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« Malgré leur bonne volonté et leur souhait de s’engager résolument dans la réforme, les responsables de l’enseignement catholique ne peuvent que pointer les difficultés réelles qui pèsent sur sa mise en œuvre, et en particulier sur son financement ». L’enseignement catholique a choisi, le 1er mars, de manifester son agacement sur les difficultés d’application de la réforme des rythmes.

« En dépit d’un dialogue régulier et serein avec le gouvernement, les conditions de mise en place du projet dans les établissements privés n’ont pu, à ce jour, être clarifiées ». En effet si la loi d’orientation précise que les aides publiques peuvent aller aux établissements privés qui appliqueront la réforme des rythmes, l’articulation avec les communes pour prévoir les activités complémentaires reste à inventer. D’où l’agacement du SGEC. « Dans ce contexte, l’enseignement catholique invite les équipes éducatives et les chefs d’établissement à rechercher les modalités d’un partenariat constructif avec les collectivités locales, et à faire le meilleur usage de leur liberté et de leur capacité d’innovation, en cohérence avec les projets éducatifs des écoles, avec pour souci premier l’intérêt de l’élève et de la communauté éducative ».

Communiqué