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« Il ne suffit pas de « mettre dedans » mais bien de signifier à chacun sa singularité et la possibilité de jouir de l’ensemble des biens sociaux, appartenant au patrimoine de chacun. Parler plutôt de droit d’accès au patrimoine voire d’affiliation plutôt que d’inclusion scolaire semble donc plus approprié pour rendre compte de ce processus et permettrait de sortir du clivage inclusion/exclusion ». Émilie Chevallier-Rodrigues,Amélie Courtinat-Camps et Myriam de Léonardis analysent dans Carrefour de l’éducation 10 ans de politique inclusive à l’école.

Etude Carrefour de l’Education