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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

L’assouplissement de la carte scolaire a aggravé les ségrégations.

ÉDITORIAL

A Latronquière (Lot) parents et personnels s’affrontent sur fond de fermeture de classe.

LE SYSTEME

Colloque Unsa : Quel nouveau contrat entre les collectivités locales et l’Ecole ? l La loi Grosperrin adoptée l Les mutinés du jury l L’APLV critique le rapport Halimi et les décisions de Luc Chatel l Chronique de la carte scolaire l Professionnel : L’intersyndicale proteste contre le projet Sarkozy l Masters en alternance : L’académie de Versailles répond l Chatel privatise le bilan de santé des professeurs.

L’ÉLÈVE

Frissons garantis, en famille ou avec ses élèves au musée de La Poste l Ressources contre le harcèlement ?

LA CLASSE

Le cri d’alarme d’André Antibi l Avec un Ipad en maternelle…

LA RECHERCHE

Orthographier…

LES DISCIPLINES

Le programme de management en STMG publié l SES : 1,7% de croissance en 2011 l 25e Rendez-vous de la Mondialisation.

L’assouplissement de la carte scolaire a aggravé les ségrégations

L’assouplissement de la carte scolaire décidé en 2007 aurait été « une réforme en trompe l’oeil », n’aurait pas « bouleversé le paysage scolaire », affirme Le Monde du 13 février. Est-ce si sûr ? De nouvelles recherches montrent qu’au contraire l’effet est sensible et peut-être irrémédiable.

C’est une des mesures phares du quinquennat Sarkozy. En 2007 le président de la République décide « d’assouplir » la carte scolaire en autorisant les dérogations d’affectation. La communication officielle présente cette décision comme une mesure de justice sociale au bénéfice des boursiers. Pourtant dès 2008, un rapport des inspecteurs généraux JP Obin et Payroux montrait que « dans la plupart des départements visités, la question de la survie de certains collèges est ouvertement posée… C’est aux deux extrémités de la hiérarchie des établissements que la mixité sociale est mise le plus rudement à l’épreuve : dans les établissements les plus convoités, il y a peu d’élèves de condition modeste ; dans les collèges les plus évités, ce sont les catégories favorisées qui ont disparu. » Très récemment, une étude de Julien Grenet et de Gabrielle Fack, de l’Ecole d’économie de Paris et du Cepremap, a relancé le débat sur les effets de l’assouplissement de la carte scolaire. Pour les auteurs les effets seraient minimes. « Quatre ans après la mise en place de l’assouplissement de la carte scolaire, l’impact à court terme de cette réforme sur les grands équilibres de l’enseignement secondaire apparaît dans son ensemble assez limité. Si l’on observe une augmentation des demandes de dérogations depuis la rentrée 2007, le nombre de familles faisant cette démarche reste largement minoritaire », écrivent les auteurs. Il est vrai qu’à l’échelle nationale l’effet ne peut être que mineur. La concurrence scolaire n’existe que là où il y a un choix, c’est-à-dire dans les agglomérations assez importantes, avec une densité scolaire assez forte pour que le choix existe.

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L’Éditorial de François Jarraud

A Latronquière (Lot) parents et personnels s’affrontent sur fond de fermeture de classe

« Cette occupation a été très mal vécue par les personnels présents », écrivent des professeurs et administratifs du collège de Latronquière. Le 3 février, des parents ont envahi le collège et organisé une conférence de presse dans les murs pour protester contre la fermeture d’une classe. Le 15 février ils ont été convoqués par la gendarmerie après le dépôt d’une plainte par l’inspection académique. Or le blog des parents montre qu’il ne s’agit pas d’une mesure d’intimidation. Mais bien d’une opposition franche et même exemplaire.

Les personnels du collège menacent les parents de grève si une nouvelle occupation intervient. « N’est-ce pas mépriser les personnels de l’établissement que d’investir ainsi les locaux sans même s’être concerté avec eux auparavant ? N’est-ce pas faire bien peu de cas de leur travail et de celui des enfants pour venir ainsi s’exposer aux yeux des élèves alors que ceux-ci sont en cours ? Comment peut-on prétendre défendre le collège et en briser la sérénité ? », écrivent-ils.

« De quel mépris parlez-vous », interrogent les parents, « lorsque depuis plus d’un an nous nous battons pour diminuer le poids des cartables des enfants de 6è ? », répondent les parents. « De quel mépris parlez-vous lorsque nous demandons un accès chauffé toute la journée pour les récréations et pauses–déjeuner ? De quel mépris parlez-vous lorsque nous demandons que les toilettes soient accessibles toute la journée aussi bien pour les filles que pour les garçons sans demander les clefs ? De quel mépris parlez-vous lorsque nous demandons que toutes les réunions avec les parents soient à des heures permettant leur participation soit au delà de 18.00 ? » Suivent encore d’autres récriminations touchant par exemple à l’absentéisme des enseignants…

Tout cela ne serait qu’anecdotique si la France ne comptait des milliers de Latronquière. Les reproches adressés par les parents sont des lieux communs du faible intérêt accordé dans l’éducation nationale aux parents. Dans la tradition française, l’Ecole est un univers clos qui appartient à ses acteurs. Et l’irruption brutale et peu élégante de parents qui se voient comme copropriétaires du collège heurte de plein fouet cette représentation. Pour une fois la judiciarisation est le fait de l’Ecole. Mais à l’évidence ce ne sont pas les gendarmes qui ont les clés de cette situation. La clé est dans l’intérêt commun que partagent parents et enseignants.

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Colloque Unsa : Quel nouveau contrat entre les collectivités locales et l’Ecole ?

Quelle forme pourrait prendre la « 3ème décentralisation » d’après mai 2012 ? Pour en débattre, l’Unsa Ile-de-France a invité les représentants des collectivités locales franciliennes pour parler d’Ecole. Une préoccupation devenue prioritaire pour tous. JP Huchon, H Zoughebi, YT Trigance, I This-Saint-Jean et JC Lafay expriment leur vision du devenir du rôle des collectivité s locales dans l’Ecole de demain.

« Décentraliser est une manière de développer le service public ». Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France, inscrit l’action de la région dans le prolongement d’une tradition républicaine, ce que fera aussi Yannick Trigance. Il a des arguments : quand l’Etat a donné les lycées franciliens aux régions, il leur consacrait 300 millions de francs de dépenses annuelles. Aujourd’hui la région a inscrit un milliard d’euros pour l’éducation dans son budget. Cela n’empêche pas de rechercher un nouvel équilibre entre Etat et région. « On ne régionalisera pas le système éducatif », précise JP Huchon. « Mais on est à la limite de la décentralisation avec le système actuel, entre un Etat de plus en plus pauvre qui transmet aux collectivités locales des dépenses et la tentation de celles-ci de sortir du béton pour aller vers le para-pédagogique ». La région « ne veut pas pousser plus loin et menacer le statut des personnels ou risquer d’augmenter les inégalités entre les territoires ».

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La loi Grosperrin adoptée

L’Assemblée nationale a adopté le 15 février la loi Grosperrin sur la formation des maîtres par 263 voix UMP pour et 147 socialistes et 18 GDR contre. Elle attribue la formation des enseignants aux « établissements d’enseignement supérieur, notamment les universités » et fait disparaître toute référence aux IUFM. « La formation dispensée aux étudiants et aux personnels stagiaires admis aux concours enseignants répond à un cahier des charges ». Pour le Snes, la loi sert surtout à contourner l’annulation par le Conseil d’Etat de l’arrêté sur la formation des enseignants en évitant toute discussion. Le texte pourrait faire l’objet de recours devant le Conseil constitutionnel.

Dossier législatif

L’analyse du Snes

Les mutinés du jury

Un quart des membres du jury de l’agrégation de maths a décidé de démissionner. Ils dénoncent la formation des enseignants. « On enverra dans les classes de jeunes professeurs moins motivés, moins bien formés scientifiquement, sans ou presque sans formation pédagogique ni professionnelle. Un gâchis patent pour ces professeurs autant que pour leurs élèves », écrivent-ils. Il s’inquiètent de la baisse du nombre de candidats. Ils s’insurgent aussi contre le calendrier des oraux du concours jugé trop étroit.

Communiqué

L’APLV critique le rapport Halimi et les décisions de Luc Chatel

La greffe n’a pas pris. Consultée par la commission Halimi, l’Association des professeurs de langues vivantes ne retrouve pas dans le rapport Halimi les décisions attendues comme la défense de toutes les langues et pas du seul anglais. « Si l’APLV retrouve dans le rapport du Comité stratégique des langues un certain nombre de propositions faites et de pistes évoquées depuis longtemps par notre association, et à l’encontre desquelles vont un grand nombre de décisions ministérielles de ces dernières années, elle constate que Luc Chatel n’en a retenu que ce qui est le plus discutable ou lui permet, en période préélectorale et alors que la redéfinition des missions des enseignants sera l’un des sujets de la campagne présidentielle, d’annoncer une mesure de globalisation des horaires de langues et d’annualisation du temps de travail des professeurs dans 10 % des collèges dès la rentrée 2012″. Pour l’APLV, ces mesures ne peuvent  » qu’entraîner une réaction de rejet de la part de l’ensemble de la profession ».

L’APLV est aussi irritée par la nouvelle plateforme English by yourself mise en place par le CNED. « Ce projet nous semble être une dérive du service public d’enseignement à distance : le CNED serait un outil formidable s’il était utilisé à bon escient pour compléter un dispositif global et non comme palliatif à des carences d’un système ou instrument d’une propagande dans un dispositif de communication ».

Communiqué

Le ministère propose de nouveaux dispositifs

Chronique de la carte scolaire

Au fur et à mesure que se tiennent les CDEN, le mécontentement monte devant les suppressions de postes. Les rectorats rendent leurs verdicts, les 14 000 suppressions de postes annoncées pour 2012 se concrétisent. La presse quotidienne régionale rend compte des mouvements locaux de protestation qui accueillent les fermetures de classe et les coups portés aux Rased. Parents, élus, enseignants ne se mobilisent un peu partout, les petites rivières locales deviendront-elles un fleuve tumultueux ?

Le 14 février à Aigre en Charente, enfants, parents, enseignants et élus se sont donnés la main pour une ronde contre la fermeture d’une classe. Lundi 13 à Buironfosse dans les Ardennes, les élus ont prêté main forte aux parents d’élèves pour décréter une école morte. A Montreuil dans le Pas de Calais, 300 personnes ont défilé le 11 février : parents, collégiens, enseignants et élus se mobilisent malgré le froid. L’école George-Sand de Guipry prend le bus jeudi 16 février pour Rennes afin de se faire entendre par l’inspection. Les parents d’Azerables dans la Creuse se battent pour leur école : carnaval, occupation, jeudi 16, l’école sera encore occupée tandis que des manifestants se rendront à Guéret. « Non aux classes doubles, non aux classes surchargées, Non à la fermeture !, les parents, les enseignants et les élus de l’école du Ponteil feront entendre leurs voix jeudi 16 à Nice. Dans l’Aisne, les mobilisations se fédèrent. 150 personnes ont manifesté le 14 à Laon. Des opérations « écoles mortes » sont programmées le 21 février, jour de la nouvelle session du CDEN, suivies d’une manifestation le 23. A Bastia, les parents d’élèves des écoles Gaudin et Murato ne baissent pas les bras. Le collectif de défense de l’école public s’est donné rendez-vous devant l’inspection académique le 15 février. La quasi totalité des professeurs était en grève le 14 février au collège Condorcet de Vervins dans le Nord. 70% des enseignants du 1er degré étaient en grève, hier, dans le Var. Un millier de manifestants ont exprimé leur ras-le-bol à Toulon face aux nouvelles suppressions de postes qui se profilent. Dans les Yvelines, le 16 février, les syndicats Sgen, FO, Snuipp et Se-Unsa du 78 invitent les enseignanst et les parents à les rejoindre devant la préfecture à la sortie du CDEN à 16h45 pour exiger l’annulation des suppressions de postes.

Professionnel : L’intersyndicale proteste contre le projet Sarkozy

Faut-il avoir peur de l’apprentissage ? L’intersyndicale de l’enseignement professionnel, qui regroupe AetD, CGT Educ’action, FAEN, Se-UNSA, Snetaa-FO, Snalc-CSEN, Snuep-FSU, Snep-FSU, Snetap-FSU, Sgen CFDT, SUD Education, SYAC CGT, Sud Rural, et Snalc FGAF, réagit aux propos de Nicolas Sarkozy appelant à faire passer en alternance la dernière année de CAP et de bac pro. « L’intersyndicale condamne très clairement la volonté du gouvernement de vouloir imposer coûte que coûte l’apprentissage en dernière année de formation du BAC PRO et du CAP. Elle réaffirme que la formation de tous les jeunes n’est pas une charge pour la nation mais un investissement pour l’avenir. Elle passe par la voie scolaire dans les lycées professionnels. Elle réaffirme son attachement à faire de la voie professionnelle une voie à égale dignité des voies générale et technologique ».

De son côté, la Fep Cfdt, un syndicat du privé, estime également que « la proposition de déléguer la partie terminale de la formation initiale à l’entreprise » menace les établissements et « peut constituer un danger pour les intérêts des futurs salariés ». Elle lance une pétition.

Masters en alternance : L’académie de Versailles répond

Très critiquée par le Snes le 14 février sur les masters d’enseignement en alternance, l’académie de Versailles réagit. Contacté par le Café, Stéphane Aymard, secrétaire général adjoint, confirme les retards à régulariser le traitement des étudiants mais s’engage à leur verser 6000 euros annuels pour 6 heures d’enseignement. « Cet engagement sera tenu ». Il estime que « tout a été mis en oeuvre pour des versements le plus tôt possible ». Sur les difficultés rencontrées dans leur formation par les étudiants, S Aymard juge le dispositif en alternance « adapté ». La chute du taux de réussite des étudiants déjà titulaires d’un master 2 est liée aux difficultés du concours.

Les accusations du Snes

Chatel privatise le bilan de santé des professeurs

Le ministère s’est engagé à faire passer un bilan de santé aux professeurs âgés de 50 ans. Cet examen vient d’être confié à une entreprise privée. Pour la Fsu, « la décision du Ministre constitue une attaque de plus contre les personnels, au travers de leur mutuelle solidaire. C’est une décision politique qui transfère au marché une partie de la gestion de la santé des personnels. Elle fait suite à la taxation des mutuelles, devenues une cible privilégiée, au détriment des personnels ».

Communiqué

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Frissons garantis, en famille ou avec ses élèves au musée de La Poste

L’exposition « Sorcières-Mythes et réalités » aborde l’histoire de la sorcellerie en France du Moyen-Age à nos jours suivant des approches artistiques, historiques, sociologiques et ethnographiques. C’est l’occasion de découvrir quelle réalité se cache derrière la construction du mythe de la sorcière et de comprendre l’évolution des mentalités et des pratiques. La première partie de l’exposition est consacrée à l’imaginaire de la sorcellerie, la seconde partie présente des objets emblématiques illustrant les « pratiques magiques » utilisées pour  » maléficier » ou au contraire pour conjurer le mal. Mais l’objectif de cette exposition singulière est aussi de dépasser « la chasse aux sorcières » et de faire réfléchir sur les processus qui amènent à la discrimination.

Un parcours pour les jeunes est prévu dans l’exposition, des visites guidées, contées et des ateliers sont organisés pour les enfants et les familles en particulier pendant les vacances. Pour les scolaires (écoliers et collégiens) le musée propose trois animations, une visite guidée, une visite contée, et un atelier qui aborde le thème de la discrimination. A l’issue de l’atelier chaque enfant repart avec un livret-jeu, et l’enseignant reçoit un dossier avec des pistes et des propositions pour continuer à travailler le thème de la discrimination avec sa classe.

Les activités en famille

Les activités proposées aux scolaires

Ressources contre le harcèlement

Eduscol indique quelques ressources, souvent payantes, pour expliquer el harcèlement aux élèves. Pour comprendre le harcèlement elle oriente vers des guides en ligne. Cela peut-il remplacer un effort de formation ?

Sur Eduscol

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Le cri d’alarme d’André Antibi

« Malgré le soutien de pratiquement tous les partenaires de notre système éducatif dans l’enseignement public et privé, malgré le soutien à cette démarche du Ministère de l’Éducation Nationale, à ce jour aucun responsable politique, quelle que soit sa sensibilité, n’a osé évoquer directement ce très grave problème. C’est surprenant et décourageant pour les très nombreux enseignants, pour les élèves et leurs parents, en attente d’un signal fort qui tarde à venir », écrit André Antibi.

Il s’adresse aux candidats à la présidentielle et leur demande de prendre position sur la constante macabre. Inventeur de la « constante macabre », il propose un nouveau dispositif d’évaluation qui construit la confiance entre jeunes et professeurs et facilite les apprentissages.

Sur la constante macabre

Le colloque Antibi

Avec un Ipad en maternelle

Véronique Favre distingue les avantages et les inconvénients de ce matériel avec les petits, et surtout les aspects pédagogiques. Les avantages l’emportent… Elle montre comment cette tablette est utilisable à tous les moments de la journée scolaire, depuis l’accueil en passant par l’aide personnalisée et dans tous les domaines des programmes.

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Orthographier

Comment apprendre l’orthographe d ela langue française, héritière d’une longue histoire ? Jean-Pierre Jaffré est l’invité de la Casnav de Paris le 14 mars à 13 h à l’Alliance française.

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Le programme de management en STMG publié

Le Journal officiel du 15 février a publié l’arrêté officialisant le programme de management applicable en STMG à partir de 2012 en première. Le texte sera publié au B.O. du 22 mars.

Au J.O.

SES : 1,7% de croissance en 2011

L’Insee publie les chiffres de la croissance en 2011. Avec 1,7% la France fait un peu mieux que ce qui était attendu mais moins bien que son grand voisin…

Comptes nationaux

25e Rendez-vous de la Mondialisation

« Les études se multiplient pour attester d’un rééquilibrage de la puissance économique des grandes nations industrielles vers de nouveaux acteurs. Ce phénomène s’observe non seulement sur le plan économique et financier mais également géopolitique et culturel. L’influence croissante de la Chine, notamment, fascine autant qu’elle inquiète les « anciennes » puissances. Après une période d’euphorie où l’occidentalisation du monde a paru aller de soi, les pays occidentaux sont aujourd’hui dans une position moins favorable, notamment sous l’effet de la crise financière et de l’endettement public. » Va-t-on vers une « désoccidentalisation » du monde ? Le Centre d’analyse stratégique pose la question et invite le 7 mars à Paris des chercheurs réputés pour y répondre : JM Severino, P Hassner, H Védrine.

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