Print Friendly, PDF & Email

Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Le P.S. veut « refonder le contrat entre le monde éducatif et la Nation »…

ÉDITORIAL

Enseigner, un métier comme les autres ?

LE SYSTEME

Sénat : L’Etat mis en accusation par les acteurs de l’Ecole l Le Snuipp contre l’affichage de la campagne anti-burqa dans les écoles l Accès au corps de professeur des écoles l Stagiaires : Il faut revoir la formation des enseignants.

L’ÉLÈVE

L’APEL relance la question de l’examen d’entrée en sixième.

LA CLASSE

Attention ! Les nouveaux jeux sérieux arrivent !!.

PARTENAIRES

Envie de savoirs.

LA RECHERCHE

ZEP : Concurrence ou coopération ? …

CITOYENNETE

Le débat sur la laïcité est bien un débat contre l’islam.

LES DISCIPLINES

Aggiornamento pour l’histoire ! Moins de créations d’emploi en 2011 ! La lettre d’Ecoles Internet.

Le P.S. veut « refonder le contrat entre le monde éducatif et la Nation »

La France va à nouveau investir dans son école. C’est ce que propose le programme socialiste pour les présidentielles qui a été présenté le 5 avril.

Après un quinquennat marqué par un recul d’un point de PIB de la dépense d’éducation, la France devrait à nouveau investir dans son école. Sous le titre « Redresser la France, retrouver la justice, rassembler les Français », le programme du parti socialiste pour 2012 a été présenté le 5 avril au Bureau national. Il devrait être adopté par les militants le 19 mai.

Revalorisation. Le document veut « refonder le contrat entre le monde éducatif et la Nation ». Pour cela le PS annonce son intention : « nous revaloriserons les métiers et les carrières des professionnels de l’éducation. Nous nous attaquerons à la précarisation des personnels. Le chantier des missions et de l’organisation du service des enseignants sera ouvert afin que les travaux en petits groupes, l’accueil des élèves et des familles, le travail en équipe en fassent partie ». Le document ne dit pas ce qui sera exigé en échange de cette revalorisation par exemple sur la durée de la présence dans les établissements.

Assurer le socle commun est l’objectif principal. Pour cela le programme prévoit le retour de la scolarisation à 2 ans. La maternelle deviendrait obligatoire dès 3 ans. La semaine de 5 jours serait rétablie et « une véritable continuité entre l’école primaire et le collège sera organisée ». Un effort budgétaire sera fait pour le primaire. « Nous concentrerons les moyens existants sur l’école primaire et le premier cycle des apprentissages, où beaucoup se joue pour les enfants, avec un deuxième professeur par classe là où cela est nécessaire…. Nous garantirons un véritable suivi des élèves en difficulté prolongée et créerons des métiers d’accompagnement pour les enfants en situation de handicap. Nous redonnerons du pouvoir d’agir aux équipes pédagogiques en leur confiant une part de la dotation en heures d’enseignement ».

Revoir la territorialisation. « Nous mettrons en place une modulation de la dotation de moyens, non par zones, mais par établissement en fonction des catégories sociales. Les taux d’encadrement de ces établissements seront augmentés, ce qui permettra de baisser les effectifs des classes », annonce l eprogramme. « Une nouvelle sectorisation sera établie, qui prendra en compte un indice de mixité sociale et impliquera l’enseignement privé ». Le document prévoit également de donnerd es droits aux élèves.

Le projet intégral (document de travail)

Un pré programme ily a un mois

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

L’Éditorial de Monique Royer

Enseigner, un métier comme les autres ?

En pleine négociation sur la déprécarisation, Luc Chatel annonce le possible recrutement d’enseignants remplaçants par le biais de Pôle Emploi. Alors que le système actuel de formation des enseignants est sur la sellette, les chefs d’établissement pourraient pallier les absences en faisant appel, selon le ministre, à des étudiants ou à des retraités.

Parents, êtes-vous rassurés, aucune chaise vide ne sera de mise, en face de vos enfants un enseignant sera toujours présent. Enseignant intérimaire, enseignant improvisé mais il y aura quelqu’un pour délivrer un cours. Moment d’égarement, impulsion en réponse à des inquiétudes liées à un supposé phénomène d’absentéisme ? Difficile de répondre mais l’intervention de Luc Chatel dénote au mieux d’un oubli, au pire d’une méconnaissance à la fois du métier d’enseigner et du système de l’emploi.

Car à qui s’adresse Pôle Emploi, aux demandeurs d’emploi en premier lieu, pas aux étudiants ni aux retraités. A priori, il n’y aurait rien de choquant à permettre à des demandeurs d’emploi qualifiés d’accéder aux emplois de l’éducation. C’est déjà le cas pour la formation pour adultes. Rien de choquant à condition que le demandeur d’emploi soit formé au préalable aux rudiments du métier d’enseigner. Quelle qualification, quelles compétences seront mises en avant et quel système d’accompagnement avant la mise en situation professionnelle ?

Pour que les annonces figurent parmi les offres de Pôle Emploi, le ministre prend le pari qu’enseigner est un métier comme les autres. Mais, pour n’importe quel métier, il est rare qu’aucune qualification, aucune expérience ne soit demandées. C’est là le drame des jeunes demandeurs d’emploi, être recruté sans avoir un CV long comme le bras. Alors, que vont inscrire les chefs d’établissement sur leur offre pour recruter un remplaçant, avec quelles compétences : disciplinaires, de gestion de classe, de maîtrise des référentiels et des méthodes pédagogiques ?

Dans l’annonce de Luc Chatel, on voit aussi poindre le changement de rôle du chef d’établissement, une nouvelle compétence à laquelle il n’est pas forcément préparé : le recrutement d’un personnel remplaçant avec un statut différent. La gestion des ressources humaines est une donnée de plus en plus importante dans le métier de chef d’établissement. L’introduction d’un nouveau type d’intervenant dans l’équipe pédagogique risque de compliquer les choses. Et avec quel statut, quel contrat ? Un contrat de droit public oui mais les textes sont là pour encadrer ce type de contrat, des textes dont l’interprétation a provoqué un accroissement de la précarité. Un contrat de droit privé ? Là aussi les textes s’avèrent contrariants pour les projets ministériels. Et avec quelle articulation avec les personnels contractuels gérés par les niveaux régionaux et national ?

L’annonce de Luc Chatel soulève bien des interrogations. Enseigner n’est pas un métier comme les autres ne seraient ce que par les besoins de formation qu’il nécessite et par la réglementation qui l’encadre. Alors cette annonce, un moyen de ne pas analyser un peu plus profondément le malaise enseignant et l’absentéisme qu’il génère, une façon de banaliser la fonction d’enseignant ? On n’ose le penser et pourtant on le craint.

Monique Royer

Revenir au sommaire

Sénat : L’Etat mis en accusation par les acteurs de l’Ecole

Qui veut des Epep ? Quels rapports entre Etat et collectivités locales pour préparer l’Ecole de demain ? Un mois après les syndicats, la « Mission d’information du Sénat sur l’organisation territoriale du système éducatif et sur l’évaluation des expérimentations locales en matière d’éducation », pilotée par les sénateurs Serge Lagauche (PS) et Jean-Claude Carle (UMP), recevait le 5 avril les représentants des collectivités locales et des parents. Pendant près de 4 heures, les uns et les autres ont mis en évidence les carences de l’Etat. Et esquissé un autre avenir pour le système éducatif.

Après les syndicats, reçus le 8 mars, Jean-Claude Carle, rapporteur de la Mission d’information du Sénat sur l’organisation territoriale du système éducatif et sur l’évaluation des expérimentations locales en matière d’éducation recevait les associations de parents d’élèves (Fcpe, Peep, Apel, Unaape) et les associations d’élus locaux, maires (AMF, AMRF, AMGVF, AdCF, FMVM), ARF (régions) et ADF (départements). Des interlocuteurs capables d’éclairer les sénateurs qui devraient rendre leur rapport fin juin. Mardi 5 avril, la Mission abordait deux questions : faut-il décentraliser l’éducation nationale et faut-il faire évoluer le statut des établissements et créer des Epep, des établissements publics de l’enseignement primaire.

Lisez le reportage du Café

Le Snuipp contre l’affichage de la campagne anti-burqa dans les écoles

« Le SNUipp s’interroge sur l’intérêt d’imposer une campagne d’affichage dans les écoles » , écrit le Snuipp dans un communiqué du 5 avril. Le syndicat estime que  » si exceptionnellement, des situations délicates peuvent se présenter, elles sont bien loin d’être au coeur des défis posés aujourd’hui à l’école ».

« Les enseignants des écoles travaillent en dialogue régulier avec les familles, au bien-être des enfants, à leur réussite scolaire, à leur développement, à leur épanouissement, au vivre ensemble », écrit le Snuipp. « Il serait utile que le gouvernement s’y implique avec la même détermination et la même volonté de dialogue. C’est par là que se construisent les valeurs de la République et de la laïcité ». Pour le syndicat, « c’est la médiation qui doit s’afficher ».

Cette prise de position intervient alors que la loi anti-burqa entre en application le12 avril et que Luc Chatel a annoncé son intention d’aller plus loin. Il prépare une circulaire qui devrait interdire l’accompagnement des sorties scolaires par des mères coiffées d’un fichu, et peut-être même leur entrée dans l’école.

Communiqué

Accès au corps de professeur des écoles

Le Journal officiel publie trois arrêtés fixant à 225 le nombre de postes de professeur des écoles mis au premier concours interne et 1275 le nombre d’accès par liste d’aptitude. Deux autres arrêtés présentent la répartition de ces postes.

Au J.O.

Répartition

Répartition par liste d’aptitude

Stagiaires : Il faut revoir la formation des enseignants

Selon une enquête du Snuipp, les professeurs stagiaires « sont majoritairement insatisfaits des volumes et des contenus de formation. S’ils se sentent plutôt soutenus dans les écoles par les tuteurs et les formateurs, le tiers-temps est jugé trop restreint pour près de 89 % d’entre eux, pour qui les retours en formation sont plutôt insuffisants (45,8 %), voire même tout à fait insuffisants (32,9 %) ».

L’enquête snuipp

Revenir au sommaire

L’APEL relance la question de l’examen d’entrée en sixième

L’association de parents d’élèves du privé a beau dire qu’elle « refuse l’examen d’entrée en sixième », elle publie un sondage qui affirme que 73% des français sont favorables à un examen d’entrée en sixième.

Le sondage CSA Apel publié par La Croix montre qu’un français sur deux estime que le collège fonctionne mal et que deux sur trois sont favorables à l’abandon du collège unique. En période pré-électorale, le sondage de l’Apel met en avant des questions qui divise la droite, comme l’examen d’entrée en 6ème, et devrait influencer les militants du parti majoritaire.

Les « 10 propositions » de l’Apel « pour changer le collège », sont fidèles à une vision libérale de l’éducation. « Renforcer l’autonomie des établissements » en confiant le recrutement des enseignants au chef d’établissement augmenterait la concurrence entre les établissements. L’Apel demande aussi la création de groupes de niveau pour « supprimer les redoublements » . Elle se déclare aussi pour la pré sélection des élèves avec le développement de l’apprentissage à 14 ans et la rémunération « au mérite » des enseignants.

Revenir au sommaire

Attention ! Les nouveaux jeux sérieux arrivent !

En un an les jeux sérieux venus de la formation professionnelle ont franchi des étapes décisives. A Chambéry, ils sont utilisés en formation académique et initiale par « La serious école », l’ESC Chambéry. De nouveaux jeux se mettent au service de la formation du citoyen en sensibilisant aux éco-gestes, chez Total, ou à la prévention des discriminations, à la SNCF par exemple. Avec le portage de plus en plus fréquent des logiciels sur tablette, voilà les trois principaux enseignement du Forum des serious games organisé par Daesign le 5 avril.

Des jeux pour former le citoyen. Une dizaine d’entreprises utilisent un jeu développé par Altidem et Daesign pour prévenir les discriminations. Il place le jouer, un manager, dans des situations réalistes et l’invite à gérer son personnel. Le jeu interactif favorise la prise de conscience des stéréotypes. Un autre logiciel, développé pour Total et utilisé par les 10 000 salariés du siège, les invite à repérer des éco-gestes. Tous deux sont efficaces car ils plongent le salarié dans l’univers de travail qui lui est familier et l’invite à réagir dans des situations courantes.

Lisez le reportage du Café

Revenir au sommaire

Envie de savoirs

Pour la quatrième année consécutive, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) organise du 2 au 5 mai 2011 les conférences « Envie de savoirs » pour les lycéens des établissements partenaires de l’UPEC .

Ces conférences de vulgarisation scientifique tenues par des enseignants-chercheurs et destinées aux lycéens ont pour but de leur faire découvrir le monde de l’enseignement supérieur à travers des thématiques très diverses : littérature, histoire, sciences, médias… Durant cette opération, un parcours découverte de l’université est également prévu. A l’aide d’un guide et d’un QCM, les lycéens se mettent dans la peau d’un étudiant en découvrant par eux-mêmes les différents lieux de vie et d’administration de l’université. Ils seront ainsi sensibilisés aux dispositifs d’accompagnement des étudiants. Les élèves assistant à une conférence le matin et l’après-midi sont invités à déjeuner au Restaurant Universitaire de l’UPEC.

Envie de savoirs est un concept qui s’inscrit dans la mission première de l’université : la diffusion des savoirs scientifiques, culturels et professionnels.

Le programme

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

Revenir au sommaire

ZEP : Concurrence ou coopération ?

« Deux modèles coexistent actuellement : celui de l’école du mérite et de la sélection, fondé sur la compétition, et celui de la progression collective, fondé sur la coopération. Cette tension se manifeste à tous les niveaux, de la classe à l’échelon national. Ces deux modèles sont-ils compatibles ? » La question est posée par l’Observatoire des zones prioritaire (OZP) qui organise le 21 mai à Paris sa Journée nationale sur le thème «  « Concurrence, compétition ou coopération ? Quel avenir pour les ZEP 30 ans après ? » Parmi les intervenants signalons S Broccolichi, Luc Cédelle, JC Emin, Alain Bocquet.

Le rpogramme

Revenir au sommaire

Le débat sur la laïcité est bien un débat contre l’islam

Le débat « sur la laïcité » tenu le 5 avril par l’UMP a à nouveau été l’occasion de dérapages verbaux. La brochure de l’UMP marque qu’il s’agit d’une stigmatisation de l’islam.

Sous le titre « pacte républicain. Laïcité pour mieux vivre ensemble », le document de l’UMP affiche dès la page 2 qu’il s’agit d’un débat sur l’islam. Une tonalité anti : « Depuis 1905 ou 1920, le contexte a changé : l’islam est la 2e religion en France et, dans certaines parties du territoire, elle devient même majoritaire. Alors que l’Europe sécularisée avait presque oublié la question religieuse, le développement de l’islam la remet à l’ordre du jour et rend nécessaires certaines clarifications parce que des valeurs essentielles de la République sont remises en cause à certaines occasions – l’égalité entre les hommes et les femmes, la neutralité de l’État et de ses agents… – et que cela fragilise l’ensemble de la communauté nationale ». Il faut atteindre les annexes pour avoir un discours sur la laïcité et son histoire.

Les juifs à leur tour… Le même jour le secrétaire d’Etat au logement, Benoist Apparu s’en est pris aux établissements hors contrat musulmans et juifs. Selon lui, « 240.000 enfants sont éduqués dans des collèges où, de 10 ans à 16 ans, le seul programme, c’est l’apprentissage de la religion. L’histoire, la géo, les maths, la physique, ça n’existe pas » . Pour lui cela concerne « principalement deux religions: les écoles dites loubavitch, hors Consistoire, et quelques écoles coraniques ». L’enseignement hors contrat regroupe 19 000 élèves au primaire et 30 000 dans le secondaire. Ces établissements sont tenus de suivre les enseignements du socle, tout comme les parents qui scolarisent à domicile.

Revenir au sommaire

Aggiornamento pour l’histoire

« Ce carnet a pour objet de proposer une réflexion et des propositions dans l’optique d’un renouvellement de l’enseignement de l’histoire et de la géographie scolaires et universitaires. Il réunit une équipe d’enseignants et de chercheurs de différentes disciplines et degré d’enseignement qui souhaitent tout à la fois organiser une veille en ce domaine et construire un espace de discussions et de propositions à destination de la communauté éducative et du grand public ». Ce nouveau blog relie un groupe d’enseignants d’histoire-géo mobilisés par le mythe national mais aussi le sproblèmes épistémologiques.

Aggiornamento

Moins de créations d’emploi en 2011

« En glissement annuel, les créations nettes d’emploi en 2011 devraient atteindre 110 000 … Cette progression serait ainsi en léger retrait par rapport à celle enregistrée en 2010« , écrit Pole Emploi. Pôle emploi souligne aussi le décrochage de la France pâr rapport à l’Allemagne et les Etats-Unis.

La note Pôle emploi

La lettre d’Ecoles Internet

Proche du terrain, la Lettre d’Ecoles internet vaut le détour. En lien avec l’ANDEV (Association Nationale des Directeurs de l’Éducation des Villes de France) et le Ministère de l’Éducation nationale, Écoles internet veut encourager et promouvoir les usages d’internet favorisant l’égalité d’accès et l’appropriation par les élèves du primaire. Sa lettre nous emmène tout droit en classe à la rencontre de projets développés par les enseignants. Ecoles internet délivre des labels. Vous avez jusqu’au 15 septembre pour inscrire votre école.

La lettre

Label Écoles Internet : Une reconnaissance pour les acteurs de terrain

Revenir au sommaire

le Cafe

Les anciens Expresso ?

Voir L’Expresso précédent

Les archives complètes de L’Expresso

L’Expresso directement sur votre site !

Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.

Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.

Les conseils du webmestre

RSS : Le retour

Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l’icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.

Participer au Café ?

Il y a bien des façons d’aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !

Le Café en chiffres

Le Café pédagogique compte plus de 150 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.

Le Café à la carte

Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, « L’Expresso », le flash quotidien d’actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.

Pour s’abonner

Revenir au sommaire