Par François Jarraud
Le tabou de la discrimination ethnique à l’Ecole enfin levé ?
Fabrice Dhume : « L’institution scolaire a une tendance systématique à renverser la question ».
Pour changer le métier d’enseignant, prenons l’Europe pour modèle…
Sarkozy annonce une réforme du système éducatif l Le ministère définit le nouveau brevet l Chronique de la carte scolaire l Capes : Modification des épreuves l Les Etats-Unis découvrent les inégalités sociales à l’Ecole.
Les jeunes et les réseaux sociaux : Un enquête de l’IFé l Le carnaval se fête au musée Dapper !
L’innovation vue par l’OCDE l L’orthopédagogie au Québec l Sortie du journal lycéen au lycée Arène de Sisteron…
Familles, école, quartier : Les 5èmes Rencontres nationales sur l’Accompagnement du GFEN…
Les immigrés et leurs descendants face à l’identité nationale.
Comprendre et enseigner l’identité numérique l SES : Tous les TD de Sésâme l Le bilan du Monde.
Le tabou de la discrimination ethnique à l’Ecole enfin levé ?
La discrimination scolaire peut-elle se résumer à la question sociale ? Ou faut-il faire entrer dans la discrimination scolaire la question ethnico-raciale ? Ces dernières années plusieurs travaux sont allés en ce sens. On peut penser à ceux de G Felouzis, sur les collèges du Bordelais, ou à ceux de F Lorcerie. Mais d’autres montrent aussi une bonne réussite d’ enfants immigrés. Comment dès lors s’y retrouver ?
Pour la Halde et l’Acsé, Fabrice Dhume, Suzana Dukic, Séverine Chauvel et Philippe Perrot ont entrepris d’éplucher la totalité des études parues en France sur cette question depuis un demi-siècle. Un travail presque exhaustif, reprenant près de 500 travaux publiés depuis la fin des années 1960. Les auteurs concluent en soulignant des résultats contradictoires. Il est vrai que des travaux ont d’abord nié la discrimination (Clerc et Girard en 1964), puis montré une meilleure réussite des enfants « étrangers » , toutes choses étant comparables par ailleurs (Caille et Vallet 1996), avant d’établir une discrimination socio-urbaine mais dont les effets scolaires sont complexes (Felouzis en 2003). Mais ces oppositions apparentes s’expliquent en grande partie, comme le remarque F Lorcerie, par l’écart de temps entre les travaux.
Fabrice Dhume : « L’institution scolaire a une tendance systématique à renverser la question »
Fabrice Dhume fait le point sur la question de la discrimination ethnique à l’Ecole et met en évidence les résistances du Ministère de l’Education scolaire. Le terme « discrimination ethnique » est toujours ignoré d’Eduscol…
On voit dans le livre qu’il y a une hausse des études sur la question de la discrimination ethnique alors que le sujet a longtemps été nié. Pourquoi cet intérêt croissant ?
Il y a plusieurs éléments. Le premier c’est l’émergence de la question de l’orientation des enfants immigrés qui est directement liée à ce livre. Elle va de plus en plus se poser. Il y a aussi l’émergence de la question de la discrimination et de ses effets politiques. Ce qu’on montre dans le livre c’est que la question de la différence de traitement des enfants immigrés, voire de la discrimination, existe depuis la fin des années 1970. Mais ces travaux ont eu peu d’échos dans le champ scientifique et dans le champ politique. Elles ont été mises sous silence. Ce qui émerge aujourd’hui c’est la question d’une possible discrimination dans l’orientation scolaire. Des travaux récents y compris statistiques apportent un éclairage nouveau sur ces questions.
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L’Éditorial de François Jarraud
Pour changer le métier d’enseignant, prenons l’Europe pour modèle…
« L’un des enjeux sera de revaloriser fortement la fonction d’enseignant, d’améliorer leur formation et de réfléchir à leur mission ainsi qu’à leurs conditions de travail ». Ce programme fixé par Nicolas Sarkozy le 10 février; l’annonce par Luc Chatel de l’annualisation des services le 7 février, d’autres confidences encore, tout donne à penser que le président veut faire de la réforme du métier d’enseignant un de ses thèmes de campagne. Et que c’est là qu’il entend à la fois gagner des voix en reprenant de vieilles antiennes et dégager de nouvelles économies.
La publication de nouvelles statistiques européennes semble lui donner raison. Oui, dans la majorité des pays européens le temps de travail des enseignants a augmenté durant la dernière décennie. Dans la plupart d’entre eux le temps de service ne se limite pas à des heures de cours et dans 17 pays les contrats définissent aussi un temps de présence dans l’établissement scolaire. Mais ce n’est pas pour autant que ce temps dépasse les horaires français. Ainsi selon Eurostat le temps d’enseignement des professeurs européens est passé de 18 à 20 heures en 2000 à 19 à 23 heures en moyenne en 2009. En France il se situe entre 14 et 26 heures selon la catégorie. Au primaire le temps total est le plus souvent en dessous de 25 heures. Dans le secondaire on est entre 17 et 20 en général.
Mais quitte à prendre modèle sur nos voisins, prenons tout. Parce que ce que montrent aussi les statistiques européennes c’est par exemple le fait que dans les deux tiers des pays les réglements définissent un nombre maximum d’élèves par classe. Ainsi en Finlande c’est 7 élèves maximum par maître au primaire. Dans la plupart des pays européens, on n’a pas le droit d’entasser plus de 28 élèves par classe au secondaire. Un nombre souvent dépassé dès le primaire en France.
Mais la grosse différence entre l’école française et les écoles européennes, c’est le salaire des enseignants. Avec la Grèce la France est le seul pays européen où le salaire des enseignants n’a pas augmenté durant la dernière décennie. Chez nous il a diminué en terme de pouvoir d’achat de façon très sensible. Dans la moitié des pays européens il a augmenté d’au moins 20%.
Ces quelques chiffres sont aussi à faire entrer dans le fameux débat électoral qui nous est promis.
Sarkozy annonce une réforme du système éducatif
Dans un entretien publié par Le Figaro le 10 décembre, le président candidat annonce une réforme de l’Ecole. « Nous n’avons pas été au bout de la réforme de l’Éducation nationale… Il va falloir augmenter fortement la présence des adultes dans l’école », déclare-t-il au journaliste. Mais il précise tout de suite : « Arrêtons de raisonner en termes d’effectifs « . Comment augmenter la présence des adultes sans augmenter le nombre d’adultes ? Evidemment en augmentant la durée de leur présence. Le président promet de revaloriser « la fonction » (et non le salaire). Cette interview confirme, si nécessaire, l’intention du président d’inscrire dans la campagne électorale une réforme du statut des enseignants. « Ce sera l’un des chantiers les plus importants. Il faudra faire preuve d’imagination. »…
Pour les élèves, il a cette phrase assez curieuse mais qui pourrait faire allusion aux filière de pré orientation précoce. « L’égalité, ce n’est pas de donner à chacun la même chose, c’est de donner à chacun en fonction de ses handicaps, de ses difficultés, de ses retards. »
Le ministère définit le nouveau brevet
Après une première tentative ratée de faire passer le texte sur le nouveau brevet en commission spécialisée collège, le nouveau texte a été présenté une nouvelle fois le 9 février selon le Se-Unsa. Le syndicat estime que « cette refonte du DNB ne constitue ni une remise en cause ni une évolution radicale du DNB, puisque les épreuves finales restent identiques, puisque les coefficients et la durée des épreuves ne changent pas ». Pour le syndicat, « le DNB tend à se rapprocher encore plus du socle ».
Les épreuves changent peu. « En Français, l’épreuve reste structurée en deux temps, la dictée ponctuant la première partie (compréhension-réécriture), les élèves pouvant choisir ensuite entre deux sujets de rédaction, dont l’un s’appuyant sur le texte initial. En Mathématiques, « dans l’esprit du socle commun, le sujet doit permettre d’apprécier la capacité du candidat à mobiliser ses connaissances et à mettre en oeuvre une démarche scientifique pour résoudre des problèmes simples. » Six à huit exercices indépendants sont proposés. En Histoire-Géographie, le choix du sujet principal disparaît et Histoire, Géographie et Education civique sont interrogés. Le paragraphe argumenté est supprimé et remplacé par un texte long », écrit le Se-Unsa.
Mais de fait le brevet continue à constituer un objet bizarrement éloigné du socle. D’une part parce que l’on est toujours dans le cadre d’un examen avec des épreuves classiques validé bien après la validation du socle. Mais il y a pire. Le texte définit lui-même le socle comme une sorte de sous-brevet puisque « Les acquis à évaluer ont pour référence les programmes des classes de troisième pour les élèves de la série générale, et le socle commun pour les séries technologiques ». Ainsi le ministère reprend à son compte la critique que les adversaires du socle font depuis 2005…
Chronique de la carte scolaire
Au fur et à mesure que se tiennent les CDEN, le mécontentement monte devant les suppressions de postes. Les rectorats rendent leurs verdicts, les 14 00 suppressions de postes annoncées pour 2012 se concrétisent. La presse quotidienne régionale rend compte des mouvements locaux de protestation qui accueillent les fermetures de classe et les coups portés aux Rased. Parents, élus, enseignants se mobilisent un peu partout, les petites rivières locales deviendront-elles un fleuve tumultueux ?
Les classes à plusieurs niveaux ? « Il y a des résultats satisfaisants quand on travaille dans une classe à plusieurs niveaux ». 30 élèves et plus ? « Le nombre d’élèves n’a pas de corrélation avec la réussite scolaire ». La suppression des Rased ? « Tout le monde doit prendre en charge la difficulté scolaire ». L’inspectrice académique de la Mayenne a réponse à tout ! C’est que le temps se gate un peu partout.
A Saint Lô, 500 personnes ont manifesté vendredi 10, 300 à Caen jeudi 9, la Région Basse-Normandie est touchée fortement par les restrictions avec 408 postes de moins prévus. A Nancy, deux cent personnes ont bravé le froid jeudi pour protester devant la préfecture. Dans le Gers, les parents ont poursuivi leur mobilisation à la veille des vacances : Fleurance, Vic Fezzenssac, Gondrin, les manifestations se multiplient et convergent vers Auch. A Berdoues 200 parents ont manifesté le 11. Dans la Manche, jeudi, les cours n’ont pas pu se tenir dans cinq lycées professionnels bloqués par les élèves et les enseignants. A Saint Omer, élus et parents ont défilé vendredi 10 au matin dans les rues de la ville en saluant devant chaque école les classes bientôt disparues. A Hellemmes dans le Nord, les parents occupent l’école le lundi 13 pour protester contre la fermeture d’une clase en maternelle. A Meslin en Bretagne, l’école était fermée jeudi et vendredi à l’initiative des parents d’élèves. Vendredi ce sont les parents d’Amigny-Rouy dans les Ardennes qui ont bloqué l’école. Lundi 13, les parents d’élèves de Clairac dans le Lot et Garonne occuperont à leur tour l’école. L’inspection a fait grimper le nombre d’élèves par classe de 24 à 28 ! Dans le Pa s de Calais, à Saint Martin Boulogne des parents sequestrent une directrice pour exiger des heures. A côté, à Dunkerque, les parents de l’école La porte d’eau de Dunkerque vont occuper l’Ecole lundi. Jeudi 9 à Jaulgonne dans l’Aisne, les commerçants ont baissé le rideau pour protester contre la fermeture d’une classe aux côtés des parents, des élus et des enseignants. « « Si les écoles ferment, les habitants partiront, alors on soutient nos écoles ! ».
A Bordeaux, 2000 personnes ont manifesté le 11 février pour obtenir des postes de Rased. Dans le Val de Marne, 300 élèves et enseignants venus de 3 établissements de Vitry ont manifesté le 10 février pour demander des postes. A Evry, les enseignnats du LP Perret occupent leur établissement ce soir. Ils veulent récupérer 10 postes.
Capes : Modification des épreuves
Le J.O. du 11 février publie un arrêté modifiant certains capes externe et interne. Pour l’externe, sont moidifiées les épreuves en éducation musicale, histoire-géo, langue corse, physique – chimie. Pour l’interne, c’est el cas de l’histoire-géo et des lettres modernes.
Les Etats-Unis découvrent les inégalités sociales à l’Ecoie
La discrimination scolaire est-elle un phénomène social ou ethnico-racial ? Aux Etats-Unis, longtemps les statistiques se sont penchées sur les inégalités scolaires entre « races », au point que le pays enregistre les scores axu évaluations nationales par « race ». Et sur ce terrain, les écarts existent encore mais ont tendance à se rétrécir. Mais un sociologue de Stanford, S F Reardon vient de mettre en évidence un nouveau phénomène, la croissance des inégalités entre groupes sociaux. Selon son étude, « on est passé d’une société où la race avait plus d’importance que le revenu, à une société où le revenu est le premier critère de réussite ». Les sociologues n’accusent en fait pas tant le revenu que ce qui va avec. Les familles pauvres sont plus souvent monoparentales et le seul adulte de la famille n’a ni les moyens ni le temps de sortir ses enfants. La pratique de multiples activités est devenue un signe de richesse.
Les jeunes et les réseaux sociaux : Un enquête de l’IFé
« En 10 ans, les pratiques d’internet ont considérablement évolué. Les écrans sont devenus omniprésents, notamment avec l’essor des technologies mobiles, et l’informatique connectée s’est banalisée, au point de mobiliser désormais une grande partie de notre temps libre. Aujourd’hui l’attractivité des médias sociaux est plus forte que celle des portails commerciaux, l’audience mondiale de Facebook dépasse celle d’Ebay », écrit L Endrizzi de l’IFé. « Dans quelle mesure ces nouvelles pratiques médiatiques concurrencent-elles les loisirs plus traditionnels et impactent-elles les sociabilités ? Les jeunes, dont les usages semblent plus diversifiés et plus intensifs que ceux de leurs aînés, incarnent-ils un renouveau générationnel ? En quoi leurs amitiés numériques sont-elles différentes des amitiés de la « vraie vie » et permettent-elles d’explorer de nouvelles façons de vivre ensemble ? »
Le carnaval se fête au musée Dapper !
Découvrez et vivez le carnaval au musée Dapper. Le musée vous invite à découvrir gratuitement du samedi 18 au dimanche 26 février son exposition » Mascarades et carnaval ». Pour la première fois le musée réunit des oeuvres traditionnelles d’Afrique subsaharienne et des créations des Caraïbes. Cette exposition constitue une occasion unique de découvrir les résonnances qui existent entre Mascarades d’Afrique et carnavals des Antilles et de la Guyane. Une rencontre entre le sacré et le divertissement, le parcours est riche de plus de 100 pièces d’une beauté impressionnante.
Des conférenciers seront présents et disponibles pour répondre à vos questions le mardi 21, les samedis 18 et 25 février. Mais tout au long de l’année, le musée organise des visite famille, des visites jeune public et des visites scolaires.
L’innovation vue par l’OCDE
Découvrez les vidéos de l’OCDE sur les politiques éducatives développées dans plusieurs pays. Ainsi observez comment le Portugal et Shanghai font reculer les inégalités sociales à l’école. Ou encore comment le Japon tente de développer le sens critique et la réflexion autonome chez les élèves.
L’orthopédagogie au Québec
Vie pédagogique, la revue québécoise, consacre son 160 ème numéro aux pratiques probantes en orthopédagogie et en adaptation scolaire. L’essentiel du numéro montre des exemples de pratiques. Comment gérer la différenciation ? Comment développer la maturité affective ? Ou le savoir lire ? L’enseignement explicite est mis à l’honneur.
Sortie du journal lycéen au lycée Arène de Sisteron
Dans le cadre de l’Éducation aux médias et de l’Éducation au développement durable, les élèves de l’accompagnement personnalisé « Journal » de 2nde et 1ère de Mme Broggi, professeur de SES au lycée Paul Arene de Sisteron, viennent de sortir leur premier numéro. Les élèves et leur professeur vont aborder la semaine de la presse sous de bons auspices. C’est avec beaucoup d’impatience qu’ils attendent la venue d’un journaliste réfugié politique en France dans le cadre de l’opération Renvoyé spécial pour laquelle le lycée a été retenu.
Lisez le Journal du lycée Arène
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Familles, école, quartier : Les 5èmes Rencontres nationales sur l’Accompagnement du GFEN
« Eclaircir les rôles respectifs, œuvrer à la reconnaissance mutuelle, changer le regard et les façons de faire, informer mais aussi promouvoir le potentiel éducatif des parents… autant de moyens d’agir de façon conjointe à l’émancipation des jeunes », écrit le GFEN. En période de crise encore plus qu’avant, l’école pèse lourd sur les épaules des parents qui revent de la réussite economique de leur enfant. Pour y voir plus clair, le Gfen interrogera le 17 mars à Saint-Denis (93) Pierre Périer et Patrick Rayou, ainsi que des responsables syndicaux et associatifs.
Les immigrés et leurs descendants face à l’identité nationale
Intégrés ou pas ? Bons français ou pas ? La bonne vieille problématique est déplacée ici par Patrick Simon et Vincent Tiberj (Sciences Po) dans cet article publié par l’Ined. Qu’on en juge. « L’importance de l’origine dans l’identité n’est cependant pas contradictoire avec le développement du sentiment national français. Prédominant chez les descendants d’immigrés, ce sentiment est largement partagé par les immigrés, même lorsqu’ils n’ont pas la nationalité française (47% des immigrés étrangers disent se sentir Français). .. Nous observons ainsi un modèle composé d’une pluralité d’appartenances, peu hiérarchisées, qui coexistent en dépit des pressions à choisir entre elles qui reviennent régulièrement dans certains discours politiques… Les « Français à traits d’union » sont une réalité de la société multiculturelle contemporaine, mais la synthèse opérée par la plupart des immigrés et des descendants d’immigrés est contrariée par des formes d’assignation aux origines, considérées négativement, qui sapent en partie le processus d’identification en cours. Le sentiment d’appartenance est moins compromis par un repli identitaire que nos données ne valident pas que par un défaut de reconnaissance de cette appartenance. Les dénis de francité ciblent principalement les immigrés, mais touchent aussi les descendants dont l’origine est associée à une forte visibilité dans l’espace public. Les originaires des DOM connaissent des situations similaires, en dépit de l’ancienneté de leur appartenance à la communauté nationale. Le concept de « minorités visibles », employé à propos des discriminations, trouve avec cette ligne de partage une concrétisation extrêmement éloquente. On touche ici aux limite de l’ouverture de la société française à sa diversité ».
Comprendre et enseigner l’identité numérique
« L’identité numérique est devenue, avec l’accélération de l’utilisation des réseaux sociaux par nos élèves et la prolifération des données personnelles sur le Web un thème de formation essentiel en information – documentation pour les aider à contrôler leur e-réputation, maîtriser leur image publique et la gestion des traces laissées sur le net. Plusieurs ressources, publiées depuis peu, proposent des pistes pédagogiques ou des dossiers plus généraux sur lesquels fonder la formation à l’identité numérique avec les élèves ». Un dossier très complet publié par Doc pour Docs.
SES : Tous les TD de Sésâme
Des longs, des courts, des pour le cours mais aussi pour l’accompagnement personnalisé. Le manuel numérique de première développé par l’Apses s’enrichit de nouveaux TD pour chaque chapitre du programme revu et corrigé par l’Apses.
Le bilan du Monde
L’annuaire économique du Monde se porte bien. L’ édition 2012 publie un atlas de 180 pays avec une mise au point économique et des statistiques de base pour chacun. Le bilan permet également de réfléchir à des thèmes sur l’évolution économique mondiale. Salaire, pauvreté, production, crise, tout est analysé dans ce numéro spécial par les meilleurs spécialistes.. Cette année un chapitre écologique « planète » complète les différentes approches. Un usuel performant à garder à portée de main.
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