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« Il y eut aussi ceux qui furent vaincus non par l’ennemi, mais par l’angoisse, par l’épuisement né des conditions extrêmes qui leur étaient imposées. Certains furent condamnés de façon arbitraire et passés par les armes. Cent ans plus tard, il nous revient d’aborder dans un esprit de réconciliation cette douloureuse question des fusillés… Je souhaite, au nom de la République, qu’aucun des Français qui participèrent à cette mêlée furieuse ne soit oublié. C’est pourquoi je demande au ministre de la Défense qu’une place soit accordée à l’histoire des fusillés au musée de l’Armée aux Invalides, dans ce lieu qui porte le récit de la Guerre. De même, je souhaite que les dossiers des conseils de guerre soient numérisés et disponibles. Il ne s’agit plus aujourd’hui de juger et encore moins de rejuger ». Dans son discours du 7 novembre, F Hollande a écarté l’idée de la réhabilitation des fusillés pou rl »exemple. Cela reste pourtant un beau sujet de travail en classe.

Le rapport Prost