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Pour enregistrer les données il faut souvent être présent sur le terrain longuement. Sur le site académique de Nantes, Gérard Fougerolle, professeur de SVT à Grez en Bouère, présente une autre piste : celle des clés datalogger. Ces capteurs peuvent être laissés sur place pour ensuite être raccordés sur un ordinateur pour en récupérer les données. Il donne quelques exemples de scénarios pédagogiques :  » Placer les capteurs à quelques mètres seulement l’un de l’autre mais l’un à l’ombre et l’autre au soleil pour montrer l’influence de la température et de l’humidité sur le développement d’une population d’êtres vivants étudiés dans l’environnement proche du collège. Placer les capteurs l’un sous abri ou non et l’autre sous terre pour montrer que dans le sol, les végétaux (organes de réserves) et les animaux (larves d’insectes hibernantes) ne gèleront pas et reprendront leur activité au printemps. Si en surface l’activité animale et végétale semble « ralentie » en hiver, sous terre des relations trophiques grâce au caractère isolant de la terre perdurent, notamment celles des décomposeurs ».

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