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 » Il faut revoir et assurer les financements pour 2014 et au delà, revoir totalement le décret sur l’aménagement du temps afin de permettre à des organisations construites localement de voir le jour ( deux mercredis sur trois comme à Toulouse ou Poitiers, après-midi très allégés pour libérer une plage horaire robuste aux activités périscolaires comme le projette Lille…) », affirme le Snuipp dans un communiqué publié le 2 avril.

Le premier syndicat du primaire demande aussi que les conseils d’école disposent d’un droit de blocage du passage de la réforme. « Nous demandons que les nouvelles organisations de la semaine (mercredi ou samedi) et de la journée (horaires scolaires, durée de la pause de midi, contenu et organisation des activités périscolaires en fonction de l’âge des enfants) soient le fruit d’une réelle concertation avec les enseignants et les parents au sein des conseils d’école. Là où les projets ne sont pas encore clairement finalisés, la concertation doit se poursuivre. Nous continuons de demander au ministre et à ses représentants (DASEN) que, là où il n’y pas accord de la communauté éducative (enseignants, parents), ce soit le report systématique à 2014 ».

Enfin le syndicat publie une intéressante carte départementale de la réforme des rythmes qui montre que 22% des élèves passeront au nouveau calendrier en 2013.

Communiqué