Conseil général du 93 dénonce « l’hystérisation autour de l’islam »

« Arrêtons sur une robe longue d’essayer d’hystériser la société française« , a déclaré , selon l’AFP, Claude Bartolone, président du Conseil général du 93. Il réagit ainsi aux menaces subies dans un lycée de son département par 4 jeunes filles dont les robes sont perçues comme un signe religieux par la direction de l’établissement. «  Là-dessus aussi, je pense que nous payons la facture Sarkozy. Aujourd’hui, il y a une telle hystérisation autour de l’islam qu’un certain nombre de consciences bien trempées vacillent », a ajouté C Bartolone.

Dépêche AFP

Dérapage identitaire dans un lycée du 93

La Ligue de l’enseignement contre la xénophobie

« Les récents débats sur l’immigration et la sécurité, loin de répondre aux attentes des citoyens, ont, au contraire, joué sur les peurs et alimentent aujourd’hui les espoirs des candidats d’extrême-droite », écrit la Ligue de l’enseignement dans un communiqué du 24 mars. « La Ligue de l’enseignement appelle tous les citoyens à se mobiliser pour le deuxième tour et à faire barrage aux candidats et aux politiciens xénophobes, qui piétinent les valeurs de la République ».

Communiqué

Le PS attaque le ministre sur son budget

« Allez-vous encore longtemps prétendre avoir raison contre tout le monde ? » Yves Durand, député PS, apostrophe en ces termes le ministre de l’éducation nationale le 23 mars lors des questions au gouvernement. « Depuis des mois, vous assenez toujours la même aberration : on peut faire mieux pour l’éducation en supprimant 16 000 postes, alors qu’on attend plus de 50 000 élèves supplémentaire ».

Or, rappelle le député, « l’OCDE met en avant que la France a le taux d’encadrement le plus faible d’Europe. Cela vous laisse totalement indifférent. Votre propre administration fait un rapport sur les grandes difficultés de la mise en place de la réforme des lycées, faute de moyens. Peine perdue… Si les seuls moyens ne sont pas suffisants pour effectuer les réformes dont l’école a besoin, ils sont nécessaires pour rétablir des conditions de travail décentes. Alors que votre Gouvernement s’apprête à supprimer l’impôt de solidarité sur la fortune pour un coût de 4 milliards d’euros, êtes-vous prêt, comme nous vous le demandons depuis des semaines, à investir les 250 millions d’euros nécessaires au maintien des postes dans l’éducation nationale pour que l’école retrouve enfin sa place dans la République ? »

Pour Jeannette Bougrab, qui répondait à la place du ministre, « le choix de ne pas remplacer certains postes a été opéré avec un grand discernement dans le cadre d’une discussion et, pour la première fois dans l’éducation nationale, entre l’administration centrale et les académies »…

Débat à l’Assemblée

Concours général technologique

Le B.O. du 24 mars publie le calendrier des épreuves d’admission des disciplines technologiques (ST2S, STI, STL, hôtellerie).

Au B.O.

Enseigner dans une école européenne

« De grandes facultés d’adaptation sont nécessaires », écrit en gras la note parue au B.O. du 24 mars sur les candidatures à un poste en école européenne, des établissements particuliers situés dans 7 pays d’Europe occidentale. « Le système des écoles européennes mêle des cultures professionnelles très différentes et se distingue par un système éducatif spécifique, tant du point de vue administratif que pédagogique, en particulier, les parents sont très présents dans les écoles européennes, où ils assument pleinement leur rôle de co-éducateur ». Dix postes de professeurs des écoles et 12 d’enseignants du second degré (agrégés en général) sont offerts. Date limite le 14 avril.

La note

Les infirmières malades de l’Education nationale

« Le ministre de l’Education nationale refuse à l’ensemble des infirmières de son ministère le reclassement en catégorie A mis en œuvre à la Fonction publique Hospitalière. Pourtant, cette disposition n’est que la simple reconnaissance du niveau de qualification de toutes les infirmières, quelque soit le secteur d’activité », écrivent les syndicats FSU et UNSA, réunis dans un combat commun. Ils appellent à une journée d’action le 29 mars.

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Prix de l’éducation 2011

« Je crois qu’il est important de reconnaître l’excellence, l’investissement sportif et l’effort au service des autres ». Le 8 février, Luc Chatel avait parfaitement résumé ce que sont les Prix de l’éducation, des distinctions qui distinguent des élèves à la fois de très bon niveau scolaire, très sportifs et très impliqués dans la vie de leur communauté. Le B.O. fixe le règlement du concours 2011 et son calendrier. Même les garçons peuvent concourir…

Au B.O.

Le reportage sur le prix 2010

Au galop les mots

Voilà un album passion pour les petits qui découvrent le poney. Le livre de Martine Bourre invite à la découverte du vocabulaire de l’équitation et à l’amour de ces animaux. Mais c’est aussi une merveille artistique. M Bourre multiplie les techniques (papiers découpés, aquarelle, gouache, fil de fer etc.) pour inviter à dessiner des chevaux au pré, en parade,avec ou sans cavalier.

M Bourre, Au galop les mots !, Rue du monde, Paris 2011. A partir de 5 ans.

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La classe

Bons baisers de Moscou

Du 22 au 24 mars, Moscou accueille le Forum Partners in Learning de Microsoft. Des enseignants venus de tout le continent sont invités à présenter des projets innovants qui s’appuient sur les TIC. Deux membres du Café sont présents à Moscou : Robert Delord, qui tient la rubrique langues anciennes, y présente son travail Latine Loquere. Laurent Piau suit l’événement pour le Café. Il nous fera partager la vie quotidienne de ces enseignants innovants. Une qualité vraiment européenne ?

Lisez le reportage du Café

Bulles au carré

Qui n’a rien à dire sur les maths ? Images des Mathématiques (CNRS), en partenariat avec le magazine Tangente, organise le premier concours national de BD humoristique sur les mathématiques et les mathématiciens. Le concours est ouvert à tout dessinateur non professionnel âgé de 14 ans révolus à la date limite de remise des planches. Les participants doivent envoyer une bande dessinée d’expression française (ou muette) présentant une histoire humoristique sur les mathématiques et/ou les mathématicien(ne)s en 1 planche A4 maximum.

Le concours

Les TICE et vous

Le Café pédagogique réalise avec IPSOS une enquête sur les usages et la perception des TICE par les enseignants.

Les TICE peuvent-elles vous aider à faire mieux votre métier d’enseignant ? Si oui comment ? C’est d’abord pour répondre à ces questions que le Café pédagogique lance cette enquête avec l’institut d’enquête d’opinion Ipsos.

L’enquête vise à aller au-delà des usages et des équipements actuels pour envisager les attentes dans les différentes facettes du métier d’enseignant. Les TICE peuvent-elles aider à préparer les cours ? A suivre ses élèves ? A rendre els cours plus attractifs ? A économiser du temps pour l’évaluation ? A Apprendre aux élèves à travailler en équipe ? L’enquête fera aussi apparaître les attentes en terme de compétences à développer chez les élèves.

L’enquête vous donne la possibilité de faire remonter vos souhaits d’équipement, vos attentes pédagogiques et aussi vos expériences de terrain. Les résultats seront traités par Ipsos de façon à leur donner toute leur signification, y compris en terme de représentativité, puis communiqués par le Café. Donnez nous quelques minutes pour faire mieux connaître votre représentation du présent et de l’avenir des TICE.

Enquête TICE

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Comment répondre à l’angoisse scolaire ?

« Le marché de l’angoisse scolaire est florissant » affirme, sans crainte d’être démentie, la Ligue de l’enseignement qui publie un remarquable dossier sur cette question. L’accompagnement scolaire c’est d’bord les entreprises du soutien scolaire et la Ligue analyse les mécanismes qui l’alimentent. Mais c’est aussi des dispositifs scolaires.

Bruno Suchaut fait le point sur l’efficacité des unes et des autres. « Globalement, les dispositifs d’aide ne semblent pas permettre de réduire significativement la difficulté scolaire », écrit-il. « Mais la moyenne cache des effets disparates : l’aide intensive semble ainsi plus efficace pour les élèves les plus en difficulté, alors qu’elle peut engendrer des effets négatifs pour les élèves en difficulté plus légère. On peut ajouter qu’il n’y a pas de différence entre les apprentissages menés dans le temps scolaire et ceux du périscolaire ». S’agissant de l’aide personnalisée mise en place au primaire, il estime que « les effets sur les apprentissages scolaires sont globalement ténus mais on note une variation de l’efficacité selon le niveau scolaire considéré et les modalités de prise en charge. Il apparaît ainsi que les élèves de l’école primaire les plus âgés, et les élèves les plus faibles scolairement, retirent plus de bénéfices de ce type d’action que les plus jeunes ».

Le dossier

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Citoyenneté

Non au débat procès de l’Islam

Par une pétition des citoyens français manifestent leur opposition au débat sur l’Islam que Nicolas Sarkozy entent mener.

« Nous, citoyens français de foi, de culture ou d’héritage islamique, immédiatement rejoints par des citoyens de toutes confessions ou sans confession, appelons le Président de la République et le gouvernement à renoncer au débat sur la laïcité et la place de l’islam en France, que l’UMP veut lancer le 5 avril ». Lancée avec le soutien du Nouvel Observateur et de Respect Mag, la pétition dénonce une opération dangereuse. « Dans un climat de forte poussée de l’extrême-droite, après le fiasco du débat sur l’identité nationale, qui a libéré la parole raciste, nous estimons ce nouveau débat biaisé, stigmatisant et susceptible de mettre en péril une cohésion sociale déjà largement mise à mal par la politique actuelle. Alors qu’un formidable mouvement d’élan pour la démocratie a lieu dans les pays musulmans, nous dénonçons ces procès récurrents de l’islam et de tous ses représentants – ou désignés comme tels –, ainsi que cette instrumentalisation grossière du principe de laïcité. »

La pétition bénéficie du soutien de personnalités comme Benjamin Stora, Raymond Aubrac, Martine Aubry, Tahar Ben Jelloun, Pascal Boniface, Daniel Cohn Bendit, Olivier Ferrand, Edgar Morin, etc.

Signez la pétition

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Les disciplines

Energies renouvelables

Le séisme japonais a réveillé les craintes du nucléaire. Catastrophes naturelles versus sûreté nucléaire, dans ce combat dont l’issue risque de mettre en danger nature et population, les énergies renouvelables s’imposent comme une alternative crédible à moyen terme. Mais comment aborder ce thème en classe ?

Lisez l’article du Café mensuel de mars

Physique : Focus sur le programme de terminale S

Comment se fabrique un programme ? Qu’en pensent les organisations professionnelles ? Le Café mensuel de mars fait un focus sur le nouveau programme. Pour l’UDPPC, «  bien que ces programmes abordent des thèmes nouveaux et à priori intéressants en chimie et physique contemporaines, l’UdPPC constate que l’accent est mis presque exclusivement sur des aspects qualitatifs au détriment de contenus structurants et indispensables à la poursuite d’études supérieures scientifiques… Ces programmes esquivent pratiquement toutes les formalisations indispensables des lois physiques, ce qui est en totale contradiction avec l’objectif affiché de renforcer le caractère scientifique de la terminale S et de préparer les élèves à des études supérieures scientifiques. De ce fait, un échec massif est à craindre dans les premières années post-bac. »

Dans le Café mensuel de mars

Maths : Zeta de 3

Culture maths, le site national de l’enseignement des mathématiques, publie deux nouvelles ressources. D’abord un texte de S. Franceschi, Fangzhou Jin et J Merker : »Zeta de 3 est irrationnel » sur les propriétés arithmétiques et algébriques des valeurs de Zeta de 3. Ensuite une conférence d’André Deledicq : « les mathématiques des siècles de jubilation ».

Culture math

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