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Les géographes aiment à se faire connaître comme des « spécialistes » de contrées du monde dont ils sont parfois les rares à savoir parler la langue. Ce qui leur vaut le privilège de parler sur tout ce qui s’y passe dans les médias. On connut des charrettes de « tropicalistes », rentrés d’un service militaire aux antipodes, qui font leur miel de cette proximité et publient des « manuels » autorisés. L’effondrement du bloc soviétique nous valut des « spécialistes » des pays de l’Est européen parlant qui roumain, qui polonais, qui bulgare. Aujourd’hui, les choses sont moins nettes…

La tribune de Gilles Fumey