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« La convention « ruralité » participe du maintien et du développement d’une école attractive. Elle permet de renforcer la qualité de l’offre et de l’organisation scolaires. Elle est donc l’occasion d’un travail sur l’évolution des effectifs, les dispositifs pédagogiques portés par la refondation de l’école afin d’offrir aux élèves scolarisés dans les écoles rurales et de montagne des conditions d’accueil et d’enseignement de qualité ». Une instruction poubliée au B.O. du 13 octobre revient sur les dispositifs en faveur de l’école rurale.

« La convention est ainsi l’occasion d’un travail sur les conditions de développement des dispositifs « plus de maîtres que de classes » et « accueil des moins de trois ans ». Au-delà, des dispositifs spécifiques permettant d’éviter l’isolement pédagogique et géographique pourront être mobilisés : réseau d’animation pédagogique et de formation des professeurs, mutualisation de ressources pédagogiques, liaison école-collège, etc. Les moyens de communication à distance, et particulièrement l’Internet à haut débit de qualité ou l’Internet à très haut débit, constituent un outil incomparable pour relier les classes entre elles, favoriser le travail collectif et la formation continue des enseignants ».

Le texte invite à « un diagnostic territorial partagé « . Il précise le role du comité de pilotage dans la convention ruralité. « Un comité de pilotage, institué au niveau départemental, est défini dans la convention. Il permet d’assurer le suivi des engagements des parties. Il établit le bilan régulier des points acquis et des obstacles qui restent encore à franchir et dresse l’évaluation préalable au renouvellement de la convention. Ces bilans servent de base aux échanges avec l’administration centrale dans le cadre du dialogue de gestion et de performance. Ce comité rend compte régulièrement à la communauté éducative du département de l’avancée des travaux de réorganisation du réseau scolaire mis en œuvre par la convention ».

Au BO