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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Fraude au bac : Une épreuve annulée, un système attaqué…

ÉDITORIAL

Bac : Une organisation à revoir

LE SYSTEME

Rapport Carle : Le socle mais un pas vers la privatisation l Sarkozy sur l’absentéisme l Enseignement prioritaire : Des syndicats demandent la suppression des ECLAIR l Quand le privé manifeste l L’Allemagne consacrera 10% de son PIB à l’éducation.

L’ÉLÈVE

Le salon de l’étudiant de Paris l Cours d’été à l’Ecole du Louvre

LA CLASSE

Vaucanson : An II

LA RECHERCHE

Le congrès de l’ICEM…

CITOYENNETE

Mariage forcé : Moins de 2% des immigrées

LES DISCIPLINES

I voix : Florilèges l SES : Ressources pour le programme de première

Fraude au bac : Une épreuve annulée, un système attaqué

Luc Chatel a décidé d’annuler l’exercice e maths publié sur Internet à la veille de l’épreuve. Mais sa décision est vivement critiquée.

Le 22 juin Luc Chatel a confirmé l’annonce d’une fraude sur l’épreuve de maths de la série S. Un exercice a bien été publié sur un forum Internet avant l’épreuve. Il a décidé que cet exercice est annulé, « l’épreuve serait notée sur les trois autres exercices ». Le ministère porte plainte en vue d’identifier les auteurs de la fraude. Pour Luc Chatel, « l’annulation de l’épreuve… pénalisait injustement tous les lycéens qui ont composé de bonne foi ».

Faut-il annuler toute l’épreuve de maths ? Cette décision n’a pas mis fin aux protestations, bien au contraire. Le Snes et l’Apmep, association des professeurs de maths, demandent le report de l’épreuve, solution jugée la plus juste. Le Sgen demande que « les jurys attribuent les points de l’exercice concerné au vu du livret scolaire de chaque élèves ». La Fcpe, la Fidl et l’Unl, deux organisations lycéennes, soulignent l’injustice de cette mesure. Le syndicat général des lycéens (SGL) par contre juge la décision ministérielle « acceptable ». Deux pétitions circulent sur Internet, l’une demandant une nouvelle épreuve et l’autre la notation de l’exercice. Celle-ci comptait déjà 3 102 signatures ce matin.

De nouvelles découvertes. Malheureusement pour Luc Chatel, sa décision est déjà invalidée par les faits. Il apparait qu’une autre question du sujet de maths de la série S a été mal rédigée. Dans la question 2 exercice 2, deux des 4 réponses proposées sont exactes alors que l’énoncé affirme qu’il n’y en a qu’une. Cela a dû dérouter les candidats. Pire encore, selon RTL une fuite similaire existerait à propos du sujet d’anglais et de physique de la même série S.

Changer l’examen ? Des voix s’élèvent pour demander une réforme du bac. La Fcpe, l’Unl et la Fidl estiment que « cet incident très problématique est significatif de la nécessité désormais urgente de revoir les modalités d’organisation du baccalauréat, ainsi que de sortir du modèle d’un diplôme uniquement fondé sur l’examen terminal ». Le SGL veut aussi « une réforme en profondeur » du bac. Pour le Sgen Cfdt, « cet incident met en lumière les limites d’un examen du bac à bout de souffle ». La plus grande fraude au bac depuis des années pourrait bien porter un coup fatal à un exercice bicentenaire.

Dossier ministériel

Communiqué Snes

Communiqué Fcpe Unl Fidl

Pétition 1

Pétition 2

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L’Éditorial de François Jarraud

Bac : Une organisation à revoir

Toucher au bac est certainement un exercice périlleux comme l’attestent les tentatives de réforme de 2004. Mais la multiplication des incidents interroge et l’organisation de l’examen et sa conception.

Une économie contestée. Il y a quelques jours, Luc CHatel disait que le bac « ne coûte pas cher » par rapport à l’investissement qu’il représente. Son coût se situerait à environ 80 euros par candidat. Or il y a bien un rapport entre l’investissement mis dans les examens et la fraude. Cela est apparu clairement pour la fraude au BTS NRC. Pour le bac, l’enquête déterminera l’origine de la fraude. Mais on ne peut écarter le fait que le recours à des contractuels pour l’organisation de l’épreuve y soit pour quelque chose. En tous cas ces incidents devraient faire ressortir les problèmes d’organisation de l’épreuve. D’un peu partout nous proviennent des plaintes sur les déplacements des examinateurs. Au lieu de gérer au mieux la répartition des interrogateurs, on n’hésite pas à imposer des parcours cauchemardesques, voire impossibles, que les interrogateurs acceptent dans l’intérêt du service. Cela montre que l’organisation, peut-être par un recours exagéré à des intérimaires, n’est pas aussi bien huilée qu’elle pouvait l’être précédemment.

Une épreuve irréformable ? La question de la réforme du bac et celle des fraudes s’est posée pratiquement dès l’origine. En 2007, Claude Lelièvre nous rappelait que dès la fin du 19ème siècle sa réforme est demandée. « En mai 1880, Jules Ferry a tenté une réforme du baccalauréat ( qui concernait alors moins de 1% d’une classe d’âge) en la justifiant en ces termes devant le Conseil supérieur de la fonction publique : « La question du baccalauréat se pose ainsi : arracher cet examen aux misères, aux écueils et aux mensonges de la préparation mnémonique et mécanique ». Quatre-vingts ans après (et alors qu’on en était encore à moins de 10% d’une classe d’âge obtenant le bac ), il semble que l’on n’était toujours pas beaucoup plus avancé si l’on en juge par le rapport motivant le décret du 28 août 1959 relatif au baccalauréat ( général ) : « Il est normal qu’un examen de qualité incontestable sanctionne les études de l’enseignement du second degré. Mais il est anormal que ce même examen compromette les études dont il doit couronner le terme […]. Ces études, qui devraient être uniquement orientées vers l’acquisition de la culture générale, s’orientent de plus en plus vers le ‘’bachotage’’, c’est-à-dire l’acquisition hâtive, superficielle et indigeste d’un savoir encyclopédique ». »

Des épreuves inadaptées ? Plus près de nous, des études ont montré que les épreuves laissent à désirer. En mars 2008, Bruno Suchaut avait involontairement suscité de violentes réactions suite à la publication d’une étude sur la correction de copies de SES. Il montrait que trois copies du bac soumises à une trentaine de correcteurs différents obtiennent des notes très différentes (l’écart peut aller jusqu’à environ 10 points sur 20) d’un correcteur à l’autre. Ce qui l’amenait à souligner le caractère aléatoire du bac. La démonstration des errements des évaluations au bac n’a pas attendu B Suchaut. Elle a déjà été faite par exemple par Pieron, Reuchlin et Bacher qui, en 1962, ont démontré que pour obtenir une note « juste » aux épreuves du bac de mathématiques il faudrait faire la moyenne des notes de 13 correcteurs en maths, 78 en français et pas moins de 127 en philo… D’autres ont pu montrer que trois épreuves seulement prédisent la réussite ou l’échec au bac. Inutile donc d’organiser les autres… Les détracteurs du bac envisagent souvent son remplacement par un examen d’entrée dans le supérieur. C’est ce dont rêvent nombre d’universitaires qui s’affranchiraient ainsi de la douloureuse nécessité de s’adapter au public. Mais dans un pays où le nombre de diplômés du supérieur est déjà faible, augmenter les barrages à l’entrée de l’université aurait des effets économiques et sociaux désastreux.

Augmenter la part du CCF ? D’autres envisagent son remplacement par un contrôle en cours de formation ou la réduction des épreuves. C’est ce que semblent demander la Fcpe, le Sgen et les organisations lycéennes. Cette demande reconnaît la qualité du travail des enseignants. Elle aurait aussi l’avantage de diminuer le stress des candidats et les hasards d’une épreuve unique. Mais aller dans ce dernier sens augmenterait aussi la part de hasard dans l’évaluation. On sait qu’elle aurait des effets indésirables. L’évaluation non anonyme des élèves est plus sévère pour les garçons que les filles, pour les jeunes défavorisés ou issus de minorités visibles. Tous les stéréotypes influencent alors le correcteur ce qui n’est pas possible avec une copie anonyme.

Comment évaluer les compétences ? Finalement les difficultés du bac ne renvoient pas seulement aux effets de la diffusion des nouvelles technologies ou aux économies mal placées du ministère. C’est aussi la question de l’évaluation des compétences des candidats qui est posée. On sait comment cette évaluation a été mise en place au collège d’une façon tellement maladroite et absurde que la formule semble maintenant inaudible aux enseignants. En terminale il faut rappeler que dans certaines disciplines où on est allé le plus loin dans cette voie, les langues par exemple, les nouvelles évaluations (par rapport au cadre européen par exemple) n’ont pas effacé les anciennes… La crise que traverse le bac est finalement le révélateur de la crise profonde, aussi bien économique que pédagogique, que connaît le lycée. Il ne semble pas que la réforme ait fait avancer le lycée vers les solutions.

Le bac mis en débats

C Lelièvre

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Rapport Carle : Le socle mais un pas vers la privatisation

La « mission d’information sur l’organisation territoriale du système scolaire et l’évaluation des expérimentations locales en matière d’éducation » du Sénat,pilotée par Jean-Claude Carle et présidée par Serge Lagauche, a rendu le 22 juin ses propositions et un « document provisoire » sur l’organisation du système éducatif. Au bout de larges consultations, que le Café a partagé avec vous, la commission propose à la fois une privatisation accrue de l’Ecole et l’affirmation du socle commun.

Le socle confirmé. Ainsi la mission propose d’englober l’école sud socle dans un seul programme budgétaire regroupant l’école et le collège. Il propsoe aussi de créer de sréseaux regroupant le principal du collège centre et les directeurs des écoles gravitant autour. On se rapproche ainsi de l’école du socle qui permettrait de faciliter le passage de l’école au collège et de renforcer le collège unique.

Renforcer l’enseignement prioritaire. Les sénateurs veulent aussi renforcer l’enseignement prioritaire. Il s’attaquent à un premier point faible en demandant l’interdiction de nommer de stagiaires ou de jeunes enseignants dans ces établissements. Ils demandent un cadre indiciaire spécifique pour les enseignants des établissements prioritaires. Ils veulent aussi assurer davantage « la cohérence géographique de l’éducation prioritaire sur celel de la politique de la ville ».

Une gestion privée. Mais les sénateurs sont aussi séduits par une nouvelle gestion de l’école qui renforcerait la pression budgétaire et irait vers une privatisation des établissements. Ainsi ils affirment leur volonté de stabiliser la masse salariale des enseignants. S’ils critiquent les suppressions de postes (« une logique qui a ses limites ») c’est pour proposer d’essorer le secondaire comme cela a été fait au primaire. Le pire c’est que la mission recommande une monétarisation complète de la gestion. Chaque établissement aurait une enveloppe budgétaire à gérer incluant la masse salariale. Lors des débats, les syndicats avaient attiré l’attention sur ce que cela implique : les établissements pourraient sacrifier un vieil agrégé pour acquérir deux jeunes certifiés ou choisir entre une couche de peinture et un agrégé débutant… Cette gestion de type privée serait renforcée par la mise en place de vrais managers dans les établissements ayant la charge d’évaluer les enseignants. Enfin les sénateurs s’attaquent aussi au pouvoir des recteurs pour demander la création de « préfets éducatifs » chargés de coordonner l’action de l’Etat en matière d’éducation. Les propositions audacieuses des sénateurs semblent devoir rencontrer bien des résistances.

Si les patrons gouvernaient l’Ecole

Quand des élus discutent privatisation

L’Etat mis en accusation

Sarkozy sur l’absentéisme

Accompagné de M. Ciotti, le père de la loi qui punit les familles des élèves absentéistes, le président de la République se rend dans les Yvelines ce matin. Il devrait renouveler son soutien à une loi que le parti socialiste vient de tenter de faire annuler et dont l’efficacité reste à démontrer.

Absentéisme, statistiques, bikini et tutti Ciotti

Enseignement prioritaire : Des syndicats demandent la suppression des ECLAIR

Dans un communiqué commun les syndicats de la Fsu, Sud , la Cgt, le Se-Unsa et le Snalc demandent « l’abandon du programme Eclair ». Ils veulent « une véritable relance de l’éducation prioritaire avec des critères nationaux et transparents pour définir la liste des établissements qui en relèvent ».

Quand le privé manifeste

Les syndicats de l’enseignement privé (Fep Cfdt, Cfe Cgc, Cftc, Cgt, FO, Spelc) ont manifesté le 22 juin devant le secrétariat national de l’enseignement catholique pour protester contre la dénonciation par les OGEC de la convention collective. Ils demandent la révision de l’annexe 1 de cette convention pour obtenir une nouvelle classification des personnels de droit privé.

L’Allemagne consacrera 10% de son PIB à l’éducation

Selon le BE Allemagne, les dépenses en matière d’éducation et de recherche ont augmenté de 5% en Allemagne en 2009, soit 10 milliards de plus qu’en 2009. La part du PIB consacrée à l’enseignement et la recherche est passée de 8,6% en 2008 à 9,3% en 2009. Elle atteindra 10% en 2010. C’est l’enseignement qui a l e plus augmenté passant de 6,2% en 2008 à 6,8% en 2009. Rappelons qu’en FRance le mouvement est inverse…

BE Allemagne

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Le salon de l’étudiant de Paris

Le salon de l’Etudiant, « Où s’inscrire avec ou sans le bac », « Se réorienter après un bac + 1, bac + 2 » et « Trouver une formation en alternance », vous propose durant deux journées, les 2 et 3 juillet, de rencontrer des spécialistes de l’orientation.

Vous pourrez dialoguer et obtenir toutes les informations sur les poursuites d’études auprès des représentants d’établissements qui inscrivent encore en juillet, voire en septembre, avec ou sans le bac. Des dizaines d’écoles généralistes, spécialisées ou qui proposent des formations en alternance vous présenteront leur offre de formation, le contenu de leur cursus et leur niveau d’accès.

Invitation gratuite

Cours d’été à l’Ecole du Louvre

Chaque année, l’Ecole du Louvre propose des séries de cours thématiques dans les domaines de l’archéologie et de l’histoire de l’art sont proposés. Par exemple, cette année, on peut suivre des ours sur le maniérisme, le japonisme, Léonard de Vinci ou encore l’univers des chambres.

Chaque série (du lundi au vendredi) comprend des cours magistraux, dispensés par des conservateurs et des professionnels des musées et du patrimoine, et des visites d’application dans des musées et des monuments de Paris et d’Ile-de-France ou des parcours d’architecture.

A découvrir

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Vaucanson : An II

Des bacheliers professionnels conduits au master en 5 ans ? Impossible ! C’est pourtant le pari de l’Ecole Vaucanson. S’il est trop tôt pour savoir si l’expérimentation relèvera jusqu’au bout ce défi, la réunion du conseil scientifique de l’école, le 22 juin, permet de faire le point. Malgré les difficultés et les peurs, en s’appuyant sur une pédagogie de projet que certains diraient inaccessible aux bacheliers professionnels, le projet avance. Le Café a rencontré des étudiants impliqués et épanouis, des enseignants bien motivés et des dirigeants qui savent où ils vont. L’Ecole pourrait bénéficier de l’engouement pour la voie professionnelle que les statistiques du bac mettent en évidence.

Lisez le reportage du Café

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Le congrès de l’ICEM

50 ans : la maturité ? Du 23 au 26 août, l’ICEM organise son 50ème congrès à Villeneuve d’Ascq. Le congrès présentera les richesses du réseau ICEM dans une région où l’efficacité de la pédagogie Freinet est établie. Des conférences de P Meirieu, L Ott, N Go sont annoncées. De nombreux ateliers attendent les congressistes pour débuter ou améliorer se spratiques Freinet. Attention ! inscriptions jusqu’au 30 juin.

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Mariage forcé : Moins de 2% des immigrées

Le mariage forcé existe-t-il ? Comment le mesurer ? Christelle Hamel, de l’Ined, s’est attelée à la tâche de mesurer le consentement au mariage dans la société française. « Les femmes immigrées ayant entre 51 et 60 ans sont 9 % à avoir été mariées contre leur gré lors de leur première union », estime-t-elle. « La fréquence est moindre chez les immigrées plus jeunes (2 % pour les 26-30 ans) et chez les filles d’immigrés (1 % des 26-30 ans). On constate donc un recul de ces mariages non consentis ». Surtout celui-ci est ultra minoritaire et diminue avec l’intégration dans la société française.

« Les parents qui imposent un mariage à leur fille se distinguent par un très faible niveau de scolarisation et se trouvent davantage dans certains courants migratoires », estime-t-elle. « Les mariages non consentis sont plus fréquents parmi les femmes originaires de pays dans lesquels le célibat est réprouvé et la sexualité prémaritale prohibée, ce qui interdit de fait le concubinage. C’est le cas de la Turquie, du Maghreb et de l’Afrique sahélienne. Les femmes venues de ces pays sont les plus exposées aux mariages non consentis, avec des taux variant… 4 % à 8 % (pour les femmes) de 26-40 ans. À âge égal, la génération des filles d’immigrés est moins exposée ».

Population & sociétés n°479

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I-voix : Florilèges

Quand les lycéens se reconnaissent poètes. I-voix, le blog du lycéee l’Iroise, publie les réalisations de ses élèves et vous invite à reconnaître les auteurs qui les ont inspirés … A la manière de…

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SES : Ressources pour le programme de première

Alors que l’Apses annonce un manuel électronique couvrant le programme de première, le ministère publie des documents d’accompagnement couvrant 6 thèmes du programme.

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