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Cette année, l’arabe est absent des concours du Capes alors que la demande d’enseignants dans le second degré est bien réelle, expliquent les professeurs Joseph Dichy, pour le CIDEA (Comité inter-universitaire d’études arabes), et Pierre-Louis Reymond, président de l’Association française des arabisants (AFDA). Ils réclament « de toute urgence une politique claire » en faveur de l’enseignement de l’arabe dans le service public, l’une des principales langues d’échanges économiques et culturels de la France.

Médiapart 12 février 2014